Nous avons appris le décès de l’abbé Georges de Nantes.
Malgré les circonstances, somme toute désolantes, qui ont marqué la fin de son activité, nous serons, sans doute, nombreux à conserver de lui un grand souvenir. Son autorité naturelle et sa prestance, son charisme, son intelligence puissante et vaste qui dominait de larges domaines – philosophie, théologie, politique, sciences – forçaient l’admiration, et suscitaient, simultanément, tantôt l’adhésion, tantôt le rejet.
Il avait mené un combat farouche contre le concile Vatican II et s’était radicalement opposé, on s’en souvient, à Paul VI comme à Jean-Paul II. Il avait pressenti, mêlant, sans doute excessivement, le religieux et le politique, ce qu’un certain concile et ses conséquences allaient causer de torts à l’Église comme à la société civile.
Nous publions ici la réaction de Gérard Leclerc, parue, ce jour, dans France catholique: Gérard Leclerc mort de l’abbé de Nantes.pdf












Asinus sur Caroline Galacteros : L’heure de vérité…
“L’armée russe médiocre? Dieu nous garde de nous colleter avec cette médiocrité, qui est quand même…”