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Lire Jacques Bainville… (XIV) : Vitalité du Capitalisme…

vendredi 4 mai 2012 sur JSF

(Paru le 10 février, lendemain de sa mort, dans le journal « L’Eclair de Montpellier », cet article est le dernier de Jacques Bainville…)  

        « Selon le mot célèbre, il est des morts qu’il faut qu’on tue. Et il y a aussi ces gens qu’un personnage de théâtre tuait et qui se portaient assez bien.
        Tel est le cas du capitalisme. Avait-on assez annoncé qu’il se mourait, qu’il était bainville capitalisme.jpgmort ? « Vieillard, va-t-en donner mesure au fossoyeur. » On le traitait comme un cadavre. On répétait le classique jam foetet « il pue déjà ». Il y a peu de temps encore, dans un congrès socialiste, un orateur s’écria superbement : « Nous n’aurons même pas besoin de le renverser. Il tombe tout seul. Il s’éboule. »
        Au fond, cette idée était de celles que Karl Marx appelait avec mépris « petites bourgeoises ». Elle se composait d’un mélange d’esprit catastrophique, de pessimisme et de panique. Elle était inspirée par la « crise ». Tout le monde sait que le gros public, moutonnier, n’achète jamais en baisse. Il suffit qu’une valeur descende à la Bourse pour qu’il la croie perdue. Il croit bon tout ce qui monte. Il ne connaît pas de milieu entre la hausse illimitée et la chute verticale et sans remède.

        Quand l’homme de la rue a vu fondre les bénéfices, diminuer ou disparaître les dividendes, il s’est naturellement imaginé que c’était fini, que la prospérité ne reviendrait jamais, que le système touchait à sa fin. Le capitaliste qui désespère de son titre n’est pas dans un état d’esprit différent de celui du socialiste qui attend « l’éboulement » et la « lutte finale ».
        Cependant, toutes les entreprises n’ont pas sombré. Tous les grands trusts ne se sont pas effondrés. Il y a des affaires qui ont tenu bon. Et même les cours remontent. Ils ont souvent doublé en un an. Le capitalisme n’est-il donc pas mort ? Non, petit bonhomme vit toujours.
        Il n’en est pas à ses premières alertes. Qu’on le demande plutôt à ces « deux cents familles » que le Rassemblement populaire dénonce comme une puissance affreuse et féodale, sans d’ailleurs les désigner une par une. On le regrette. Ce serait bien mieux s’il les nommait. On verrait qu’il n’en est pas une seule, pourvu qu’elle soit un peu ancienne, qui n’ait connu dans son histoire des moments où elle a paru tout près de la ruine. Et, sans parler des disparues, les plus puissantes ont été parfois les plus menacées. Elles n’ont pas oublié qu’elles ont souvent tremblé sur leurs bases.
        Le capitalisme ne « s’éboule » pas pour la raison qu »il s’est toujours éboulé. Il est fait d’une suite de destructions et de constructions. L’inimitable dandy, le Brummel de notre temps, Boni de Castellane, enseignait aux gens de son monde « l’art d’être pauvre ». Il y a aussi un art non seulement d’être riche mais d’être capitaliste, art qui consiste à savoir d’abord que les richesses ne sont pas éternelles, qu’elles sont fragiles et ensuite qu’elles se reforment sans cesse, dans d’autres conditions, rarement d’ailleurs entre les mêmes mains.
        Imaginez un peu ce que les contemporains de la révolution française ont pu penser de l’avenir du capitalisme. Si le mot, alors, n’était pas employé, la chose existait. Si les valeurs mobilières n’étaient ni aussi nombreuses ni aussi répandues qu’aujourd’hui, elles étaient fort loin d’être inconnues. La haute, moyenne et petite bourgeoisie vit s’entrouvrir l’abîme, lorsque furent anéanties ces actions de la Compagnie des Indes, qui figuraient, comme on dsaint gobain.jpgirait aujourd’hui, dans les portefeuilles les mieux composés. La modeste dot que Mme de Chateaubriand avait apportée à son illustre époux consistait en rentes sur le clergé qui passaient pour être d’une solidité à toute épreuve et qui étaient en effet supérieurement gagées. Seulement le gage s’évanouit et, un jour, le futur auteur des Mémoires d’outre-tombe reçut pour toute compensation un lot d’assignats, qu’il eût, par surcroît, le malheur d’oublier dans un fiacre.

        Il y eut pourtant des affaires qui survécurent à la tourmente révolutionnaire et aux mesures, d’un communisme incontestable, qui furent prises alors. Saint-Gobain, qui remonte au XVIIème siècle, vit toujours, après des hauts et des bas. Cependant un officier d’artillerie, qui s’appelait Choderlos de Laclos, l’auteur fameux des Liaisons dangereuses, recommandait à sa femme, au cas où il viendrait à disparaître, de ne se défaire, sous aucun prétexte, de ses « charbons d’Anzin » dont il possédait des parts. Moraliste et psychologue, Laclos avait confiance dans l’avenir du capitalisme.
        Ce sont des choses qu’on se rappelle avec un certain plaisir philosophique. Nous ne mentionnerons pas non plus sans une douce et paisible ironie qu’au début de ce siècle, un journal financier très sage, très pondéré, archibourgeois et archiprudent avait organisé un concours parmi ses lecteurs non moins graves que lui pour les inviter à désigner les deux meilleures valeurs du monde. La majorité des suffrages s’était portée sur l’action des Chemins de fer du Nord et sur l’action de la Banque de Paris et des Pays-Bas. Assurément ce n’est pas le résultat que le même genre de plébiscite donnerait aujourd’hui. Qui se hasarderait à décerner cette palme et à nommer le phénix des valeurs ?
        Mais les valeurs mobilières sont comme les feuilles, les fleurs et les oiseaux. Elles tombent, s’envolent et renaissent. Elles sont aussi comme les livres et les chansons qui ont leur destin. Enfin, elles sont faites surtout pour les villes, où l’on oublie vite.
A la campagne, la mémoire est plus longue. L’expérience compte plus et profite mieux. Le capitalisme est un mot abstrait qui n’offre pas beaucoup de sens. On sait ce que c’est que la propriété sous sa forme la plus visible et la plus tangible qui est la propriété foncière, la seule que l’on croie vraiment solide. Pourtant, celle-là même qui est au « soleil », on la sait sujette aux fluctuations et aux accidents. Il est encore des vieillards qui se souviennent de la crise agricole de 1892-1893. Alors les terres se louaient à vil prix. Parfois elles étaient abandonnées. Les propriétaires purent se croire ruinés. Et les prétendants prenaient la fuite lorsqu’ils apprenaient que la dot consistait en fermes. 
Il y a douze ou quinze ans, au moment du grand engouement pour la terre valeur réelle, les anciens, au fond des provinces, hochaient la tête. Ils disaient que ça ne durerait pas. Et ils n’imposaient à leurs fermiers que des baux raisonnables,  ils refusaient de les mettre au coefficient 7 ou 5 en faisant cette prophétie :  » A quoi cela nous servira-t-il, puisque ce sont des prix que, tôt ou tard, ils ne pourront pas payer ? »
        Telle est la sagesse du capitalisme rural lequel est essentiellement traditionnel et modéré et, pour cela même, éternel. Il sait que les peupliers ne montent pas jusqu’au ciel, que les chênes ne plongent pas leurs racines jusqu’au centre de la terre, que rien ne va jamais ni de plus en plus ni de moins en moins, que les catastrophes sont souvent individuelles, bien rarement collectives et totales et que ceux qui les attendent ressemblent à ces hommes qui redoutaient l’an mil et s’abstenaient de fonder et de travailler, tandis que les plus sensés, au lieu de  penser à la fin du monde, continuaient leurs petites affaires.   

eclair de montpellier.jpg

Quotidien royaliste fondé à Montpellier en 1881, L’Eclair de Montpellier multipliait les éditions locales. Il disparut en 1944, comme tant d’autres (comme L’Action française…) pour avoir été publié sous l’Occupation….)

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4 commentaires pour “Lire Jacques Bainville… (XIV) : Vitalité du Capitalisme…”

  1. Lapinos
    vendredi 4 mai 2012 at 1 h 23 min

    Intéressant article où Bainville démontre que le capital, s’il connaît des métamorphoses, n’en est pas moins éternel. Par là même il démontre que la France, elle n’est pas éternelle, les possédants d’aujourd’hui, pouvant être dépossédés demain.
    – Intéressant aussi parce qu’il montre que la mentalité du propriétaire bourgeois de valeurs mobilières, ne fait que prolonger celle de l’aristocrate propriétaires de valeurs foncières.
    – En revanche il faudrait indiquer où Marx prête aux petits bourgeois le catastrophisme ? Au contraire le petit bourgeois gobe l’éternel retour des profits, quitte à ce que, si elles ne tombent dans son escarcelle, aller les dérober dans celles du voisin, car c’est une loi non moins naturelle et vraie que l’homme est de tout temps un loup pour l’homme.
    – Bainville légitime les soviets et la conquête des valeurs patrimoniales des paysans et des aristocrates qui ne faisaient plus que les dilapider dans des guerres coûteuses. Ce n’est pas le cas de Marx, qui reprend à son compte le propos de Shakespeare sur l’avilissement de l’homme par l’argent. Détenant le pouvoir, et donc l’argent, dit Marx, l’élite dirigeante est la caste qui pourrit le plus vite. De toute évidence Marx a lu les saintes écritures avec plus d’attention que Bainville, notamment le fameux : « Qui veut gagner sa vie la perdra ». Quand Shakespeare révèle l’infamie de l' »aristocratie chrétienne », Marx s’en prend à la bourgeoisie qui la prolonge dans les mêmes termes, additionnés d’une ruse à laquelle les monarques auparavant n’avaient pas songé, se contentant de la violence des armes.

  2. Oddone Michèle
    vendredi 4 mai 2012 at 18 h 47 min

    Je rectifie le fameux extrait des écritures: »qui veut garder sa vie la perdra(et non gagner),qui veut la donner la sauvera… »En tout cas,le texte de Bainville est très actuel,ce qui tant à prouver que le coeur de l’homme n’a pas changé depuis la génèse et qu’il est depuis toujours pécheur.Qui a écrit pas de science sans conscience.Pardonnez-moi,je n’est pas encore lu Marx,le Livre de la mémoire universelle et éternelle oui,car « et verbum caro factum est ».Tout est écrit mais il faut lire avec son âme sans relever ou retenir ce qui nous arrange.Il est plus facile de séparer les hommes que de les rassembler.Bien à vous tous

  3. Lapinos
    samedi 5 mai 2012 at 11 h 54 min

    Garder, gagner, sauver sa vie ont le même sens. Le moins qu’on puisse dire c’est que le conservatisme, atavisme féminin dangereux, n’est pas chrétien. « Quel avantage en effet un homme aura-t-il à gagner le monde entier, s’il le paye de sa vie ? », poursuit le Christ, condamnation sans appel de l’ambition politique et sociale.
    – Bainville ne fait que résumer la doctrine des physiocrates anglais du XVIIIe siècle, qui soulignent le caractère biologique de l’économie. Mais il n’y a rien de plus biologique que la pourriture et la mort, vers quoi toute vitalité tend. Je répète ce constat : 1/Bainville est étranger à l’esprit chrétien ; 2/Le propos de Bainville n’incite pas à s’attacher au cadavre de la France comme des insectes coprophages : la France tourne à l’hospice de vieillards : ceux-là pourront-ils compter dans leurs vieux jours sur les jeunes générations qu’ils ont manipulées en les berçant d’illusions ? Pour ma part je ne le crois pas. Le Christ dit encore, bien que cela n’arrange pas forcément tout le monde : « Je suis venu apporter le glaive entre le père et le fils. »
    – La division vient pour les chrétiens du mensonge, et l’iniquité, la trahison, le complot, les coups fourrés, les procès truqués, de la politique. L’évangile raconte l’histoire d’un homme immortel parce qu’il est dans la vérité, et qui est assassiné par un complot de prêtres et un politicien hypocrite, parce que la vérité a pour effet d’effondrer les édifices politiques et juridiques, bâtis sur le mensonge.

  4. Oddone Michèle
    samedi 5 mai 2012 at 18 h 05 min

    Et pourtant,nous devons avancer ensemble,dans le mensonge se sera bien difficile,il nous fréine et nous tire vers le bas.Pour ma part,je crois que l’amour est le plus fort,il nous donne matière à discerner pour trier dans ce foutoir de vie le bon et le mauvais.Bien à vous tous.

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Le manifeste royaliste en ouverture du XXe siècle ! (Parution courant 1900). Maurras y pose la célèbre question : « Oui ou non, l’instauration d’une monarchie héréditaire, antiparlementaire traditionnelle et décentralisée est-elle de salut public ? » !   

L’Avenir de l’intelligence, 25 €, 244 p.

Une étude de l’histoire politique et intellectuelle du XVIe au XXe siècle, où Maurras à montre comment les intellectuels et artistes attachés à produire des œuvres de l’esprit sont passés « de l’autorité des princes de notre Sang sous celle des marchands d’Or », les immenses fortunes industrielles et bancaires qui limitent la liberté de l’esprit. Maurras en appelle à une alliance entre les intellectuels et le patriotisme des Français pour renverser cette mécanique.

Kiel et Tanger, 29 €, 428 p.

Maurras y constate la tragique infériorité du régime républicain en matière de politique internationale, spécialement face à la menace allemande de l’époque. Prévoyant la guerre à venir il conclut à la nécessité de remettre un roi à la tête du pays. Prolongeant le réalisme de la pratique capétienne des relations internationales, ancêtre de la pensée géostratégique française.

La Démocratie religieuse, 31 €, 620 p.

Parution en 1921, compilant trois textes préalablement écrits par Charles Maurras : Le Dilemme de Marc Sangnier (1906) – – La politique religieuse (1912) – – L’Action française et la religion catholique (1914). Cet ouvrage voit dans la démocratie une religion nouvelle qui vide le politique de sa puissance.

Et aussi…


Henri Massis, Georges Bernanos, Maurras et l’Action française, présentation de Gérard Pol, 18 €, 104 p.

Léon Bloy, Le salut par les juifs, avant-propos de Laurent James, 20 €, 156 p.

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