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STRATEGIE DU NATIONALISME : PEUT-ON SORTIR DE LA CRISE ? [4]

lundi 11 janvier 2021lundi 11 janvier 2021 sur JSF

Par Pierre Debray.*

Cette étude reprise de Je Suis Français (1983) est une suite à paraître ici au fil des jours de la semaine sauf le week-end. Une fois opérés les correctifs contextuels qui découlent du changement d’époque, elle constitue selon nous une contribution magistrale à la réflexion historique, économique, sociale politique et stratégique de l’école d’Action Française. 

Le cas de Louis Renault n’a rien d’exceptionnel. Le début d’une révolution technologique est toujours marqué par l’apparition d’entrepreneurs qui: partis de peu, réalisent. en quelques années, d’énormes profits.

De ces hommes qui se sont fait seuls, dont l’Amérique ne possède pas le monopole : magnats du pétrole ; rois de l’automobile ; princes de la T.S.F. Nous avions constaté le même phénomène au début du XIXe siècle. Ce qui ne doit pas nous faire oublier la sévérité de la sélection. Les grands rivaux de Louis Renault, de Dion-Bouton ou Brasier, disparaîtront, faute d’avoir su suivre le train d’enfer de l’innovation.

Un certain nombre de phénomènes nouveaux vont, cependant intervenir : le système Taylor, la machine transfert, qui est, en réalité, un ensemble de machines au travers desquelles avancent automatique­ment les pièces à usiner, le travail à la chaîne. Renault acquiert une .supériorité décisive sur ses concurrents français en 1910, quand il remplace les ouvriers hautement qualifiés par des O.S., qui travaillent sur les chaînes, manœuvres qui viennent de la campagne, parfois d’Afrique du Nord. La défaite de l’aristocratie ouvrière, chassée des ateliers, après une grève historique, marquera une date capitale dans l’évolution sociale de la France. Le syndicalisme de masse (que les communistes, mieux préparés, encadreront) se substituera au vieux syndicalisme de métier, après la guerre de 14-18 qui généralise le travail à la chaîne, le départ des hommes pour le front exigeant l’utilisation des femmes et des maghrébins.

Ce sera un autre « roi de l’automobile », Ford ler, qui accomplira la véritable révolution du XXe siècle, Lénine ou Hitler n’étant que des épiphénomènes régressifs, qui bloquent le progrès technique,’ alors que Ford 1er crée la possibilité de son développement. Le premier, il comprend qu’à la production de masse doit correspondre la consommation de masse. Il va donc décider d’augmenter les salaires de ses ouvriers, en fait de partager avec eux les profits provoqués par l’augmentation de sa productivité. Il n’agit pas en « patron social ». Aucun souci philanthropique ne l’anime. Seul le guide la considération cynique des intérêts de l’entreprise. Il faut que ses ouvriers aient des ressources suffisantes pour acheter les automobiles qu’ils fabriquent. Un système de prix de faveur .et d’épargne-crédit va permettre au système de fonctionner. L’Amérique prendra, à partir de ce moment, le pas sur la France, qui l’avait devancée, dans le domaine de l’automobile.

Le « fordisme » ne se limite pas aux hauts salaires. Il implique la généralisation du crédit à la consommation, réservé jusqu’alors à certains produits de luxe, avec l’instalment system, la vente par mensualité. D’où un développement rapide de la production dans les secteurs de pointe : à l’époque, l’automobile, les postes de radio, l’électro-ménager. Les entreprises sont obligées, pour satisfaire la demande, d’investir des capitaux considérables que l’auto-financement ne leur permet pas de se procurer. Il leur faut emprunter. A la production et à la consommation de masse correspond l’épargne de masse. Ouvriers et employés disposent d’argent, grâce aux hauts salaires et à la baisse des prix provoquée par la mécanisation de l’agriculture dans les grandes plaines du Middle West et au transfert dans le sud des usines textiles du Nord-Est, qui trouvent, parmi les noirs et les petits blancs une main-d’œuvre bon marché. L’épargne cesse d’être le monopole de la bourgeoisie. Le peuple peut lui aussi acheter des actions. D’où le développement du capitalisme populaire, encouragé par l’Etat qui diminue les impôts et par les banquiers qui vendent des actions à crédit.

« Le jeudi noir »

Une fièvre de spéculation s’empare de l’Amérique qu’accélère encore l’afflux des capitaux européens et d’abord français, attirés au début par la stabilité du dollar, qui en fait une valeur-refuge puis par l’attrait d’un profit rapide. L’achat d’actions à crédit, fructueux à court terme, enrichit les banquiers qui placent l’argent de leurs clients en leur faisant payer le loyer, donc prennent le bénéfice en évitant le risque -­sauf dans le cas des petites banques, qui ne disposent pas de réserves suffisantes. Il suffisait d’un accident pour que s’effondre le château de cartes. Il sera provoqué en octobre 1929 par la banque d’Angleterre qui, pour éviter l’hémorragie des capitaux, relève son taux d’escompte d’un point. Cela suffit pour détourner sur Londres les spéculateurs européens. Le 23 octobre 1929 les pertes des diverses actions cotées à Wall Street se montent, pour la semaine écoulée, à 175 points. En un seul jour, le 28 octobre, la baisse sera de 47,5 points. Les petits porteurs se trouvent dans une situation dramatique. Ils possèdent des actions qui ne valent plus rien mais qu’ils doivent continuer de payer. S’ils ne le peuvent pas, ils sont mis en liquidation. D’où de nouvelles baisses. Chacun s’efforce de se débarrasser de ses actions.

Par contre coup, la consommation s’effondra. Il fallut réduire la production, donc licencier une partie du personnel. Les chômeurs réduisaient à leur tour leur consommation, d’autant plus sévèrement qu’ils continuaient de payer leurs traites. Personne ne voulait qu’on lui reprenne son auto ou son poste de radio, si bien que les banques ne souffrirent pas trop, à l’exception des petites, très nombreuses d’ailleurs. La haute finance en profita pour contrôler l’appareil financier. Ainsi le chômage engendrait le chômage. Les entreprises diminuèrent, par ailleurs, leurs achats de matières premières. Ce qui frappa d’abord l’Amérique latine et atteignit l’Europe, par ricochet, d’abord la Grande Bretagne qui disposait d’une part importante du marché argentin et chilien. Le commerce international se réduisit de 60 %.

Le président des Etats-Unis, Hoover, était un homme compétent. Il avait obtenu la confiance massive d’un peuple, qui espérait de lui une prospérité éternelle. Il essaya, mais en vain, les remèdes habituels qui se révélèrent inefficaces. Les économistes libéraux –  les articles publiés à l’époque par Jacques Rueff sont consternants – s’imaginaient qu’ils se trouvaient en présence d’une « crise cyclique » de type classique. Ils oubliaient la rigidité des facteurs de production – outillages plus onéreux, spécialisation des fabrications qui rend difficile les reconversions – mais surtout la structure nouvelle du marché. Dans les crises cycliques, les stocks finissaient, plus ou moins lentement, par s’écouler et la demande relançait l’économie assainie par la disparition des entreprises mal gérées qui n’avaient pas su. faute de fonds propres, se reconvertir ou tenir assez longtemps. Le textile constituait le secteur pilote. Il faut toujours se vêtir. Il suffisait de multiplier les soldes et d’accorder des conditions de paiement. Désormais l’automobile avait remplacé le textile comme industrie pilote. On peut ne pas remplacer sa vieille voiture. Mais surtout l’épargne était jusqu’alors le monopole des classes aisées, qui conservaient, même en temps de crise, des disponibilités financières. Ce n’était plus le cas lorsque la masse des épargnants était composée de salariés. En se popularisant, le capitalisme changeait de nature.

Faute de l’avoir compris, les gouvernants utilisèrent des remèdes classiques, ce qui rendait la crise encore plus profonde. Ils pratiquèrent donc une politique de déflation. Pour abaisser les coûts on diminue les salaires (20% en Allemagne, en 1931), on élève le prix de l’argent (de 7 à 15 %, en Allemagne, le le‘ Août 1931) : on réduit le budget de l’Etat en diminuant le salaire des fonction­naires (Laval, en 1935. qui imite l’Allemagne, plus énergique encore, qui avait arrêté les constructions publiques en 1932). Cc genre de mesures, traitées de courageuses et qui, d’une certaine manière, l’étaient se révéla, à l’expérience, désastreux.

Economiquement et politiquement, il le fut plus encore, amenant au pouvoir Hitler, en Allemagne, et le Front Populaire en France. il est vrai qu’Hitler, à l’imitation du « new deal » de Roosevelt, allait suivre le chemin inverse. C’était la bonne voie et, en 1936, dans sa « théorie générale », l’économiste anglais Keynes devait définir la politique qui sauvera le capitalisme prématuré­ment enterré par les marxistes.

Non seulement les Etats-Unis ont surmonté la crise mais la production de masse avec ses corollaires, la société de consommation et le capitalisme populaire, ont conquis, ‘à partir de 1950, l’Europe occidentale et pendant un quart de siècle une accélération prodigieuse de la production a permis une améliora­tion sans précédent du niveau de vie. Depuis 1974, une nouvelle crise a surgi et les gouvernants, recommençant l’erreur de 1929, ont repris les vieilles recettes, en l’occurrence celles élaborées par Keynes, qui avaient précisément permis de surmonter la crise précédente. En 1974, MM. Giscard et Chirac commirent l’erreur de « relancer la consommation ». Il fallut appeler en catastrophe M. Barre pour réparer les dégâts. Ce qui n’empêcha pas les socialistes de recommencer en 1981, arec des conséquences plus graves.

Personne ne s’est interrogé. Pourquoi les techniques d’intervention de l’Etat qui s’étaient révélées efficaces depuis la fin de la seconde guerre mondiale (ce qui a permis à MM. Pinay et Giscard d’obtenir, à petits frais, l’admiration du bon peuple) ont-elles perdu le pouvoir magique que leur attribuaient les économistes ?   (À suivre, demain mardi)  ■    

* Je Suis Français, 1983

Lire aussi notre introduction à cette série…

Qui a dit que l’école maurrassienne n’avait pas eu de pensée économique et sociale après-guerre ? Pierre Debray au contraire a ouvert sur ces sujets des pistes d’une remarquable pertinence

 

© JSF – Peut être repris à condition de citer la source

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1 commentaire pour “STRATEGIE DU NATIONALISME : PEUT-ON SORTIR DE LA CRISE ? [4]”

  1. Marc Vergier
    lundi 11 janvier 2021 at 9 h 52 min | Répondre

    J’attends impatiemment la suite de cette puissante fresque mais je ne peux me retenir de signaler une contradiction surprenante dans le texte d’hui:

    Ce qui avec Roosevelt apparaissait  » la bonne voie »(relancer la machine) devient quelques lignes plus loin une « catastrophe ».

    Merci à qui m’éclairera

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Le manifeste royaliste en ouverture du XXe siècle ! (Parution courant 1900). Maurras y pose la célèbre question : « Oui ou non, l’instauration d’une monarchie héréditaire, antiparlementaire traditionnelle et décentralisée est-elle de salut public ? » !   

L’Avenir de l’intelligence, 25 €, 244 p.

Une étude de l’histoire politique et intellectuelle du XVIe au XXe siècle, où Maurras à montre comment les intellectuels et artistes attachés à produire des œuvres de l’esprit sont passés « de l’autorité des princes de notre Sang sous celle des marchands d’Or », les immenses fortunes industrielles et bancaires qui limitent la liberté de l’esprit. Maurras en appelle à une alliance entre les intellectuels et le patriotisme des Français pour renverser cette mécanique.

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Henri Massis, Georges Bernanos, Maurras et l’Action française, présentation de Gérard Pol, 18 €, 104 p.

Léon Bloy, Le salut par les juifs, avant-propos de Laurent James, 20 €, 156 p.

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