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Le Masque déchiré, roman

lundi 13 septembre 2021lundi 13 septembre 2021 sur JSF

Lundi 13 septembre. 

— Montée contre lui comme vous l’êtes, ça va être un esclandre terrible. Vous ne croyez pas qu’il vaudrait mieux aller l’attendre chez vous ?

— Eh bien ! merci ! Je serais propre ! Je sais ce qui l’amène auprès de moi. Le tête-à-tête avec moi, tout de suite ? Il ne demanderait que ça. Non, non ! Le plein air, au contraire. J’y suis intangible.

— Quel supplice pour vous, cette entrevue, ma pauvre chérie !

— J’aurais préféré l’éviter. Mais puisqu’il la cherche, ce n’est pas moi qui en souffrirai le plus, il n’a plus le pouvoir de me faire souffrir… À part les voies de fait.

— Oh ! » se récria François. « Il oserait ? Ce n’est pas tout à fait un rustre !

— Mais nous sommes chez les Apaches, mon pauvre François !

— C’est vrai !… Mais je serai là, prêt à accourir… Et dire que, sans moi, rien de tout cela ne vous serait arrivé !

— Mais tout serait arrivé, au contraire », lui affirma Huguette, dans un grand besoin de le rassurer contre les scrupules de sa générosité. Il lui était insupportable, en effet, qu’elle eût à souffrir de son amour pour lui, alors qu’il avait voulu quelle n’en éprouvât que des délices. Elle ajouta : « Je serais devenue exactement telle que vous m’avez retrouvée, ici. La guerre et la conduite de mon mari envers moi, comme envers la France, m’auraient tout aussi bien ouvert les yeux sur lui et sur moi, même si je ne vous avais ni connu, ni aimé. La seule différence, c’est que je serais ici, le cœur aussi vide de l’amour absurde auquel je me suis laissé prendre, et dans une désolation infinie. Au lieu qu’avec notre amour, la vie est devant moi, aussi neuve, aussi riante que s’il n’y avait pas eu cet épisode, cet accident, déjà relégués dans le passé. Avec votre amour, François, je peux tout affronter, tout endurer. La souffrance dans la joie, c’est toujours de la joie ! »

Toute sa crainte, toute son horreur d’avoir à se disputer à son mari, s’étaient évanouies, momentanément, dans l’exaltation de son amour.

« — Comme vous m’aimez, Huguette ! » soupira François. « Et que je vous aime ! » Elle sourit à cet élan de ferveur que son âme exhalait vers elle. Un grondement d’automobile, sur les pavés de la tour carrée lui fit tourner la tête.

— C’est lui ! » dit-elle, avec un léger soubresaut. « Voici l’ennemi ! Il s’agit d’être brave. Il faut que vous sachiez où j’en serai, avant que vous rentriez dans votre geôle. Retournez auprès de nos pauvres Français. Je vous reverrai, quand tout sera expliqué.

— Que je voudrais pouvoir soutenir l’assaut à votre place !

— Soyez tranquille ! C’est vous qui lutterez en moi. À tout à l’heure !

— À bientôt ! »

D’une allure résolue, malgré le frémissement intérieur qui l’agitait, Huguette regagna le banc sur lequel restaient son manteau, son chapeau et ses gants ; elle s’assit et attendit.

X

Elle entendit bientôt quelqu’un descendre le perron, à grandes enjambées. Elle n’a point détourné la tête. Elle savait que c’était Gérard d’Auersfurth. Elle ne leva les yeux que lorsqu’il fut devant elle, sa haute taille très droite dans son ample manteau de colonel. Parti capitaine, il avait atteint ce grade, en dix mois de campagne. On voyait encore, à ses bottes, de la boue des tranchées qu’il venait de quitter.

— Bonjour, Huguette ! » lui dit-il.

— Bonjour… Gérard ! »

— Vous ne… tu ne m’as pas dit : “Monsieur !” C’est au moins ça. » Il prit une chaise, et s’assit en face d’elle. « La santé ?… Un peu pâlie, je trouve, un peu maigrie.

— Ce n’est rien. Effet du carême national, et de l’air du pays.

— Ah !… Même l’air du pays, tu l’as en grippe ?… Voyons, Huguette ! » Il hésite. « Tu ne voudrais pas… me donner la main ?

— À quoi bon ? Ce serait entre nous, un geste banal et… inutile.

Ses sourcils se froncèrent. Une lueur dure jaillit de ses paupières baissées.

« — Tu me boudes toujours ? Depuis plus de six mois, cependant…

— Vous prenez ça pour de la bouderie, simplement ?         

— Mais, sacré nom d’un chien ! qu’est-ce que je t’ai fait, après tout ?… Comme mari, je suis irréprochable…. Contre ta volonté, j’ai fait amener ici notre enfant, c’est vrai ! J’ai été sourd à tes cris, insensible à tes larmes, c’est vrai encore !

— Et ce n’est rien, ça ?… Enlever un enfant à sa mère, lui arracher le cœur, lui déchirer les entrailles ; la voir, sans broncher, sans frémir, sans fléchir, à l’agonie, sans souffle, inanimée, c’est une simple brouille de ménage, tout ça ? Simple matière à bouderie ?

— Je ne pouvais pas faire autrement. Ma volonté devait être obéie. Il fallait que mon fils fût à la maison. Et toi aussi.      

— La maison du plus fort est toujours la meilleure », osa lui répliquer Huguette, en riant.

« — Qu’est-ce que c’est ?… Je ne comprends pas.

— Naturellement ! C’est un vers de La Fontaine que j’arrange un peu, pour plaisanter ».

Il haussa les épaules, et il dit, d’un ton vexé :

« — De l’esprit français !… Tu ne sais que ça, faire de l’esprit !… Eh bien ! soit. Tu as souffert par moi. Mais moi, crois-tu que je n’ai pas souffert de te faire souffrir ?

— Oh ! oh ! oh ! » protesta-t-elle, avec un petit rire sec, assez impertinent. « De la sentimentalité ? C’est vrai, c’est votre spécialité, vous autres, Allemands !

— Oui, j’ai souffert », insista-t-il. Quand on aime une femme, comme je t’aime, on a le cœur brisé de l’avoir contrariée. Tu l’as bien vu, par mes lettres.

— Vos lettres ?… Je peux vous les remettre toutes… fermées.

— Tu ne les a pas lues ?

— Pas une.

— Oh ! » fit-il, en un long soupir de rage, pareil à un rugissement. « Tu me reproches ma dureté ! Mais toi ?… » Il appuya, sur elle, un regard chargé de passion. Il ne put voir que ses yeux baissés qui se dérobaient aux siens. « J’ai bien compris, à ton silence », ajouta.t-il, « tout ton ressentiment Mais aussi violent !… Non, je n’ai pas voulu l’imaginer… Tous les jours, à chaque arrivée du vaguemestre, je me disais : “C’est cette fois-ci que je vais avoir une lettre d’elle”. Mais rien ! jamais rien ! Pas un mot ! Pas une pauvre carte postale ! Chaque nouvelle distribution renouvelait mon espoir et ma déception. Cependant, je ne prenais pas mon parti de renoncer. Malgré ton aversion pour mon pays, tu y étais venue, près de l’enfant. Quand une femme est bonne mère, elle ne peut pas être mauvaise épouse. Tôt ou tard, elle pardonne au père de son enfant, quand elle a une bonne nature. Et tu as une bonne nature. Je l’ai bien su, moi, pendant nos trois ans de bonheur, à Paris. Et je t’écrivais, quand même, avec toute la chaleur de mon amour. Je m’obstinais à croire qu’il y aurait une de mes lettres qui finirait par te toucher. Tiens ! Viens dans ta chambre ! Nous les lirons ensemble. Tu verras si je t’aime ! Si je t’ai toujours aimée ! »

Huguette savait trop que c’était à cela, uniquement, que Gérard voulait en venir. Et c’était cela que rien au monde ne pouvait lut faire vouloir : se trouver seule, avec lui, dans un endroit fermé. Dans 1e flot brûlant de ses protestations passionnées, elle ne discernait monter vers elle que cette prière. Il se leva. Elle demeura impassible.

« — Je t’en prie !… Je t’en supplie !… » insista-t-il, penché sur elle. Et sa bouche exhalait un souffle ardent que Huguette sentit sur son visage.

— Inutile ! » lui dit-elle, froide et ferme. « C’est aussi inutile que de nous donner la main, tout à l’heure ».

— Ah ! » rugit-il, furieux de la trouver si résolument impassible. « J ’aurais une femme qui ne serait pas ma femme ?… Je serais encore la risée de ma famille, de ma maison ?… Depuis sept mois que vous couvez ici votre rancune, elle n’aura pas faibli ?

— Vous pouvez même dire depuis dix mois », lui rappela-t-elle d’un ton tranquille.

— C’est insensé ! », s’écria-t-il, transporté de fureur. « On ne traite pas ainsi un homme comme moi !… Ah ! je… » Il n’osa pas, toutefois, passer sa rage sur elle. Il saisit une chaise qu’il lança au loin. Et, revenant à Huguette, il ajouta : ■   (À suivre)


Roman : LE MASQUE DÉCHIRÉ de M. FELICIEN PASCAL.

Feuilleton publié dans l’Action française de février à avril 1918.

Textes et images rassemblés par Rémi Hugues pour JSF.

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Quatre livres fondamentaux de Charles Maurras réédités par B2M, Belle-de-Mai éditions

Enquête sur la monarchie. (Édition de 1925), 39 €, 836 p.

Le manifeste royaliste en ouverture du XXe siècle ! (Parution courant 1900). Maurras y pose la célèbre question : « Oui ou non, l’instauration d’une monarchie héréditaire, antiparlementaire traditionnelle et décentralisée est-elle de salut public ? » !   

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Une étude de l’histoire politique et intellectuelle du XVIe au XXe siècle, où Maurras à montre comment les intellectuels et artistes attachés à produire des œuvres de l’esprit sont passés « de l’autorité des princes de notre Sang sous celle des marchands d’Or », les immenses fortunes industrielles et bancaires qui limitent la liberté de l’esprit. Maurras en appelle à une alliance entre les intellectuels et le patriotisme des Français pour renverser cette mécanique.

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Maurras y constate la tragique infériorité du régime républicain en matière de politique internationale, spécialement face à la menace allemande de l’époque. Prévoyant la guerre à venir il conclut à la nécessité de remettre un roi à la tête du pays. Prolongeant le réalisme de la pratique capétienne des relations internationales, ancêtre de la pensée géostratégique française.

La Démocratie religieuse, 31 €, 620 p.

Parution en 1921, compilant trois textes préalablement écrits par Charles Maurras : Le Dilemme de Marc Sangnier (1906) – – La politique religieuse (1912) – – L’Action française et la religion catholique (1914). Cet ouvrage voit dans la démocratie une religion nouvelle qui vide le politique de sa puissance.

Et aussi…


Henri Massis, Georges Bernanos, Maurras et l’Action française, présentation de Gérard Pol, 18 €, 104 p.

Léon Bloy, Le salut par les juifs, avant-propos de Laurent James, 20 €, 156 p.

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