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Europe, es-tu là ? Par Louis-Joseph Delanglade

lundi 14 octobre 2013 sur JSF

euroscepticisme.jpg

 

Le tout récent sondage plaçant le Front National de Mme Le Pen en tête pour les prochaines élections européennes (24% contre 22 pour l’U.M.P. et 19 pour le P.S.) affole les rédactions et les états-majors politiciens. La France risque, selon eux, d’être le principal pourvoyeur en « eurodéputés eurosceptiques ». Beau paradoxe, en effet. Mais, outre que le contexte national explique en grande partie la poussée du F.N., l’« euroscepticisme » fleurit un peu partout sur le vieux continent, de la Grèce au Danemark et de la Hongrie à la Grande-Bretagne. Au vrai, on se demande même comment il pourrait en être autrement.

 

Sur le papier, l’« Europe » est la première puissance mondiale dans les domaines économique et intellectuel. Dans la réalité, ce n’est qu’une association hétéroclite et cacophonique de boutiquiers. Cornaquée par une commission, à raison d’un commissaire par Etat membre, les mesures qu’« elle » prend le sont toujours (en tout cas, paraissent toujours l’être) au détriment de tel(s) ou tel(s) et sont très mal perçues par les opinions publiques.

 

D’aucuns – avec M. Guetta comme porte-parole militant sur France Inter – considèrent que, pour se sauver, cette « Europe » doit s’affirmer davantage dans tous les domaines en harmonisant les diverses politiques fiscale, militaire, industrielle…; et que, surtout, la zone euro doit se transformer en union politique avec un « vrai » parlement, un « vrai » gouvernement et un chef de l’Etat. Bref, il faudrait abolir les actuelles entités nationales (devenues, dès lors « provinciales » – avec même des regroupements transfrontaliers) au profit d’une impossible Europe supranationale.

 

Là où les choses coincent en effet, c’est que le politique viendrait couronner un ensemble de démarches qui lui seraient antérieures. On ne voit donc pas très bien qui pourrait initier lesdites démarches, tant les intérêts nationaux restent divergents. Ne serait-ce pas le contraire qu’il faudrait envisager, c’est-à-dire commencer par une « union » politique ? Mais, nouveau problème, cette « union » peut-elle se décréter ? Qui ou qu’est-ce qui va « faire » l’Europe. Il paraît de toute façon peu probable que les grands pays moteurs (Allemagne et France au premier chef) acceptent de se fondre dans la masse.

 

On se rappelle comment De Gaulle se gaussait en 1965 des « cabris » européistes. On se souvient moins que, dès 1953, il donnait à sa pensée politique la forme d’un véritable syllogisme : la politique n’est rien d’autre que l’art des réalités ; la réalité c’est que l’Europe se compose de nations ; c’est donc à partir de ces nations qu’il faut organiser l’Europe.

 

Rien à objecter, sauf à être un « cabri » ou à cultiver le phantasme d’un empire au bois dormant.

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24 commentaires pour “Europe, es-tu là ? Par Louis-Joseph Delanglade”

  1. Anatole
    lundi 14 octobre 2013 at 16 h 11 min

    Imaginons, un instant, que, par un tour de magie, l’accord se fasse entre Etats européens pour réaliser le vœu de Bernard Guetta; que l’on décide d’élire un « vrai » parlement (c’est à dire transnational); que l’on veuille doter l’Union d’un « vrai » gouvernement (donc, formé sans tenir compte du poids respectif des ex-Etats membres) et d’un chef de l’Etat, (dont la provenance nationale ancienne serait en quelque sorte gommée). Bref, si l’on était tous bien d’accord pour « abolir les actuelles entités nationales », que croit-on qu’il adviendrait ? En admettant que, par une sorte d’ivresse collective, probablement bien éphémère (une nuit du 4 août des peuples, Etats et nations !), ces instances puissent être mises en place, sans difficulté, dans un grand élan d’unanimisme européen, qu’adviendrait-il ensuite, à l’heure de gouverner, de décider, de définir une ou des politiques ? Croit-on que les peuples oublieraient longtemps leurs intérêts propres, dès lors que des décisions seraient prises qui leur paraîtraient, à tort ou à raison, contraires à leurs intérêts vitaux ou à leurs simples habitudes ? Croit-on que ces décisions seraient obéies ? S’imagine-t-on qu’un parlement transnational le resterait longtemps, à l’heure des choix ? Qu’un gouvernement hétéroclite resterait durablement uni, qu’il aurait autorité sur tous ? Quant au Chef de l’Etat (ni Chef ni Etat), qui qu’il soit, d’où qu’il sorte, quelle légitimité aura-t-il pour décider pour l’ensemble ? Ne sera-t-il pas vite suspecté de rouler pour son ex-patrie ?
    Rappelons que, dans l’Histoire européenne, malgré d’immenses luttes, jamais l’Empereur ne s’est imposé partout. Et que l’unité allemande (et encore, sans l’Autriche) ne s’est forgée que par la volonté de la Prusse – qui l’a imposée d’une main de fer.
    C’est ainsi, d’ailleurs, que se fondent les Empires. Pas autrement.

  2. DC
    lundi 14 octobre 2013 at 22 h 15 min

    Rien à redire à Louis-Joseph Delanglade et Anatole, que du bon
    sens.
    L’histoire des nations ne peut être abolie d’un trait de plume.
    Même s’il y a évolution et même révolution, toute l’histoire doit
    être prise en compte, cela est vrai aussi pour la France qui n’est
    ni née, ni morte en 1789.
    Il semble que seuls les royalistes soient capables de
    comprendre cela, du moins il faut l’espérer.

  3. haizet,patrick
    mardi 15 octobre 2013 at 9 h 59 min

    Mes observations d’hier n’ont pas été mentionnées.Pourquoi ?
    Chacun peut-il avoir son opinion sur l’avenir de la France en Europe,ou y-a-il un dogme à respecter,ne varietur ?Et lequel ?

  4. haizet@me.com
    mardi 15 octobre 2013 at 10 h 50 min

    Excusez-moi,mais je n’avais pas remarqué que l’on m’avait posé une question,à deux reprises même.
    Bien que ces 2 questions soient articulées de manière quelque peu cavalière,je me fais naturellement un devoir d’y répondre aussi laconiquement :
    « Delanglade,Louis-Joseph sur Europe,êtes-vous là ? »

  5. haizet,patrick
    mardi 15 octobre 2013 at 15 h 01 min

    Mais revoilà notre ami DC que finalement on n’avait pas oublié !
    Il faut craindre cependant qu’il ne se sente un peu défrisé d’avoir voté pour Hollande, et par ricochet pour tout l’entourage-assez douteux-que ce dernier s’est choisi,et parmi lequel on n’a pas encore distingué de royaliste authentique.
    Voyez-vous,cher ami,les ordinateurs ont calculé que si la moitié de ceux qui ont voté au 1er tour de la présidentielle pour la Marine ( la républicaine,s’entend,pas la française de M. Escartefigue) avait voté pour Sarko au 2ème tour,ce dernier aurait été élu haut la main.Par suite, on est en droit de penser aujourd’hui que ç’eut été moins grave pour la France et les Français.
    En conclusion,quand on a le choix entre la France et la république,il ne faut pas hésiter une seconde.

  6. Anatole
    mardi 15 octobre 2013 at 17 h 52 min

    Le thème Sarkozy – Hollande ne me semble pas vraiment d’actualité.
    Par contre, sur le sujet même de la note de Louis-Joseph Delanglade (l’Europe), j’avoue ne pas comprendre ce que veut dire le cher Patrick Haizet.
    La méthode maurrassienne qui est la nôtre – du moins pour la plupart d’entre nous – me paraît à coup sûr exclure le « dogme ».
    Mais l’analyse historique et l’observation de l’Europe actuelle, ne conduit-elle pas à des évidences ? A des conclusions ? A une ligne de conduite pour la France et, justement, pour la France dans l’Europe ?
    Car, à mon sens, si l’Europe que l’on tente de construire depuis un peu plus de cinquante ans, n’est manifestement pas une réussite, si, aujourd’hui, les peuples la rejettent, ce n’est sans doute pas une raison pour nous, pas plus que nos voisins, d’abandonner tout projet européen.
    René Sédillot, homme de savoir et de sagesse, nous avait montré, il y a près de cinquante ans (Survol de l’histoire de l’Europe, Fayard, 1967), comment l’idée européenne n’avait jamais cessé d’être présente à l’esprit des dirigeants de notre continent, à toutes les époques de son histoire des deux derniers millénaires; mais aussi comment, jamais, elle ne put être réalisée ; combien, donc, le projet est difficile.
    Il me semble qu’un certain nombre de raisons devraient, néanmoins, nous pousser, à le reprendre ; même si un certain nombre d’autres concourent à le contrecarrer gravement. Le plus important de ces facteurs contraires est, à mon avis, le décrochage de la France et, donc, son découplage d’avec l’Allemagne. Sans leur « union » – équilibrée – rien n’est en effet possible. Paradoxalement, la poursuite du projet européen me paraît avoir pour première condition qu’à l’exemple de l’Allemagne, mais selon son génie propre, la France, sans renoncer à une politique européenne qui lui soit propre, refasse de la force.

  7. haizet,patrick
    mardi 15 octobre 2013 at 23 h 24 min

    J’ai l’heureuse impression que notre ami Anatole a pu prendre connaissance des commentaires sur l’Europe que j’ai adressées à la Fautearousseau en réponse aux imaginatives suppositions-toutes gratuites-qu’il avait rédigées dans sa première note publiée ci-dessus.
    Je remarque cependant que ma propre note,elle,n’a pas été publiée,alors qu’Anatole s’y réfère.Y aurait-il une censure chez la Fautea…et de quelle part,et contre qui ?
    Je suis tout de même quelque peu apaisé dans la mesure ou Anatole reprend-avec une sauce nettement consensuelle-l’essentiel de mes réflexions,en n’éliminant pas d’emblée une France dans l’Europe, et rejoignant ainsi le simple bon sens.
    La référence à Maurras ne me surprend pas,mais me paraît aujourd’hui superfaitatoire dans la mesure ou nous ne savons pas quelle serait aujourd’hui la réaction de notre ancien maître-dont toute la pensée était loin d’être figée-.Comme on peut s’en souvenir,il fut retiré à notre affection admirative il y a déjà plus de 60 ans.
    De plus,le rappel de la confrontation entre Sarkozy et Hollande n’est sûrement pas inutile ou déplacée,si l’on se rappelle que Sarkozy savait se comporter en chef-d’Etat volontariste,ce qui n’est guère la cas de Hollande, qui pollue et ruine la France et les Français par son sectarisme dogmatique.On peut estimer sans risque de se tromper qu’avec Sarkozy aux commandes à la place de FH,notre pays ne serait pas là ou il en est.

  8. Thulé
    mardi 15 octobre 2013 at 23 h 35 min

    La construction politique de l’Europe est aujourd’hui totalement bloquée, à la fois par la persistance des logiques étatiques nationales, par l’absence totale de volonté des hommes politiques, et par la bureaucratie.
    Au lieu d’approfondir ses structures institutionnelles, l’Europe a choisi de s’étendre hâtivement à des pays qui n’ont d’autre ambition que de s’intégrer à un vaste marché transatlantique. Elle s’est dotée d’une Constitution sans avoir seulement mis en place un pouvoir constituant, et envisage de s’ouvrir à la Turquie, ce qui montre qu’il n’y a même pas d’accord entre les Européens sur les limites de l’Europe.
    L’équivoque majeure tient au fait qu’il n’y pas d’accord sur les finalités de la construction européenne. C’est ce problème des finalités qui doit être posé. L’alternative est claire : soit l’Europe, donnant la priorité à la libéralisation, épouse la dynamique d’un grand marché visant à s’élargir le plus possible, et en ce cas l’influence américaine y deviendra prépondérante, soit elle s’appuie sur une logique d’approfondissement de ses structures d’intégration politique par le biais du fédéralisme et de la subsidiarité, dans une perspective essentiellement continentale et avec l’intention de balancer le poids des Etats-Unis.

  9. DC
    mercredi 16 octobre 2013 at 12 h 27 min

    Je suis bien d’accord avec Patrick HAIZET, c’est parce que Hollande n’est pas volontariste en matière européenne, notamment, et qu’il ne tient pas ses promesses de renégocier le Traité de Lisbonne concocté par le cher ami Sarkozy de Patrick HAIZET, et contre le vote des Français au référendum de 2005, que nous en sommes toujours au même point.
    Cela devrait cependant réjouir Patrick HAIZET de voir la politique européenne de Sarkozy se poursuivre, en toute continuité pour le malheur de la France et des Français, par Hollande.

  10. Anatole
    mercredi 16 octobre 2013 at 13 h 45 min

    C’est qu’au fond, de manière chronique, nos Chefs d’Etat ne réalisent jamais ce pourquoi ils ont été élus. Les électeurs rejettent l’élu au terme de son mandat et son successeur recommence.
    Curieux exercice de la démocratie, à vrai dire ; et drôle de mise en pratique de la « souveraineté populaire ». Bainvillle avait cette définition, on ne peut plus réaliste, aujourd’hui : « l’électeur, pauvre souverain d’un jour ». Le comte de Paris utilisait l’expression « démocratie formelle » qui signifie un peu la même chose.
    Nous vivons dans ce  »’systéme » depuis déjà plusieurs quinquennats. La Vème République s’y est enfoncée sans réaction ni remord.
    Faut-il s’étonner que ce mouvement de déception perpétuel et, jusqu’â présent, alternatif, amène de plus en plus de Français à se tourner vers le seul parti « qu’on n’a pas encore essayé » ?
    Le risque d’une nouvelle déception est sérieux, bien réel. Mais déception pour déception, après tout, ce risque n’est même plus dissuasif.

  11. Thulé
    mercredi 16 octobre 2013 at 15 h 51 min

    Les commentaires ci-dessus que l’on peut situer entre un gaullisme pur et dur et un maurrassisme éclairé, ne sont que la résurgence d’un vieux fonds de légitimité monarchique, cependant canalisé par la tradition républicaine, censé constituer le rempart le plus efficace, contre les tentations ultra-droitières.
    L’ambition d’expliquer contrarie souvent la volonté de comprendre. A trop croire que l’incapacité de Louis XVI a été la grande cause de la Révolution Française, on perd de vue les phénomènes idéologiques. De même, à trop considérer le personnel politique comme responsable et semblable aux acteurs des siècles précédents, ont perd totalement de vue l’influence de la globalisation.
    Il n’est même plus évident que les hommes politiques aujourd’hui, aient une prise réelle sur les évènements et ne soient pas dépassés, à la fois comme acteurs de la conduite des sociétés et comme représentants des peuples au nom desquels ils gouvernent.

  12. haizet,patrick
    mercredi 16 octobre 2013 at 15 h 54 min

    Tout ce joli et aimable verbiage ne m’indique pas pourquoi
    Lafautearousseau a refusé de publier mon article sur l’Europe, du 14 octobre 2013,en réponse à ceux de MM.Delanglade et Anatole.

  13. lafautearousseau
    mercredi 16 octobre 2013 at 16 h 00 min

    (A Haizet) Cher ami, nous n’avons rien refusé du tout; tous les commentaires sont acceptés sur lafautearousseau (sauf les fantaisistes et sans rapport avec les sujets traités, ou les injurieux), et ils ne sont pas modérés. Nous ne voyons que deux explications : soit vous avez fait une fausse manoeuvre dans votre envoi; soit Hautetfort a connu une défaillance temporaire au moment où vous l’avez envoyé. La meilleure chose à faire est donc de renvoyer ce fameux commentaire ou article, que nous n’avons jamais reçu, et vous verrez bien, alors, que nous le passons très volontiers, comme tous les autres…

  14. haizet,patrick
    jeudi 17 octobre 2013 at 11 h 07 min

    Pour lafautearousseau : merci d’avoir effectué une recherche,bien qu’elle soit négative.
    Pourtant,je vous ai bien envoyé ce document que je n’ai plus pour vous le réexpédier.D’autre part,j’ai remarqué qu’Anatole s’y référait dans sa note du 15 octobre.
    Dites aussi à DC de ma part que je ne comprends rien à ses nouvelles contradictions et qu’hélas Sarkozy n’a jamais été mon ami.Je le regrette,car paraît-il,il a une conversation plus intelligente que celle de l’idole de DC,Hollande.

  15. Anatole
    jeudi 17 octobre 2013 at 11 h 20 min

    Je me référais simplement aux trois commentaires de Patrick Haizet toujours présentes, ici, à la date du 15 octobre. Je n’en ai lu aucun autre. Mais que Patrick Haizet veuille bien en croire mon expérience des « commentaires » : il nous est à tous arrivé de « perdre » un commentaire à cause d’une mauvaise manipulation. (Ou de passer deux fois le même !)

  16. haizet,patrick
    jeudi 17 octobre 2013 at 14 h 38 min

    Bizarre,bizarre.
    Lafautearousseau n’a reproduit que 2 de mes messages alors que mon ordinateur m’indique que j’en ai envoyé 3 qui sont bien arrivés à destination (comme d’ailleurs le confirme bien Anatole dans son message de ce matin).
    Je fus donc étonné de constater dans votre diffusion que figuraient 2 fois mon 2ème message et pas du tout mon 1er qui était le seul important et traitait du sujet en cause.
    Pour ce qui est de la compétence en cette matière d’ordinateur,je ne prétendrais pas en être un spécialiste ou un technicien,mais simplement un utilisateur des premiers jours.
    J’avais eu la chance de faire la connaissance de Steve Jobbs à New-York lorsqu’il sortait ses 1ers portables (car j’étais l’un de ses banquiers),et j’avais été séduit par sa puissance de raisonnement de visionnaire, de même que par son désir d’originalité affiché.De cette façon,ma fidélité à Apple est restée intacte.Elle fut confirmée par les améliorations constantes de la marque.
    Ma déconvenue actuelle ne peut donc qu’être mise sur le compte d’un incident aussi rarissime qu’inexplicable.

  17. Danton
    jeudi 17 octobre 2013 at 15 h 58 min

    Vous nous faites chier avec votre message perdu. Réécrivez-le et qu’on en finisse.

  18. haizet,patrick
    vendredi 18 octobre 2013 at 11 h 13 min

    D’accord,bien raisonné !
    Alors,faites donc!…. Mais que ceux qui ne savent pas nager montent sur les petits bancs !……..Au fond,comme Hollande…(mais il n’est pas certain que ce dernier ait prévu des petits bancs compte tenu de sa taille avantageuse.Dans ce cas-là,il devrait demander conseil à Mélenchon ).

  19. Catoneo
    vendredi 18 octobre 2013 at 19 h 43 min

    A être aussi avare de ses commentaires, M. Haizet ne doit pas se raturer souvent. Bon…
    Je vois deux erreurs dans notre construction européenne :
    D’une part, l’élargissement inconsidéré du champ politique à des pays émergents strictement quémandeurs.
    D’autre part, la confiscation de l’épure par des élites convaincues que les gens sont bêtes et ne peuvent conceptualiser.
    Sur le premier point, je pense que l’arrivée dans l’Union des pays de l’Est au contact de l’Union soviétique au moment où elle implosa était un rachat historique de nos lâchetés anciennes. L’Allemagne y a pris sa part en réhabilitant les länder orientaux ruinés. Les pays baltes se sont littéralement échappés, et tous ont rejoint l’OTAN au cas où.
    Il fallait s’en tenir là. La Grèce est une erreur, comme Barroso est une erreur. Mais les Balkans sont une faute.
    On peut discourir du développement nécessaire des marches de l’Union. Etait-il nécessaire d’aller au-delà d’une zone économique de libre échange ? En plus il y avait la structure idoine, l’AELE ; et pour la déco, on les mettait au Conseil de l’Europe à Strasbourg.
    Les intégrer fut pure vanité des hauts fonctionnaires de la Commission qui croyaient élargir ainsi leur pouvoir alors qu’ils l’ont dilué.
    On aurait pu défendre plus tôt une Fédération d’Europe occidentale avec les 6 fondateurs et quelques voisins utiles comme l’Autriche ou le Danemark ; et laisser les autres à leur destin.
    Sur le second point, il n’est pas douteux que les défis mondiaux ne sont plus à la portée de pays moyens comme la France, surtout quand ils sont handicapés par une gabegie éhontée et n’ont aucune rente pour la masquer.
    Se mettre ensemble mais en gardant notre identité était et demeure jouable ; sauf à poser le plus tôt possible la question aux gens qui subissent ensuite les effets des décisions lointaines : confédération ou fédération ?
    Les pays optant pour la fédération se fédèrent au sein de la confédération que les autres ont choisi. Ceux qui disent non à l’alternative dégagent de la piste.
    Cette question n’a jamais été posée aux gens. ils sont donc contre ! Pourtant elle aurait été plus efficace en terme de gouvernement que des élections au parlement européen.
    On peut « craindre » aujourd’hui que l’Europe ne se fracture sur une ligne horizontale nord-sud. Il est fort celui qui en comprend déjà l’issue. Tempête devant !

  20. DC
    samedi 19 octobre 2013 at 11 h 35 min

    Catoneo pourrait-il préciser ce qu’il entend par confédération
    ?
    L’idée de confédération pour l’Europe est en effet la seule
    permettant à chaque Etat de demeurer souverain, tout en
    s’associant à d’autres, pour coopérer et mettre en place des
    politiques communes.
    Une fédération sous-entend un Etat fédéral, et par conséquent
    la disparition des Etats actuels, en tant qu’ Etats souverains,
    qui au mieux, deviendront des « Länder » ou provinces de l’
    Etat fédéral européen, calquée sur l’organisation
    institutionnelle de l’Allemagne actuelle, dont les Länders
    étaient autrefois des Etats souverains.
    Nous en prenons déjà le chemin avec l’Union européenne
    actuelle.
    Ou pire encore, la disparition pure et simple des Etats actuels,
    au profit des Régions d’Europe fédérées au sein de l’Etat
    fédéral européen, avec des prérogatives de « Länder ».
    L’Europe n’ayant jamais été ni un Etat, et encore moins une
    nation, seule une confédération politique semble adaptée
    pour organiser institutionnellement l’Europe, plutôt que l’Union
    actuelle essentiellement économique et technocratique.

  21. Anatole
    samedi 19 octobre 2013 at 13 h 05 min

    Tout à fait d’accord avec DC. Encore que même une confédération, pour souhaitable qu’elle soit, ne se fera pas sans grandes difficultés. Les domaines où une politique commune pourra se dégager risquent d’être introuvables et sujets à toutes sortes d’oppositions ou de réticences contradictoires. Finalement, c’est une politique commune de la culture qui pourrait le plus facilement être mise en place. L’économique divise à raison des intérêts divergents. Le Politique aussi. Ce que l’Europe a le plus immédiatement en commun, c’est sa culture, sa civilisation. En reniant ses racines chrétiennes et en important des masses venues d’un autre monde, elle s’est stupidement interdit de s’unir, d’abord, sur ce qu’elle a en commun de plus essentiel. Or une grande politique européenne de la culture, contrairement à qu’on pourrait penser un peu vite, ce ne serait pas un objectif anodin.

  22. Catoneo
    samedi 19 octobre 2013 at 14 h 40 min

    La confédération des nations ou la fédération de Etats. DC décrit ce que je vois aussi.
    Reste à creuser la question en partant quand même d’un présupposé particulièrement prégnant : la souveraineté « moderne » n’est plus que l’art d’optimiser ses dépendances.
    Il n’y a plus de pays indépendant. La France seule, c’est terminé.
    D’où l’échec du souverainisme français.

  23. DC
    samedi 19 octobre 2013 at 15 h 30 min

    Je partage le point de vue d’Anatole sur le fonds culturel
    commun européen à promouvoir, bien que d’autres domaines
    peuvent faire également l’objet de nombreuses et fructueuses
    coopérations. Les politiques auraient intérêt à s’établir sur des
    projets, plutôt que sur des concepts ou des harmonisations,
    notamment dans le domaine économique. Il faudrait alors
    changer de priorité : à savoir passer d’une Europe de la
    soi disante concurrence « libre et non faussée » à une Europe
    de la coopération libre, préférentielle et protégée (autant que
    possible vis-à-vis de l’extérieur).
    Pour répondre à Catoneo, la souveraineté n’est pas
    l’autarcie, c’est avant tout la capacité à décider seul. Bien
    entendu, la France sera toujours interdépendante des autres
    pays, pour certains domaines, et réciproquement.

  24. Catoneo
    samedi 19 octobre 2013 at 15 h 58 min

    Décider seul est de plus en plus difficile dans le monde contemporain, du moins la préparation de cette décision « souveraine » doit-elle être précédée d’un examen des dépendances, examen qui généralement douche l’enthousiasme souverain.
    Mais il est un artifice formidablement démocratique qui peut surmonter l’obstacle, c’est la votation populaire qui sert d’alibi au refus d’alignement. La Suisse sait l’utiliser.
    Un roi en haut, maintenu dans son périmètre régalien stricto sensu (5 fonctions), et la démocratie directe en bas, avec quelques étages intermédiaires pour bonifier l’effet d’échelle.

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A lire dans JSF : Le clivage du « nouveau monde » par Rémi Hugues.

Un mini-dossier en 6 parties. Analyses et propositions. Une manière d’appréhender la situation française réelle et ses évolutions afin de fixer nos positions. A lire, donc.  Suivre les liens.  JSF     I   II  III   IV   V   VI

Quatre livres fondamentaux de Charles Maurras réédités par B2M, Belle-de-Mai éditions

Enquête sur la monarchie. (Édition de 1925), 39 €, 836 p.

Le manifeste royaliste en ouverture du XXe siècle ! (Parution courant 1900). Maurras y pose la célèbre question : « Oui ou non, l’instauration d’une monarchie héréditaire, antiparlementaire traditionnelle et décentralisée est-elle de salut public ? » !   

L’Avenir de l’intelligence, 25 €, 244 p.

Une étude de l’histoire politique et intellectuelle du XVIe au XXe siècle, où Maurras à montre comment les intellectuels et artistes attachés à produire des œuvres de l’esprit sont passés « de l’autorité des princes de notre Sang sous celle des marchands d’Or », les immenses fortunes industrielles et bancaires qui limitent la liberté de l’esprit. Maurras en appelle à une alliance entre les intellectuels et le patriotisme des Français pour renverser cette mécanique.

Kiel et Tanger, 29 €, 428 p.

Maurras y constate la tragique infériorité du régime républicain en matière de politique internationale, spécialement face à la menace allemande de l’époque. Prévoyant la guerre à venir il conclut à la nécessité de remettre un roi à la tête du pays. Prolongeant le réalisme de la pratique capétienne des relations internationales, ancêtre de la pensée géostratégique française.

La Démocratie religieuse, 31 €, 620 p.

Parution en 1921, compilant trois textes préalablement écrits par Charles Maurras : Le Dilemme de Marc Sangnier (1906) – – La politique religieuse (1912) – – L’Action française et la religion catholique (1914). Cet ouvrage voit dans la démocratie une religion nouvelle qui vide le politique de sa puissance.

Et aussi…


Henri Massis, Georges Bernanos, Maurras et l’Action française, présentation de Gérard Pol, 18 €, 104 p.

Léon Bloy, Le salut par les juifs, avant-propos de Laurent James, 20 €, 156 p.

Commandes et renseignements : B2M, Belle-de-Mai éditions – commande.b2m_edition@laposte.net

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