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Le Masque déchiré, roman

mardi 7 septembre 2021mardi 7 septembre 2021 sur JSF

Mardi 7 septembre. 

« — Évidemment, les romans sont finis… à votre point de vue.

— Il n’y a pas d’autre… Ou alors, quoi ? »

Il la regarda. Il la vit les yeux fixés en arrière, vers la porte par où devait venir le capitaine de Lhem. Pour lui faire comprendre qu’il n’était pas sans soupçonner vers quelle voie nouvelle pouvaient l’attirer ses rêveries, il ajouta :

« — Certainement, nous avons fait avec bonheur toutes les démarches pour rapprocher de vous ce capitaine, toujours pour vous montrer agréable notre Allemagne, et je ne pense pas incorrectes vos entrevues avec lui.

— Je l’espère bien ! » dit Huguette, en riant. « Je ne le reçois qu’au jardin.

— Oui. Mais, il y a une nécessaire prudence, mon enfant.

— On se scandalise, dans la maison ?

— Non. Seulement, on remarque. Mais ça n’a pas d’importance.

Ce qui a l’importance, c’est l’influence de vos conversations sur vos idées.

Avec ce capitaine, vous parlez de la France ; vous vous exaltez pour la France ; vous cultivez votre nostalgie de la France. Tout ça est pour vous le passé. Et ce n’est pas vers le passé, c’est vers l’avenir qu’il faut regarder.

— Mais c’est ce que je fais, je vous assure !

— Ah !… Vous ne voulez pas être sérieuse », lui dit-il, mais sans colère. « Enfin ! Vous avez donné un fils à mon fils. Vous lui en donnerez d’autres. Et c’est ça qui importe. Vous avez bien droit de choisir vos distractions. Moi, je vais tuer mon temps à mon Mémoire pour l’Académie de Berlin : De l’Alimentation germanique au temps d’Arménius. Hé ! c’est intéressant, très intéressant.

— Et même passionnant !

— Ah !… vous vous moquez ?… Déjà, ils avaient l’organisation. »

Et le grand vieillard, de son pas lent et raide, gravit pesamment les marches du perron, en s’aidant de la balustrade.

« — L’alimentation des Germains d’Arminius », se disait Huguette, en le regardant s’éloigner, « pas besoin de remuer de vieux bouquins pour le savoir. Ils dévoraient la chair toute crue des sangliers et des ours, parbleu ! Ça se voit assez à la férocité des descendants de ces sauvages !

— Ainsi, Gérard va venir ! Gérard va venir !… » Huguette ne retenait que cette éventualité menaçante, de tout le discours insidieux de son beau-père. Et tout ce discours, évidemment, n’avait eu d’autre but que de l’y préparer. « Mon Dieu, mais pourquoi ce brusque retour ? Dans l’espoir d’un raccommodement, certes !… Eh bien ! il choisit bien son temps !… À moins que, et en même temps, pourquoi pas ? sa jalousie de François de Lherm n’ait encore avivé sa frénésie conjugale, et n’ait précipité sa décision… Mon Dieu ! Mais, ces deux hommes en présence, et moi entre eux ?… Ah ! non ! Non ! Ce n’est pas possible. Ce pourrait être trop horrible !… Il faut que je ne sois plus là ! Il faut qu’il ne me trouve plus ici ! » Se retrouver en face de son mari, ce serait déjà, pour Huguette, une nécessité de se surmonter qui la crisperait douloureusement. Mais, se prêter aux conséquences qu’il espérait, indubitablement, de cette rencontre, à aucun prix, elle ne le pourrait.

Elle l’avait aimé, c’est vrai ! Mais son amour pour lui, quelle flamme éteinte, définitivement évanouie, depuis la nuit tragique de La Feuillée ! Les années d’ivresse parisienne, qui avaient accompagné cet amour irréfléchi, comme elles, étaient inexistantes, maintenant, au-delà de cette déchirure sanglante de la guerre dans la trame du temps. Et loin de s’affliger de cette première stérilisation soudaine de sa sensibilité, elle avait eu une satisfaction singulière, au contraire à éprouver que l’amour pouvait mourir, parfois aussi subitement qu’il a fleuri. Et elle pensait, avec quelle pitié ! Tout en pesant ce qu’il lui restait à faire, aux insinuations du « Burgrave » sur sa fécondité éventuelle, et l’expression insistante de ses espoirs en ses facultés reproductrices.

Pauvre homme ! S’il avait su où elle en était avec son fils, le retour des prisonniers à leur régime de famine et l’interdiction des visites de François de Lherm n’auraient pas traîné.

L’évasion de Huguette n’allait pas traîner, non plus. Elle n’était venue, dans cette odieuse Allemagne, que pour reprendre son fils. Mais elle n’entendait pas qu’on se servît de lui pour la retenir captive d’un peuple et d’un pays qu’elle détestait. Il lui avait été enlevé. Elle l’enlèverait, à son tour. Sa condition légale d’Allemande la favorisait, au moins, dans ce dessein. En cette qualité, rien ne s’opposerait, pensait-elle, à un séjour qu’elle voudrait faire, en pays neutre. Et ce n’était pas pour rien qu’elle, avait appris à conduire une automobile.

Elle avait hésité, jusqu’alors, à exécuter ce projet de fuite clandestine, qu’elle avait conçu, en décidant de venir à Auersfurth. Les risques d’une telle aventure l’avaient toujours impressionnée, quoiqu’elle ne manquât point de courage ni d’audace. Mais ils lui paraissaient, tout à coup, bien amoindris par la véritable terreur qu’elle éprouvait à penser qu’il lui faudrait bientôt affronter son mari. Une seule considération tenait encore sa résolution en suspens. La présence de François de Lherme faisait compensation délicieusement à l’ennui de son exil. S’éloigner de lui serait  plus douloureux, maintenant que de persévérer dans une attente dont rien n’indiquait le terme. À moins que… et pourquoi pas ?… Oui, pourquoi ne l’enlèverait-elle pas ? Il ne pourrait pas passer à la frontière, avec elle, faute de papiers. Et lui en procurer qui le transformeraient en un Allemand quelconque, serait trop dangereux. Mais il était intrépide et ingénieux. Rien n’empêchait Huguette de le conduire très loin d’Eberwald, de le déposer en quelque endroit écarté d’où il saurait bien poursuivre sa route, sans encombre, jusqu’à la ville suisse où elle le devancerait. Ce qu’il fallait avant tout et à tout prix, c’était que son mari ne le trouvât point à Auersfurth, à son passage. Elle connaissait si bien, maintenant, la nature du grand amour dont il s’obstinait à souffrir pour elle, d’après ses confidences à son père ! À cette pensée s’associait aussitôt, dans son esprit, la vision de l’outrage ignoble dont était morte la pauvre Julie Burdin.

Il n’y avait plus à tergiverser. François allait venir, d’un moment à l’autre. Ils s’entendraient aisément. Et cette nuit, oui, cette nuit même, ils rouleraient ensemble, vers la liberté.

Elle s’approcha de la nourrice qui revenait de sa visite aux prisonniers, poussant toujours devant elle, la voiture où reposait l’enfant, dans un amoncellement de dentelles et de lainages blancs. Huguette se pencha sur sa figure, joufflue et rose où ses yeux bleus faisaient deux taches brillantes.

« — Petite horreur ! » lui dit-elle, avec une moue riante. « Non tu ne, seras pas un vilain Prussien ! Tant pis pour ton grand-père ! »

Le bruit de ces paroles le fit sourire et s’agiter dans son berceau.

« — Pour sûr ! » protesta la nourrice. Il est bien trop mignon ! Voyez comme il fait bien risette à sa maman ! »

Et elle le tirait de son nid tiède, le tendait à Huguette et le mettait dans ses bras. Tout en effleurant sa figure de ses lèvres, Huguette lui murmurait :

« — Oui ! il est mignon, le petit chéri à sa maman ! Non, il ne sera pas un méchant Boche, dans ce vilain pays ! Petit monstre chéri, il en aura coûté du chagrin à sa maman !

« — C’est ceux qui en coûtent le plus qu’on aime plus fort », lui déclara la nourrice, en le lui reprenant.

« — Angèle », lui demanda Huguette, « vous êtes capable de garder un secret ?

— Oh ! oui, madame !

— Mais un secret très grave ! Notre liberté en dépend. .    

— Madame sait bien que tous les domestiques, ici, me font enrager, parce que je suis Française. Je les laisse dire. Je sais pas leur charabia. Si seulement j’avais pas été si attachée au petit et à Madame…

— Je sais que vous souffrez beaucoup, à cause de moi.      

— Madame voit bien que je ne peux pas même savoir si mon mari, mes frères qui sont à la guerre, il ne leur est pas arrivé malheur.

—  Oui ma pauvre Angèle, tout cela est bien dur ! Et je vous plains bien… Précisément, j’ai peut-être le moyen de soulager votre peine.   ■   (À suivre)


Roman : LE MASQUE DÉCHIRÉ de M. FELICIEN PASCAL.

Feuilleton publié dans l’Action française de février à avril 1918.

Textes et images rassemblés par Rémi Hugues pour JSF.

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Un mini-dossier en 6 parties. Analyses et propositions. Une manière d’appréhender la situation française réelle et ses évolutions afin de fixer nos positions. A lire, donc.  Suivre les liens.  JSF     I   II  III   IV   V   VI

Quatre livres fondamentaux de Charles Maurras réédités par B2M, Belle-de-Mai éditions

Enquête sur la monarchie. (Édition de 1925), 39 €, 836 p.

Le manifeste royaliste en ouverture du XXe siècle ! (Parution courant 1900). Maurras y pose la célèbre question : « Oui ou non, l’instauration d’une monarchie héréditaire, antiparlementaire traditionnelle et décentralisée est-elle de salut public ? » !   

L’Avenir de l’intelligence, 25 €, 244 p.

Une étude de l’histoire politique et intellectuelle du XVIe au XXe siècle, où Maurras à montre comment les intellectuels et artistes attachés à produire des œuvres de l’esprit sont passés « de l’autorité des princes de notre Sang sous celle des marchands d’Or », les immenses fortunes industrielles et bancaires qui limitent la liberté de l’esprit. Maurras en appelle à une alliance entre les intellectuels et le patriotisme des Français pour renverser cette mécanique.

Kiel et Tanger, 29 €, 428 p.

Maurras y constate la tragique infériorité du régime républicain en matière de politique internationale, spécialement face à la menace allemande de l’époque. Prévoyant la guerre à venir il conclut à la nécessité de remettre un roi à la tête du pays. Prolongeant le réalisme de la pratique capétienne des relations internationales, ancêtre de la pensée géostratégique française.

La Démocratie religieuse, 31 €, 620 p.

Parution en 1921, compilant trois textes préalablement écrits par Charles Maurras : Le Dilemme de Marc Sangnier (1906) – – La politique religieuse (1912) – – L’Action française et la religion catholique (1914). Cet ouvrage voit dans la démocratie une religion nouvelle qui vide le politique de sa puissance.

Et aussi…


Henri Massis, Georges Bernanos, Maurras et l’Action française, présentation de Gérard Pol, 18 €, 104 p.

Léon Bloy, Le salut par les juifs, avant-propos de Laurent James, 20 €, 156 p.

Commandes et renseignements : B2M, Belle-de-Mai éditions – commande.b2m_edition@laposte.net

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