Cet éditorial de Vincent Trémolet de Villers paru à la une du Figaro de ce matin sonne juste. Il corrobore ce que nous écrivons nous-même dans notre article précédent. Nous n’avons rien à ajouter. Que l’on soit pour – comme l’est cet éditorial – ou contre la vaccination, l’impéritie des pouvoirs publics est effrayante. 
Qui commande ? Qui décide? Qui applique? Si l’art du gouvernement est dans l’exécution, inutile de se cacher derrière des dénégations fracassantes, c’est une crise politique que nous vivons. Reprenons. Face au Covid-19, l’équation gouvernementale a fait du vaccin l’élément central. Soit. Il devait donc provoquer l’effet de souffle des grandes espérances collectives, entraîner un élan national après dix mois de peines…
Las ! Quand l’Amérique, Israël, la Grande-Bretagne, l’Allemagne galopent, la France avance au rythme de l’escargot. Championne dans les restrictions, médaille d’or des attestations, elle est bonne dernière dans les solutions. «Nous n’y sommes pour rien ; les Français, trop sceptiques, sont coupables», claironne la parole officielle. Allons ! Inutile d’invoquer la défiance d’une partie de l’opinion, quand il fallait justement s’appuyer sur la majorité de Français favorables au vaccin.
Depuis des mois, nos décideurs avaient le temps de préparer une logistique convaincante par sa rapidité et son efficacité. À la place: rien ou presque. La lenteur dans notre stratégie vaccinale, dénoncée par le chef de l’État lui-même, n’est pas seulement incompréhensible, elle est scandaleuse. En politique, les événements sont des dynamiques en action: le soupçon, scellé dans l’opinion par le mensonge originel sur les masques, ressurgit avec une telle force qu’il sera difficile de le dissiper.
Emmanuel Macron promet que l’exécutif va montrer dès aujourd’hui sa capacité d’exécution. En d’autres termes, dépasser la crainte paralysante du risque pénal, surmonter l’impéritie déclassante qui caractérise depuis le début de cette crise notre administration. Faut-il le croire? Les Français, épuisés de discours grandiloquents, de promesses contradictoires, de restrictions arbitraires, semblent incrédules. Comment leur en vouloir ? ■
Nous avons un monsieur épidémie, un monsieur vaccin sans compter le nombre record de ministres et de sous-ministres, tous ces éminences auraient-elles pris leur prébende pour une sinécure? De fait aucun de ces vénérables n’a exercé de fonction dans l’industrie, alors la logistique doit leur sembler un continent inexploré. De gré ou de force ils veulent nous vacciner, vont-ils mobiliser Roselyne qui parait inemployée?
Alors les français vont découvrir que le pays France est un pays Malade de sa gouvernance qui elle depuis des décennies a de multiples virus . La mort en destin par un mal en venin.
Français modernes nous nous prenions pour des héros, des champions, des êtres supérieurs et notre orgueil déplacé vient de nous sauter à la figure. Nous avons accepté notre propre inculture comme directeur de nos vies et de notre pensée.
Ou sont nos ancêtres Celtes, ces Gaulois Romanisés, qui bravaient le temps et les hommes pour rester libres. Cette fois nous sommes, au fil des républiques et ce depuis 1793, des pintades, qui fuient les problèmes. Sommes nous encore en mesure de retrouver le courage, l’intelligence qui nous manque cruellement pour rétablir une vraie gestion politique, après avoir chassé ces enfantillages d’énarques dépassés.
« L’homme trouve sa place et sa dignité dans l’état « disait de Gaulle. Ou est notre place et notre dignité, derrière la recherche des masques et les interdictions fantaisistes. Comme en quarante face à l’ennemie les Français se recroquevillent. Rêveurs, grandes gueules , oui, mais ayant depuis longtemps perdu l’esprit Français. Si les Français veulent une bonne gestion par la participation souveraine , il faut qu’ils acquièrent la plénitude de leur esprit judéo- chrétien afin de participer à la bonne marche de la France, dans une Europe des Nations. Or, ils sont devenus sourds et peureux, trop engoncés dans leur bien être. C’est l’histoire de la grenouille dans l’eau tiède que l’on met à bouillir, c’est déjà trop tard. Quant il faudrait un groupe ou un homme fort intelligent pour remettre les trains à l’heure; Ce n’est plus un rêve, ceci devient une urgente réalité., car la France se meurt.
ça fait longtemps que la France se meurt, nous avons marre nous le petit peuple de tous ces gens qui ont fait des études supèrieures pour commander et diriger, mais à la place ils font quoi, ils se remplissent les poches aux détriments des français, ils ne savent diriger juste raconter (plein de bla-bla) pour nous dire quoi, rien ils savent pas, c’est des guignols .
Quand on laisse le ,oin à Mediapart et au Canard Enchainé le soin d’élire le Président de la République voilà ce qui arrive …..
Ce vaccin? Pas de questions?
Qui commande? Qui décide? Qui applique? Avec le libéralisme mondial, le peuple est devenu epsilon. Les Français l’ont ils compris, pas sur.
Puisque nous faisons tous de la politique, alors qu’il il n’y a plus d’homme « politique » pour décider, pour commander. Issus des écoles de l’Administration, les jeunes hauts mandarins appliquent avec zèle les directives de leur ministère. Et le peuple dans tout ça, il est de plus en plus oublié, de moins en moins souverain , puisque l’idéologie mondialiste n’a plus besoin de la masse populaire.
Nous vivons l’exemple: Le vaccin, le politique devait attendre que le peuple soit demandeur, pour éviter les éventuelles réactions. Les morts n’étant pas un problème, comme pendant une guerre, on comptera après la victoire ou la défaite. .
Qui a Commandé les vaccins et à qui. (l’Administration qui applique l’idéologie du marché mondial) Qui Applique et à qui. (la haute
Administration de la santé) Qui Décide du départ de la vaccination , ( l’élu présidentiel) contraint et forcé, qui se protège de toute attaque future juridique, en se garantissant par une demande pressée de demandeurs, plus ou moins volontaires désignés. ( vous l’avez voulu, alors…) Et le peuple est conditionné par les médiats à solde, qui avec un peu de temps savent faire basculer les esprits du non au oui.
Le peuple de France n’est pas le seul à ne plus être, voyez ou en est le peuple des Etas Unis d’Amérique.! Mais est ce rassurant?
Ce constat qui fait froid dans le dos, devrait nous permettre de retrouver notre esprit français pour aller vers un souverain protecteur.