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“Bravo à Philippe de Villiers. Son apologue en fin d’émission sur cnews est absolument magnifique. Enseignons…” - vendredi 19 Avr 15:07
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“Je viens d’écouter Michel Maffesoli qui explique que l’ère de l’enseignement égalitaire des jeunes devenu impossible…” - vendredi 19 Avr 13:23
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Bruno Lafeuille sur Propagande présidentielle : sommets dépassés
“Très bien vu comme toujours : merci monsieur Portocala pour vos articles tellement pertinents qui sont…” - jeudi 18 Avr 11:15
Gilles Le Floch sur François Hartog : « Le président…
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Chouan sur Propagande présidentielle : sommets dépassés
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“Quelle belle galerie, on dirait les Caractères de La Bruyère !” - mercredi 17 Avr 17:45
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“Hélas quand on ne peutt vraiment rien dire à la Nation, donc à la France, « on »…” - mercredi 17 Avr 11:09
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Cincinnatus sur François Hartog : « Le président…
“Le président dont le bilan est catastrophique multiplie les occasions de se mettre en scène ,…”
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Appel aux lecteurs de Je Suis Français : Pour la sauvegarde du patrimoine matériel de l’Action Française !
Participez à l’opération nationale de sauvegarde du patrimoine historique de l’Action Française, lancée par le Secrétariat Général du Mouvement. Tous documents ou objets divers nous intéressent : photos, films, livres, journaux, correspondance, insignes, drapeaux etc. Ecrire à Michel Franceschetti : chetti133@sfr.fr .
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Une contribution magistrale à la réflexion historique, économique, sociale, politique et stratégique de l’école d’Action Française. Étude intégrale à la disposition des lecteurs de JSF, notamment étudiants, chercheurs et passionnés d’histoire et de science économiques. ENTRÉE
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A lire dans JSF : Le clivage du « nouveau monde » par Rémi Hugues.
Quatre livres fondamentaux de Charles Maurras réédités par B2M, Belle-de-Mai éditions
Enquête sur la monarchie. (Édition de 1925), 39 €, 836 p.
Le manifeste royaliste en ouverture du XXe siècle ! (Parution courant 1900). Maurras y pose la célèbre question : « Oui ou non, l’instauration d’une monarchie héréditaire, antiparlementaire traditionnelle et décentralisée est-elle de salut public ? » !
L’Avenir de l’intelligence, 25 €, 244 p.
Une étude de l’histoire politique et intellectuelle du XVIe au XXe siècle, où Maurras à montre comment les intellectuels et artistes attachés à produire des œuvres de l’esprit sont passés « de l’autorité des princes de notre Sang sous celle des marchands d’Or », les immenses fortunes industrielles et bancaires qui limitent la liberté de l’esprit. Maurras en appelle à une alliance entre les intellectuels et le patriotisme des Français pour renverser cette mécanique.
Kiel et Tanger, 29 €, 428 p.
Maurras y constate la tragique infériorité du régime républicain en matière de politique internationale, spécialement face à la menace allemande de l’époque. Prévoyant la guerre à venir il conclut à la nécessité de remettre un roi à la tête du pays. Prolongeant le réalisme de la pratique capétienne des relations internationales, ancêtre de la pensée géostratégique française.
La Démocratie religieuse, 31 €, 620 p.
Parution en 1921, compilant trois textes préalablement écrits par Charles Maurras : Le Dilemme de Marc Sangnier (1906) – – La politique religieuse (1912) – – L’Action française et la religion catholique (1914). Cet ouvrage voit dans la démocratie une religion nouvelle qui vide le politique de sa puissance.
Et aussi…
Henri Massis, Georges Bernanos, Maurras et l’Action française, présentation de Gérard Pol, 18 €, 104 p.
Léon Bloy, Le salut par les juifs, avant-propos de Laurent James, 20 €, 156 p.
Commandes et renseignements : B2M, Belle-de-Mai éditions – commande.b2m_edition@laposte.net
* Frais de port inclus
La bourse s’envole en l’absence de fondamentaux solides, parce que le marché déborde de liquidités, suite aux politiques de quantative easing, et que celle-ci ne pouvant pas se placer massivement sur un obligataire aux taux négatifs, se positionnent sur les marchés actions. D’autre part, le trading system dirigé par des algorithmes ne prend que partiellement en compte les éléments du ralentissement mondial, par ce qu’il n’a pas les moyens d’en capter les informations à une vitesse compatible avec sa réactivité. La finance internationale est dans un corner assez redoutable, d’autant qu’elle a des engagements croisés entre grands fonds d’investissement, qui sont pour la plus part investis les uns dans les autres, et les banques, des engagements hors bilan qui dépassent de très loin leur fond propres, et qui constituent une menace de disponibilité redoutable sur les capitaux, même avec une liquidité globale excédentaire. Tout le monde tient tout le monde, le jour où une carte sera retirée de la construction de dettes, ce sera immédiatement une crise de contreparties, (clearing) les acteurs conservant leurs liquidités pour leur propres engagements. Les Etats ne peuvent eux, compte tenu de l’importance de leur dette, que partiellement assumer une remontée des taux, en partie grâce à la gestion de la dette par l’allongement des annuités d’emprunt, mais il n’y a pas de martingale en ce domaine, car ils devraient finir par emprunter plus, et plus cher, et ils n’en n’ont guère les moyens, surtout déjà surendettés comme la France, avec des budgets difficilement bouclés. Tout le monde se rassure par la méthode Coué, (pourvu que cela tienne), et au final ce sera l’épargnant qui paiera, car c’est lui qui garantit par son épargne, sans le savoir explicitement, la dette de son Etat, avec le corollaire que tout le monde redoute : Des crises politiques très graves dans tous les pays, doublée d’une crise géopolitique internationale de première grandeur. C’est bien pour cela que le monde accumule les armes depuis 15 ans, sauf la France, comme toujours, évidemment. En attendant le petit village mondial des pseudo-dirigeants se gave de shrimp cocktails, dans les congrès polissés du désastre, en espérant échapper aux conséquences de leur impéritie, tout en guettant le moment de s’échapper. Mais voilà, on n’échappe pas à une guerre mondiale.
Parfois , l ‘on se demande comment » on » peut prêter à la France d ‘ aujourd’hui avec l’état de ses finances , sa gabegie et l’ incurie ; tout cela est gagé sur l’épargnant français , le travailleur – citoyen – contribuable , le bénéficiaire des aides sociales et pensions . En temps utile , on rentrera le coq gaulois pour ressortir le petit écureuil avec ses noisettes et les socio-libéraux ( genre E. Philippe ) iront expliquer que le « riche « doit payer , le pauvre se prendre en charge , le retraité se restreindre .
Le FMI s’occupera de ce Pays et le travail paiera … nos créanciers .