On peut se le demander, après sa surprenante saillie : « L’intégration, c’est quand une famille catholique appellera son fils Mohammed ».
Il aurait peut-être tout aussi bien pu dire que ce serait quand une famille musulmane appellerait son fils Jerôme ou Nicolas; et, surtout, le laisserait aller se faire baptiser si bon lui semble.
Non, il a du paraître plus politiquement correct à Martin Hirsch de toujours tout demander aux mêmes, et jamais rien aux autres. Comme d’habitude…
Pourtant, une intégration réussie, c’est quelque chose qui doit marcher dans les deux sens, non ? Pas pour Martin Hirsch, en tout cas, d’après ses propos…
Paul Pontenuovvo sur Radu Portocala : À Kiev, la…
“Un ramasis d’invertis, plus ou moins nazis et droitsdel’hommistes en même temps, se regardant le nombril…”