1. Sur les Blogs, sur Facebook ou ailleurs… :
1. Alain Finkielkraut reçoit Bernard Lugan et Achille Mbembé, pour parler de l’Afrique du Sud (sur France Culture, dans Répliques, le samedi 12 octobre) :
2. Dans « La Croix » : Allemagne, le retour du social : Scan.jpg
3. Dans « Royaliste » : La morale laïque selon Vincent Peillon, par Gérard Leclerc : GERARD LECLERC PEILLON.jpg
4. Dans FOB (Forces Opérations Blog), Interview du Général Desportes sur la Loi de Programmmation Militaire (1ère partie) : http://forcesoperations.com/2013/10/16/interview-general-desportes-sur-la-lpm/
5. Travail du dimanche : les fausses excuses (dans Famille chrétienne) : TRAVAIL DU DIMANCHE.jpg
6. De Zemmour, bien vu : « Marseille et les apprentis sorciers » (Fig mag du 18 octobre) : ZEMMOUR MARSEILLE.jpg
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2. La « bourse aux liens », envoyés par des lecteurs, pour approfondir et aller plus loin…
1. Envoyé par Vincent Renaud : AFU, Lys noir : afin que chacun se fasse son opinion, Vincent Renaud nous envoie le numéro un de AFU, l’Action française universitaire : AFU_2_Calaméo_ok.pdf avec ce message :
Merci beaucoup encore une fois. Un beau signe de l’unité royaliste nécessaire. Voici l’adresse du petit site qui supporte le journal. http://actionfrancaiseuniversitaire.tumblr.com/
(Cette chronique n’a pas d’autre objet que de communiquer à nos lecteurs des articles et prises de positions sur lesquels nous nous trouvons en convergence, totale ou, au moins, partielle, et sur des points d’importance; elle ne signifie évidemment pas accord total et permanent, sur tous sujets et en toute occasion, avec les Blogs ou Pages mentionnées… Même chose pour les liens envoyés par des lecteurs, pour approfondir tel ou tel sujet traité sur le Blog, pour « aller plus loin »…)
Cet AFU auquel vous faites écho – qui a déjà provoqué la réaction hostille du CRAF – de quoi s’agit-il ? Un nouvel « Insurgé » ou une provocation ?
Pseudos bidons, style déjanté, volontiers grossier et, en effet, inutilement provocateur, mais aussi analyses originales, plutôt intelligentes, non conformistes, parfois carrément farfelues, mais qui peuvent aussi secouer les conformismes mécanisés trop souvent en cours à l’AF; l’ambition que semblent afficher ces jeunes (?) de ne pas se satisfaire du rôle de supplétifs de ceci ou de cela, de tracer leur propre voie, celle d’une Action française revififiée : les impressions sont contradictoires et variées.
Oui, de quoi s’agit-il ? Ceux que cela intéresse suivront ce qu’il adviendra de cet AFU improbable mais pas sans intérêt.
on ne supporte pas un journal, on le soutient
supporter est un anglicisme et, dans le contexte veut dire à peu prés le contraire de soutenir
Ce blog suggère très souvent des appels aux meurtres.
A se méfier particulièrement.
Voir à ce sujet l’article de l’A.F :
http://www.actionfrancaise.net/craf/?Communique-d-Action-francaise
Je n’ai pas trouvé de réels appels au meurtre, comme vous le dîtes, en choeur avec les journalistes du Monde.
En outre, Maurras, Vaugeois, Daudet n’étaient-ils pas familiers de tels appels, cela n’implique pas qu’ils souhaitaient aller jusqu’au meurtre. Cela relevait davantage de la mise en garde brutale. Cela change des propos parfois tièdes de certains royalistes.
1. Commencçons d’abord par comprendre que les 16 000 visiteurs uniques / mois de lafautearousseau n’ont rien à voir avec les querelles internes de certains groupes royalistes; que l’image qui s’en dégage est nulle, négative, même; que nous avons tout intérêt à en limiter la divulgation. L’Action française s’est plus, mieux, autre chose que ces sottises.
2. De ces querelles, Paris a toujours été spécialiste. On se sent parfois heureux d’être en province où, en général, les personnes se traitent bien et plus sereinement.
3. Les communiqués du CRAF ne sont pas forcément parole d’Evangile. La langue de bois n’y est pas rare.
4. La violence, la vulgarité, le vocabulaire d’une extrême grossiérete, l’inconscience (?) des rédacteurs de cet AFU sont, de toute façpn, disqualifiants. On ne publie pas de tels écrits. Si exaspérés que l’on puisse être contre mille choses qui, en effet, peuvent être lamentables, on ne s’exprime pas ainsi. On n’imprime pas. On ne publie pas. Pas cela (le dernier numéro) qui est indigne de l’Action frnçaise.
Longue vie aux fédérations de province RN ou CRAF et à Lafautearousseau.
(Qu’on ne me ressorte pas « la violence au service de la raison », formule maurrassienne qui a pour objet précis de subordonner la première à la seconde, que les utilisateurs habituels de l’expression ont plus que tendance à méconnaître).
Dit ailleurs…
Au-delà du délire de l’AFU, le surgissement de micro-chapelles telles que le Lys Noir de Crevelle ou la Royauté Républicaine Française de Dequéant (après Démocratie royale et même le GAR) signale un déficit d’autorité des chapelles principales, bloquées sur les années cinquante sans capacités utiles de projection, incapables de conceptualiser plus loin que « Jacques-a-dit ». Ce défaut de prospective, c’est le crabe qui bouffe le royalisme de l’intérieur.
Ces rejets dérisoires n’en sont pour autant plus éclairants du futur possible en ce qu’ils n’anticipent aucune rupture de tendance, se contentant de projeter l’existant. Le royalisme n’a pas de projet construit, et c’est bien là le drame, au seuil d’un bouleversement dont on ignore le modèle mais dont on sent bien maintenant l’incandescence.
Entre les « … propos parfois tièdes de certains royalistes », » Les communiqués du CRAF ne sont pas forcément parole d’Evangile. La langue de bois n’y est pas rare. », et le « Le royalisme n’a pas de projet construit… », il semblerait que la seule vérité royaliste soit ici, dans ce blog.
Vous me permettrez de n’être pas tout à fait d’accord et préfère me retirer de cet abonnement.
Decidement, a trois dans une cabine téléphonique les royalistes continuent de s’enguirlander et a quatre, la scission s’approche.
1) oui blh n’a pas raison de vouloir rompre avec l’excellent site de La Faute à Rousseau. S’il estintelligent il y reviendra.
2) non Olivier Perceval n’obtiendra pas gain de cause par la voie légale car le titre AFU n’appartient pas au CRAF mais à la NAR; et son propriétaire reste Yvan Aumont. Il lui faudra donc tirer les oreilles de Rodolphe – ce qu’i sait faire.
3) non le Lys noir ne mérite pas vraiment une telle dispute. Son « directeur », plutot sympathique, un peu paumé, très provocateur, peut-etre légèrement manipulé doit etre pris pour ce qu’il est : un compagnon de Jéhu de l’an 2000 plutot qu’un cadre royaliste.
Ceci ne retire rien de l’interet des petits chefs de bande car dans les années 1990 on a pu constater qu’en agrégeant le Cercle Jacques Bainville d’Assas, les sections de Dijon et Lyon, le groupe de la Sorbonne, la bande de jeunes catholiques versaillais et les quelques vendeurs volontaires Parisiens, le Jeune Nicolas Portier a réussi a reconstituer une jeune Action Française intelligente et turbulente. En revanche il me semble que le succès du dernier camp MRDS démontre que c’est du coté CRAF que le renouveau semble prendre forme.
Ce que j’aime bien dans les interventions régulières de RN/VAR : elles sont toujours, manifestement, guidées par un souci d’unité, et non de division; de dépassement « par le haut » des querelles inutiles et qui nous affaiblissent: par la bonne volonté de quelqu’un (quelqu’une ?) qui aimerait qu’enfin les royalistes cessent de tourner leurs canons les uns contre les autres pour s’auto-détruire, mais les tournent tous ensemble contre le seul adversaire : le Système : l’esprit d’union doit l’emporter sur l’esprit de division, le « travailler ensemble » et dans la même direction sur les coups bas; la bonne volonté sur le mauvais esprit. Malheureusement, il y a du boulot !…
La dispute est ancienne. Remonte-t-elle à la Régence, un historien nous le dirait.
Le « royalisme » doit se cantonner au domaine régalien et ne pas s’investir sous sa propre bannière dans le champ civil (social, économique et sociétal) car ses troupes y sont divisées.
Or dans le domaine régalien, rien n’est fixé au plan des idées qui servent plus de munitions que de réflexions.
Dans le domaine civil, tout le spectre politique est représenté chez les royalistes, même si les chapelles n’en prennent qu’un étroit segment. Normal qu’il y ait des frictions.
Les conditions d’une restauration (ou tout autre mot) ne sont pas réunies. Il y faudra une « surprise » qui rangera tout le monde au garde-à-vous. Pour le moment je n’en vois pas, mais ai-je bon oeil ?
Reste la Querelle dynastique, la plus sûre preuve de l’existence du Malin et de la puérilité des hommes.
Je ne suis pas un spécialiste du mouvement trotskiste mais quand les Lambertistes ont acté leur déficit d’autorité, ils ont investi le Parti socialiste lorsque Cambadélis y est entré avec 400 militants. Le solde et des cousins (PT) sont allés à la CFDT pour rater leur putsch. Ils ne sont pas restés les deux pieds dans le même sabot.
Mai 68, j’y étais toutes les nuits après le boulot ; les mao-machins tenaient le haut du pavé même si les amphis étaient d’une ringardise incroyable aujourd’hui. Ils avaient l’effectif et une idéologie rodée, transformée en slogans prêts-à-penser pour le tout-venant. Ils parlaient fort et clair, à la portée du premier couillon perdu sur les bancs. A l’Odéon pareil !
Je n’ai jamais vu d’amphi AF même s’il est possible qu’il y en ait eu un. Toujours le problème d’effectif, ne rêvons pas.
Revenons à nos moutons noirs.
Je suis l’expérience de Rodolphe Crevelle ( Lys Noir) depuis le premier jour, grâce d’ailleurs à des explications données par SYLM qui a bien cerné le logiciel ; chaque numéro me pose question, il y a des pépites au milieu des gravats. Il est certain qu’il ne les transformera pas en lingots, mais personne d’autres ne les ramasse non plus. Il s’y essaie, réessaie, les autres récitent.
Cher Catoneo,
Plein de bonne volonté, je me suis mis a la lecture de cet AFU proposé par La Faute à Rousseau.
Je suis au regret de n’y avoir decelé aucune pépite. Peut-être suis-je passé à coté. Je ne demande qu’a voir. Donnez-moi un exemple…
En revanche j’y trouve un peu juste l’idée du « ma stratégie, s’est pas de stratégie ». Le tout avec un « Directeur » se réclamant de « son maître Michel Michel », universitaire grenoblois bien connu pour sa théorie stratégique en 4 phases, élaboré dans les années 1975.
Ceci dit Rodolphe appartient à la famille des véritables agitateurs d’extrême droite (suivant la terminologie des RG). Il faut lui reconnaître un talent certains dans le montage d’opérations de type occupation des îlots anglo-normands en fusionnant royalistes, intégristes et Coordination Paysanne. C’est un savoir faire suffisamment peu répandu pour faire la fine bouche. A ce titre il a mon respect. Pour les idées, il doit encore progresser. Pour la stratégie il part de très loin mais au moins il semble éprouver le besoin de chercher, au moment ou la crise du mariage gay a remis sur le devant de la scène, à la fois la réalité du Pays réel et celui de Crise évoqué dans Si Le coup de fprce est possible (dont les concepts viennent d’ailleurs plus du colonel Larpent que de Maurras).
Je reste donc ouvert à une pépite a coté de laquelle je serais passé. Pour le quotidien, je suis droit dans mon admiration devant la capacité de la vieille maison a poursuivre son rôle d’école de formation grâce au dévouements de ses cadres faisant régulièrement la jonction entre anciens à la fidélité à toute épreuve et nouvelles générations en quête d’intelligence et de turbulence.
Je parlais du Lys Noir et pas de la revue urticante AFU.
Dans un numéro ancien j’avais apprécié le concept de communes anarcho-solidaires montées en autarcie. Je les situais dans La Montagne Noire 🙂 Leur intérêt était surtout de fonder quelque chose au sol ensemble, dans le monde réel, et de sortir des conférences et cénacles phosphorants.
L’idée du prince de vitrail, référence immuable de la nation, retiré au Mont Saint-Michel, il fallait la trouver. On peut développer le mythe.
L’idée de lancer un compétiteur nouveau dans le jeu de la Querelle dynastique rejoint mon diagnostic. Un troisième « larron » mettrait tout le monde d’accord en aspirant tous les fidèles, ce qui ne serait pas bien difficile.
Vous voyez bien qu’il y a du neuf.
Quant à la Vieille Maison, son rôle de passeur est indispensable mais ce n’est qu’un segment de l’épure.