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Une impressionnante évocation : Bouvines, 27 juillet 1214, par Pierre de Meuse (1)

mardi 5 août 2014 sur JSF

Il s’agit, en vérité, de bien davantage qu’un récit – quoique tout y soit décrit par le menu – et de bien davantage que d’une évocation. Mais, outre tout cela, d’une étude politique, militaire, historiographique de la bataille de Bouvines, dont la France commémore les 800 ans. Compte-tenu de son importance, nous publierons cette étude en trois parties, dont voici la première. Signalons encore que ce texte est repris du numéro 36 de La nouvelle revue universelle (avril-mai-juin) – que nous recommandons de lire en totalité *.  

 

AG DREUX 026.JPGLa France capétienne a bénéficié tout au long de son histoire, d’un avantage considérable : celui d’être le pays le plus peuplé d’Europe. Cette supériorité démographique, notre pays la conservera jusqu’au XIXème siècle, au cours duquel l’Angleterre et l’Allemagne la dépasseront lorsque les règles fiscales issues de la Révolution viendront briser le dynamisme familial issu de l’Ancien régime. Il est donc logique que les concurrents de la France n’aient pu envisager de la vaincre, lorsqu’elle était unie, que par une coalition. Il arrive que ces coalitions triomphent, comme à Waterloo, ou qu’elles échouent, comme à Denain. Dans tous les cas, c’est un grave danger pour la nation française. Il y a huit cents ans cette année que la première de ces grandes coalitions européennes fut formée, et qu’elle vint se disloquer à Bouvines. Voilà un anniversaire plein de sens, puisque depuis quelques années l’héritage français se trouve menacé de submersion. Il convient donc de se remémorer les circonstances de cet évènement capital, qui est la deuxième grande bataille livrée par les rois depuis la fondation de la dynastie.

À l’origine de ce conflit, il y a, comme ce fut souvent le cas au cours des âges, l’hostilité de l’Angleterre et de Jean sans -Terre, son roi. Les motifs de cette hostilité sont patents : Philippe Auguste, roi intelligent et calculateur, a habilement su récupérer dans son Domaine royal la plus grande partie de ce que son père Louis VII (1120-1180) avait perdu à cause de la répudiation de son épouse Aliénor d’Aquitaine : pratiquement toute la partie ouest de la France, c’est-à-dire la moitié du royaume.  Normandie, Bretagne, Maine, Saintonge, Angoumois, etc… Philippe s’est appuyé avec diplomatie sur les dissensions familiales de la dynastie anglaise. D’abord entre Henri II Plantagenet et son fils cadet, Jean sans Terre, puis entre les deux frères Richard Cœur de Lion et le même Jean sans Terre, enfin sur les révoltes causées par la paillardise et le manque de qualités guerrières de ce roi Jean après la mort de Richard, tué au siège de Châlus en 1199. Jean, qui a succédé à son frère mort sans postérité légitime, décide donc de reconquérir ses territoires perdus. Il noue alors une coalition avec tous les ennemis potentiels du roi de France, le comte de Flandre Ferrand (qui est en fait portugais) et celui de Boulogne, le duc de Brabant ainsi que le titulaire du Saint Empire Romain Germanique, Otton IV de Brunswick, tous unis dans un désir commun d’en finir avec la puissance de la monarchie capétienne. Chacun reproche au roi de France, soit de lui avoir pris des villes ou des territoires, soit de soutenir ses ennemis. Il y a aussi la forte dépendance entre l’économie drapière flamande et l’Angleterre. Il faut préciser que Philippe soutient le pape Innocent III qui vient d’excommunier Otton, et ils soutiennent tous deux le petit-fils de Barberousse, Frédéric de Souabe, un Hohenstaufen, alors qu’Otton est un représentant de la dynastie concurrente des Welfes. L’excommunication est à l’époque un procédé de pouvoir, et n’a rien de doctrinal : les seuls conflits que le pape sanctionne sont des questions de fiefs non cédés, d’indemnité non réglées ou de dîmes arriérées.

 

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Le roi Philippe tente d’abord la voie diplomatique afin de desserrer l’étau qui se constitue contre lui. Il se rend compte que c’est impossible, et apprend par ses espions quel est le plan des coalisés : prendre les Français en tenaille et se retrouver à Paris avant la mi-août 1214. Alors il réunit autour de lui ses fidèles et compose deux armées : il sait que le roi d’Angleterre va débarquer là où il est fort, parce qu’il y possède encore des suzerainetés : à la limite du Poitou et de l’Anjou, au port de La Rochelle. Philippe envoie donc son fils Louis pour l’arrêter avec une armée. Dans le même temps, il « lève l’ost », ‘est-à-dire qu’il appelle les chevaliers de son vasselage à la guerre et aussi, à Saint-Denis, il fait déployer par les milices communales la « Montjoie », la grande oriflamme de ralliement, de couleur « rouge sang semé de lys sans nombre », placé sous la garde des piétons communaux. Ces milices ne vont pas jouer un rôle très important sur le plan tactique, mais elles ont un effet considérable sur le plan symbolique, cat leur présence rend patente la solidarité du peuple avec le roi. Cela dit, gardons-nous des anachronismes : la France concernée par ces évènements est celle du nord de la Loire. Champagne, Ile-de-France, Artois, Picardie, quelques Bourguignons. C’est celle qui a fait les croisades. En aucune façon les provinces du centre ni la Bretagne, ni évidemment le midi toulousain ou la Provence ne sont concernées. 

Si l’on regarde qui entoure l’ost du roi, on y voit ses cousins : le comte d’Auxerre, qui sera roi de Constantinople, le comte Robert de Dreux, le duc de Bourgogne, le comte de Bar et Mathieu de Montmorency. À ceux-là, et à leurs bans, il faut ajouter deux hommes d’Eglise, Philippe de Dreux, évêque de Beauvais, et un chevalier hospitalier, Frère Guérin, désigné évêque de Senlis. Théoriquement, ils ne peuvent pas se battre car, selon le précepte Ecclesia abhorret a sanguine, ils n’ont pas le droit de faire couler le sang. Ils n’en sont pas moins des fervêtus et se placent au premier rang de la chevalerie. Derrière eux sont les autres chevaliers, dont les noms et surnoms sont venus jusqu’à nous. Citons Gérard La Truie, Pierre Mauvoisin, le Mauclerc et bien d’autres, plus ou moins bien équipés. En tout 1300 hommes. Se rajoutent les sergents avec Pierre de la Tournelle ; ils vont chevauchant mais non nobles : au nombre de 1500, et la piétaille : en tout 7000 hommes. En face, Otton de Brunswick, le comte de Hollande Guillaume le Poilu, Guillaume de Salisbury dit Longue-épée, frère bâtard du roi Jean, le comte Ferrand de Flandre et Renaud de Dammartin, comte de Boulogne. Et puis les troupes communales des Flandres. En tout 11 000 hommes. Remarquons que l’organisateur de la coalition, Jean sans Terre, ne participe pas à la bataille car, le 2 juillet, assiégeant la forteresse de La Roche-aux-Moines, près d’Angers, il apprend que le fils du roi Philippe, Louis, est en passe d’arriver. Il s’enfuit sans gloire le 2 juillet, se disant qu’après tout l’essentiel est fait, dans la mesure où le roi de France a dû diviser son armée, et qu’il peut laisser ses alliés se battre à sa place.

 

COUP D’CEIL ET PRAGMATISME DU ROI PHILIPPE

Lorsque les coalisés arrivent par l’est, ils se dirigent vers le roi Philippe, qui a planté son camp à Tournai. Constatant que le rapport de forces lui est défavorable, le roi de France ordonne la retraite afin de rejoindre Lille, le 27 juillet à l’aube. Cette manœuvre est portée à la connaissance d’Otton, qui réunit les chefs des armées pour décider s’il faut poursuivre le roi ou se borner à le « marquer, pour choisir le moment favorable. Les chefs sont divisés : le comte de Boulogne ne croit pas à une fuite, Salisbury reste méfiant, alors que les Flamands, craignant de voir leur proie leur échapper, sentent l’odeur de la rapine, qui leur permettrait de calmer les routiers aux soldes impayées. C’est cette dernière option qui est prise, sans tenir compte d’un fait qui n’est pas sans importance : le 27 juillet tombe un dimanche, et la « trêve de Dieu » (concile d’Elne, 1027) interdit de faire la guerre le jour du Seigneur. Ce fait, convenablement exploité, contribuera à démoraliser les coalisés et sera un argument permettant de glorifier le roi français respectueux des commandements divins. D’autre part, en se portant sur l’arrière-garde française, l’empereur Otton a sous-estimé la discipline et la cohésion de l’armée royale. Car les troupes du roi de France ne se sont pas débandées mais ont fait retraite en bon ordre. Le roi sait qu’il est poursuivi, il donne aux féaux l’image impassible d’un chef conscient et maître de la situation. En fait, il ne tarde pas à constater que le pont sur la Marque, qui le conduit à Lille, ne permettra pas un passage dans les temps voulus, ce qui livrerait ses troupes sans défense aux poursuivants. D’un autre côté, le terrain est propice à une bataille inégale, car il rend difficile le déploiement d’une armée ennemie plus nombreuse que la sienne. Calmement, il s’arrête, se recueille dans une chapelle, puis il prononce une allocution et met son armée en bataille. Nous sommes dans la plaine de Bouvines, un lieu-dit à l’est de Lille, à cheval sur ce qui est aujourd’hui la frontière franco-belge, à l’époque sur la limite du Royaume et de l’Empire.

La bataille, qui va durer quelques heures, est essentiellement composée de charges de cavalerie successives, menées par la fleur de la chevalerie européenne. Il n’y a pas de raffinements tactiques, de contremarches géniales, mais essentiellement l’assaut et le choc, qui précèdent la victoire ou la fuite. Lorsque les coalisés se trouvent en vue de l’armée royale, la surprise a changé de camp : les poursuivants croyaient tailler en pièces une arrière-garde en perdition, et ils se trouvent en face d’un adversaire résolu prêt à l’attaque sur le terrain qu’il a choisi. Ce sont, tout naturellement, les plus aventurés des poursuivants – les chevaliers flamands – qui vont subir l’effet de cette pugnacité inattendue. D’assaillants, en effet, ils deviennent assaillis. Car chaque corps de bataille de chaque armée va se trouver aux prises de celui qui se trouve en face de lui, et cette succession va résumer toute la journée de Bouvines. On a donc une bataille de droite, une bataille de gauche et une bataille du centre.

 

 

La nouvelle revue universelle, 7 rue Constance, 75018 PARIS – 4 numéros par an – Tarif : m Normal, 1 an, 70 €  m Soutien, 1 an 100 €  m Normal, 2 ans, 130 € m Réduit, 1 an (étudiants, chômeurs) 40 €. 

 

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