Le prince Jean de France guide les collégiens dans le domaine de la chapelle royale. – Agence DREUX
Le Duc de Vendôme et son fils le Prince Gaston ont reçu récemment au Domaine Royal de Dreux un groupe de collégiens du lycée Louis Armand pour une visite de la chapelle et du domaine Royal. Des élèves de troisième, reporters pour le blog l’Echo Quartiers, ont même posé quelques questions au Prince Jean qui s’enthousiasme toujours à l’idée de faire découvrir aux jeunes de sa région le patrimoine historique de sa famille. Lors de la visite, la jeune Princesse Antoinette a suivi pas à pas le groupe de jeunes mené par son père et le Prince Gaston.
Le compte-rendu de L’Echo républicain
Ils imaginaient le prince Jean « avec une grande cape. » « En fait, il nous ressemble », confiaient hier les collégiens de Louis-Armand après l’avoir rencontré.
Le prince Jean de France n’a pas toujours été « un bon élève. » À l’âge de dix ans, il a même fait « une grosse bêtise », brisant à coups de pierres, avec ses cousins, une serre dans la propriété familiale, en Haute-Savoie, recevant ce jour-là de son père, « une sacrée raclée. » Un prince qui a même rêvé, un temps, dans sa jeunesse, de devenir agent secret pour rouler dans des voitures dignes de celles de James Bond !
Étonnantes confessions, hier après-midi, du Duc de Vendôme qui sera « peut-être un jour », roi de France à la faveur d’un retour de la monarchie. Les élèves de troisième du collège Louis-Armand, reporters du blog l’Echo Quartiers, ont trouvé les questions justes pour sonder ce prince qu’ils imaginaient bien plus distant et « bien plus grand physiquement. »
Visite de la partie cimetière de la chapelle royale, halte prolongée devant la statue de Louis-Philippe, dernier roi de France et ancêtre du prince Jean, et explication des techniques utilisées pour la fabrication des magnifiques vitraux. Le Duc de Vendôme a confié, à chaque instant, son amour pour Dreux, la ville de ses racines où il vit à temps plein depuis cinq ans avec sa famille.
« Comme les autres ? »
« Un prince est un homme comme les autres ? », ose Missoum, quatorze ans. « Oui, pareil et pas pareil. Pareil parce que je fais mes courses, parce que mes enfants vont à l’école et à la piscine. Mais pas tout à fait pareil parce qu’en temps que membre de la famille royale, j’ai une obligation importante », répond le prince.
Pour le reste, il a ses qualités et ses défauts. À la question de Walid, il dit : « Mon défaut, c’est que je m’énerve parfois un peu vite. Ma principale qualité, c’est aimer parler avec les gens et les écouter. »
Le temps de cette brève rencontre, le futur héritier de la Maison de France, confiera encore son goût pour la chasse, le cinéma d’action américain et la lecture. En revanche, il n’aime pas répondre au téléphone, ni ranger les affaires de ses enfants. Antoinette et Gaston, ses enfants, qui ont suivi pas à pas leur papa dans son rôle de guide la chapelle royale. •
Pascal Boursier
Sources : La Couronne – Noblesse et royautés
C.’est très sympa de nous parler des princes.’. J.’ai failli participer au service d’ordre du mariage du prince Henri, en cinquante et ?
bonjour à tous
Belle image du prince Jean au milieu des enfants de Dreux, accompagné du prince Gaston. C’est la meilleur image qu’il puisse donner à la France de la famille royale. Les enfants s’en souviendront , en parleront et réfléchiront et c’est bien pour l’avenir..
Pour Roger , nous étions ma femme et moi à Senlis pour le mariage de la princesse Philoména et du prince Jean
Amitiés du sud ouest sous le soleil
Un mariage à Senlis et un enracinement à Dreux, comme symboles d’un retour aux origines de l’épopée capétienne, au service de la France et des Français, pour, nous l’espérons tous, le prélude à une reconquête….
L’intérêt du Prince Jean pour les jeunes qui sont la France de demain, et son souci de leur faire connaître l’héritage dont il est dépositaire par des évènements comme celui relaté dans cette chronique, à Dreux, est louable. Il doit être encouragé dans ses efforts de rayonnement public car l’espérance qu’il représente pour tous les français qui ne se satisfont pas du médiocre spectacle républicain au plus haut niveau de l’Etat, est trop important pour le rétablissement du pays dans sa grandeur. Sa franchise sur quelques « bêtises » de jeunesse est rafraîchissante et rappelle que naguère les habitants du royaume savaient tout ou presque de la vie des rois, depuis leur enfance jusqu’à leur décès. Nos gouvernants républicains insécures, perpétuellement à la recherche de voix électorales et vulnérables au risque du moindre vote perdu, se gardent bien d’être aussi transparents que nos grands rois pouvaient l’être dans les détails de leur vie.
Un grand bravo à Gilbert Claret ! Commentaire bref, voyant l’essentiel, formulé avec exactitude. A faire connaître !