Pour avoir simplement manifesté, sans violence(s) et sans casse, Nicolas Bernard-Buss a fait de la prison.
A Marseille, où les Algériens (fussent-ils « français de plastique ») célébraient la victoire de « leur » équipe nationale, qui n’est pas l’équipe de France, Abdelkader Abbou a jeté une pierre à la tête d’un policier. Devinez ce qu’en dit l’auteur de l’article, Denis Trossero, qui relate les faits dans La Provence : « …l’un deux, majeur, a eu l’idée idiote de jeter une pierre à la tête d’un policier… ».
Oui, vous avez bien lu, et si vous ne le croyez pas vous allez à La Provence de ce vendredi 22 novembre, page 4 en bas à droite, lignes 9, 10 et 11.
On aimerait savoir ce qu’aurait dit Denis Trossero si c’était Nicolas Bernard-Buss qui avait jeté une pierre à la tête d’un policier : est-on absolument sûr que Denis Trossero aurait parlé simplement d’une « idée idiote » ? Le doute est permis…
Il y a plus, et en un certain sens, mieux, si l’on peut dire, toujours dans le même article.
Un autre « jeune », Djoubeir Maatouf, âgé de 18 ans, a lui aussi jeté une pierre sur un policier. Mais, rassurez-vous, ce n’est pas grave, et vous pouvez vaquer, tranquille, à vos occupations : « mais au tibia, sans ITT » nous dit l’impayable Denis Trossero. On est rassurés !
Et informés ? Denis Trossero veut-il dire que l’on peut jeter toutes les pierres que l’on veut sur les policiers, du moment que c’est « au tibia et sans ITT » ? N’est-ce pas ce que laisse à penser l’extrême maladresse de sa rédaction (est-ce ainsi que l’on apprend à « écrire » (!), dans les écoles de journalisme ?…)
On est surtout informés – ou plutôt confirmés… – de ce que l’on savait déjà : selon que vous vous appellerez Nicolas ou bien Abdelkader et Djoubeir…
Il ne fait vraiment pas bon d’être blanc, français et catho en ces périodes ou la chasse est ouverte par Valss et Taubi rat…
Les français vont-ils continuer à se laisser traiter comme cela
encore longtemps ? que faudrait-il qu’il se passe afin qu’ils réagissent enfin ?
Oui, deux poids, deux mesures mais pour nous la balance penche dangereusement du mauvais côté !
Je soupçonne Denis Trossero de pousser le bouchon pour agacer son patron, un certain Tapie Bernard qui n’aiment pas « ses » journalistes.
Entretien du 18 novembre avec Pascale Egré du Parisien :
Question : « Quels sont vos rapports avec les journalistes de la Provence ? Ils ont exprimé des craintes au début… »
Réponse : « Oui, et ça continue. On ne se parle pas, on ne voit pas, on ne s’aime pas, voilà. Ça ne m’intéresse pas, ils ne m’intéressent pas. Pour moi, La Provence, c’est pas que les journalistes. Ils sont 95% de l’intérêt du journal mais c’est le journal qui est important. Après, font-ils bien leur boulot ? La réponse est oui. Suis-je fier de la façon dont le journal est fabriqué ? Oui. Ai-je quelques copains dans la rédaction ? Oui. Je n’ai pas besoin d’aimer les gens pour qu’ils soient contents de travailler avec moi et savoir qu’ils font un travail de pro. »
Tant que les policiers resteront dociles et fidèles à la ripoubique idéologique socialo-maçonnique, rien ne changera ! Et les journaleux « trop de zéro » et compagnie peuvent continuer leurs gribouillages. A quand le putsch pour renverser ce régime moribond et puant ?
Il faut aller à Tahiti pour voir des gens réagir de façon lucide et réaliste face au problème, mais pas de souci, cette information-là ne sera pas rediffusée en métropole :
https://www.facebook.com
/photo.php?v=10151945369707226
Cela mérite pourtant d’être vu et diffusé!