
Il y a aussi les ONG qui jouent contre les intérêts français et sont subventionnées pour cela. Des journaux sans lecteurs qui ne vivent que de fonds publics. Et des syndicats sans adhérents qui bénéficient éhontément des mêmes fonds publics. Sans compter une multitude de subventions attribuées par clientélisme à ce que Pierre Patrick Kaltenbach* appelait ironiquement des « associations lucratives sans but ». Mettre tout cela sur la sellette, voilà ce qu’il faudrait ! LFAR
Paul Pontenuovvo sur Radu Portocala : À Kiev, la…
“Un ramasis d’invertis, plus ou moins nazis et droitsdel’hommistes en même temps, se regardant le nombril…”