On avait pu voir circuler sur Internet, il ya quelques temps, un message disant en substance qu « on » ne nous parlait quasiment jamais, ou si peu, d’authentiques héros qui vivaient pour servir, et qui – trop souvent, hélas… – mouraient, dans l’indifférence quasi complète des médias. Qui, en revanche, nous abreuvaient, jusqu’à la nausée, des faits et gestes de personnes bien moins recommandables…
Hier, comme à chaque Défilé, on a pu prendre une sorte de revanche, mais un jour seulement par an, c’est peu…
Une lectrice nous a envoyé, juste après, ce tout petit texte :













Marc Vergier sur Martin Bernier : « Quand la démocratie…
“Guerre des préfixes, jungle des « ismes ». Il faut bien justifier son statut d’intellectuel jargonnant. Remettre de…”