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Le Masque déchiré, roman

jeudi 5 août 2021jeudi 5 août 2021 sur JSF

jeudi, 5 août. 

Elle fut arrachée à cette méditation, la plus grave et la plus longue qu’elle eût faite certainement, depuis son mariage, par la voix d’un domestique qui lui annonçait François de Lherm. Elle le regarda venir à elle, le visage tout illuminé de plaisir.

Il était robuste et maigre, la taille bien prise dans son uniforme, la figure bronzée, mais encore pâlie par les souffrances d’une récente blessure à l’épaule heureusement guérie, la moustache retroussée sous un nez aquilin un peu fort, les yeux bleus très clairs, peut-être un peu ironiques, d’après de petites rides précoces au coin des paupières, tous les traits de son visage gravés de décision et de sang-froid.

«  — Il me semble bien que je suis un peu en retard, Madame », dit-il, en s’inclinant pour baiser la main que Huguette lui tendait.

— Madame ! se récria Huguette de sa voix riante. « J’espère bien que tous allez me dire Huguette tout court, comme autrefois. »

— Mais je ne demande pas mieux, Huguette, quoique vous soyez devenue une bien imposante personne.

—Asseyez-vous, je vous prie. » Elle se laissa tomber, elle-même, dans un fauteuil bas en face de son visiteur. Et, le coude sur un genou, le menton dans sa main, elle l’examinait franchement, curieuse de ce qu’avait pu devenir l’adolescent qu’elle avait toujours trouvé si attentif à lui faire plaisir. « Et votre blessure, d’abord ? Racontez-moi ça. »

— Un mauvais morceau de plomb qu’un sale moricaud m’a logé là, à l’épaule. Mais il, n’y paraît plus. Ça ne m’empêchera pas de jouer du sabre contre les Allemands, un de ces matins.

— Êtes-vous féroces, les hommes !… La pensée d’égorger, d’éventrer, de tuer, on dirait que ça vous fait plaisir.      

— Mais le plaisir, et en effet, c’est un plaisir, c’est de se préserver d’abord de l’égorgement et de la tuerie. Puis, une fois dans la mêlée, c’est sûr qu’il y a une ivresse terrible à voir jaillir le sang sous les coups qu’on assène.

— Quelle horreur !… Vous si doux, si bon !… Vous aussi, vous croyez à la. Guerre ?

— Dame !… Tenez ! Écoutez ! »

Clairons de Latour-Maubourg et trompettes de l’École militaire se faisaient chorus, à travers l’espace. « On est dans le feu des corvées de mobilisation. Et à moins que l’Allemagne ne décommande les violons, ou plutôt les canons, quelles fanfares de mitraille sur nos frontières ! » Un frisson secoua les épaules de Huguette, dont de telles images venaient troubler fort intempestivement la sérénité dans la joie, pour la deuxième fois, ce matin. Et son radieux visage, puérilement heureux, se contracta d’un peu d’effroi.

— Parlons d’autre chose, voulez- vous ?… » Et revenant à son enjouement naturel : « D’abord, nous avons un compte à régler, nous deux. Je vous en veux, vous savez ! et sérieusement ! » Le visage de François de Lherm s’assombrit à son tour, sous le brusque élancement de la douleur qu’elle allait éveiller en. lui. « Oui », poursuivit-elle, « vous avez fui au Maroc, quand je vous ai invité à mon mariage, et par une lettre personnelle, s’il vous plaît !

— Vous savez bien que mon affectation aux zouaves…      

— Affectation que vous avez sollicitée. Je l’ai su depuis.          

— Je l’avoue.

— Eh bien ! quelle mouche vous a piqué ? À Guingamp, vous étiez déjà assez loin de Paris. » Elle lisait bien dans ses yeux le malaise qu’elle lui infligeait. Mais elle n’en pouvait soupçonner toute la gravité. « Allons, racontez-moi ça. Quelque amourette qui a mal tourné ?…

— C’est, en effet, une mésaventure sentimentale… », dit-il, « dont il vaut mieux ne pas parler ». Mais elle, toute au plaisir de le mettre un peu au supplice, et pour quelque déception de galanterie qu’elle supposait aussi plaisante que triste, elle insista, avec un air de bouderie dominatrice.

« — À Lherm et à la Feuillée, dit-elle, « vous ne saviez rien me refuser ».

— C’est vrai », répondit-il, avec un sourire triste. « Déjà, en cet heureux temps, rien ne vous résistait ». Et, arrêtant sur elle un long regard émerveillé qui mesurait toute la plénitude actuelle de son charme souverain, il soupira : « Et depuis, comme votre empire s’est accru !           

— Mon mari a fait de moi une sorte de reine. » Et, mettant son point d’honneur, comme beaucoup de jeunes femmes d’aujourd’hui, à unir la plus exacte fidélité aux allures les plus libres, elle ajouta :

— Mais je n’en abuse pas, vous savez ! Je sais tenir à distance les adulateurs.

— C’est encore une façon d’être reine… Vous m’ordonnez donc de renouveler en moi une douleur indicible.           

— Infandum, o regina jubes…

— Ah ! Oui ! vous savez le latin.

— Et j’ai mon bachot… comme tout le monde.

— Oui, mon frère me l’a écrit.

— Et vous ne m’en avez pas envoyé vos compliments ! J’en ai des reproches à vous faire ! Mais je ne vous fais grâce d’aucun. Tout y passera, avant midi. Alors, rien pour mon bachot. Et, pour mon mariage, une douzaine de mots par télégramme. Ah ! vous n’avez pas l’amitié expansive ! »

Son air excluait toute rancune de ces petits méfaits qu’elle énumérait.

« — On n’écrit pas des épithalames, quand on a le cœur aux élégies.

— Pour quelque petit chagrin de jeune homme ?

— Hum ! » fit-il… « Un chagrin à croire à la fin de tout. »

— Un chagrin de grand amour, alors… », demanda-t-elle, soudain attendrie.

— En est-il d’autre qui dispose à faire bon marché de la vie ?

— Mon pauvre François !… Et je prenais en plaisanterie votre aventure !… C’est pour vous faire tuer que vous êtes parti ?

— C’était au moins pour ne pas me disputer à la mort, si elle voulait de moi. Elle s’est contentée de me frôler.

— Quel contraste, remarqua Huguette. Au même moment, pour moi, le comble du bonheur, et pour vous, le désespoir.

— Oui, c’est bien curieux ! » dit-il, d’un ton amer, le visage crispé d’ironie. Et, détournant d’elle son regard, comme se parlant à lui-même, il poursuivit : « Oui, on nourrit en soi, dans le réduit le plus caché de son cœur, un rêve merveilleux. La plus belle jeune fille, la plus vive d’intelligence, la plus naturellement joyeuse ! ʽʽVase d’allégresse ! vase d’allégresse !’’ lui dit-on en pensant à elle, dans les litanies d’adoration qu’on lui dresse mentalement. On s’interdit de la troubler par des aveux, avant de s’être prouvé un peu qu’on est un homme. Pendant qu’on surmonte ainsi son impatience de s’ouvrir à elle, un autre survient et vous la prend ! Et Dieu soit loué, Huguette ! » Son ton passait de la sourde amertume à l’accent apaisé d’un cœur qui s’est résigné au sacrifice. « On a bien fait de se taire », conclut-il, « puisque celle qu’on a aimée ainsi, sans qu’elle l’ait su, était destinée à tant de bonheur qu’on n’aurait jamais pu lui donner ! »

Les paupières de Huguette s’étaient baissées sur ses yeux espiègles, à mesure qu’avec une sobriété si virile, François lui révélait tout le long roman de son amour silencieux. Son visage mutin était devenu grave. Le halètement plus prononcé de sa gorge décelait son croissant émoi. Confusion d’avoir étourdiment provoqué le jeune officier à une confidence douloureuse, pitié d’une souffrance dont elle était la cause sans qu’elle pût rien pour la guérir, obscur tressaillement d’un tel empire de son charme sur une âme si rare, ces sensations qui l’agitaient ensemble la laissaient muette et un peu décontenancée.

Si François de Lherm avait été de ces séducteurs évincés par un rival qui guettent les occasions d’une revanche, il aurait vivement profité de l’émoi de la jeune femme pour l’aggraver encore par des propos tristes et passionnés. Mais il l’estimait assez, puisqu’elle était mariée, pour croire qu’elle aimait son mari. Et si, par condescendance à sa curiosité d’enfant gâtée, il lui avait fait cet aveu de son amour, c’est parce qu’il la supposait imperturbable dans sa sérénité conjugale, comme il se sentait lui-même inexpugnable aux mauvais désirs; dans la paix de son renoncement. Aussi ne vit-il que l’embarras où elle s’était mise elle-même, et son devoir de l’en tirer.  ■   (À suivre)

Roman : LE MASQUE DÉCHIRÉ de M. FELICIEN PASCAL.

Feuilleton publié dans l’Action française de février à avril 1918.

Textes et images rassemblés par Rémi Hugues pour JSF.

 

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Un mini-dossier en 6 parties. Analyses et propositions. Une manière d’appréhender la situation française réelle et ses évolutions afin de fixer nos positions. A lire, donc.  Suivre les liens.  JSF     I   II  III   IV   V   VI

Quatre livres fondamentaux de Charles Maurras réédités par B2M, Belle-de-Mai éditions

Enquête sur la monarchie. (Édition de 1925), 39 €, 836 p.

Le manifeste royaliste en ouverture du XXe siècle ! (Parution courant 1900). Maurras y pose la célèbre question : « Oui ou non, l’instauration d’une monarchie héréditaire, antiparlementaire traditionnelle et décentralisée est-elle de salut public ? » !   

L’Avenir de l’intelligence, 25 €, 244 p.

Une étude de l’histoire politique et intellectuelle du XVIe au XXe siècle, où Maurras à montre comment les intellectuels et artistes attachés à produire des œuvres de l’esprit sont passés « de l’autorité des princes de notre Sang sous celle des marchands d’Or », les immenses fortunes industrielles et bancaires qui limitent la liberté de l’esprit. Maurras en appelle à une alliance entre les intellectuels et le patriotisme des Français pour renverser cette mécanique.

Kiel et Tanger, 29 €, 428 p.

Maurras y constate la tragique infériorité du régime républicain en matière de politique internationale, spécialement face à la menace allemande de l’époque. Prévoyant la guerre à venir il conclut à la nécessité de remettre un roi à la tête du pays. Prolongeant le réalisme de la pratique capétienne des relations internationales, ancêtre de la pensée géostratégique française.

La Démocratie religieuse, 31 €, 620 p.

Parution en 1921, compilant trois textes préalablement écrits par Charles Maurras : Le Dilemme de Marc Sangnier (1906) – – La politique religieuse (1912) – – L’Action française et la religion catholique (1914). Cet ouvrage voit dans la démocratie une religion nouvelle qui vide le politique de sa puissance.

Et aussi…


Henri Massis, Georges Bernanos, Maurras et l’Action française, présentation de Gérard Pol, 18 €, 104 p.

Léon Bloy, Le salut par les juifs, avant-propos de Laurent James, 20 €, 156 p.

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