Aller au contenu

JE SUIS FRANÇAIS

Le quotidien royaliste sur la toile

Search
  • Accueil
  • Politique
    • France
    • Europe
    • Monde
    • Les Lundis de Louis-Joseph Delanglade
    • En deux mots, réflexion sur l’actualité
    • Défense nationale
    • Social, economie…
    • Chiffres en vrac sur la France actuelle
    • Grain de sel … actualité
  • Comte de Paris
    • Monseigneur le Comte de Paris, Famille de France
  • Annonces
    • Activités, Presse, Mouvement
    • Annonces à propos de JSF
  • Société
    • Immigration – Insécurité – Anti racisme
    • Education
    • Justice
    • Patrimoine, Racines, Traditions
    • Politique et Religion
    • Humour
  • Vidéo-Audio
    • Vidéos
    • Audios
  • Idées-Culture
    • GRANDS TEXTES
    • Idées, Histoire, Culture & Civilisation
    • Patrimoine cinématographique [P. Builly]
    • Ephémérides
    • Visuels
    • Nos lecteurs ont la parole…
    • Aux nouveaux lecteurs qui nous découvrent…
    • Journal d’un royaliste français au Maroc
  • République ou Royauté
    • République ou Royauté ?
    • Révolution – Terrorisme – Totalitarisme
  • Dossiers
    • Lire Jacques Bainville
    • Bainville : Journal année 14
    • Pierre Debray – Une politique pour l’an 2000
    • Pierre Debray – Maurras et le Fascisme
    • L’Action française dans la Grande Guerre
    • Mai 68
  • RechercheRecherche

« La Tradition, arme spirituelle contre le progressisme »

jeudi 21 octobre 2021jeudi 21 octobre 2021 sur JSF
Michel Michel, auteur de Le recours à la tradition, est sociologue et maître de Conférences à l’Université des Sciences Sociales de Grenoble. Balazs / stock.adobe.com

Par Christophe Boutin

Cette recension particulièrement intéressante du dernier livre de Michel MICHEL – dont JSF a souvent traité – a été publiée avant-hier, 19 octobre, sur FigaroVox. Nous ne la commenterons pas. Michel MICHEL le fera lui-même mieux que nous, s’il y a lieu.  Et nos lecteurs en auront connaissance. 

LECTURE – En recherchant incessamment le progrès, la modernité dévalorise le passé, estime le sociologue Michel Michel. Contre cet écueil, il n’oppose pas la nostalgie, mais Le recours à la tradition, titre de son dernier livre. L’universitaire Christophe Boutin en dresse ici une analyse.


boutin.jpg

« Le fait religieux n’est pas, comme on le croyait au siècle dernier et au début du XXe siècle, une étape dans l’histoire de l’humanité, mais une dimension irréductible qui perdure même dans le cadre apparemment désacralisé des sociétés modernes.» Michel Michel

C’est dans la collection Théôria que dirige Pierre-Marie Sigaud, aux côtés d’ouvrages de Jean Hani, Jean Borella ou Frithjof Schuon, que Michel Michel vient de faire paraître un ouvrage qui évoque la place nécessaire de la Tradition – avec une majuscule – dans notre monde moderne. Sociologue, l’auteur s’est en effet intéressé depuis toujours à cette famille intellectuelle particulière, celle dite de la «pensée de la Tradition», dont l’un des principaux auteurs aura été le Français René Guénon, aux côtés de Schuon, Coomaraswamy ou Evola, et selon laquelle, pour faire court, existerait dans l’histoire spirituelle de l’humanité une Tradition primordiale d’où découleraient des traditions spirituelles particulières.

L’auteur découvre au cours de ses années d’études René Guénon ou Joseph de Maistre, fréquentations intellectuelles qui le conduiront à choisir d’être «un sociologue de terrain» et non un énième idéologue, au moment où l’Université se politise plus encore à gauche. Et s’il évoque «à la fin des années 70, la prompte débâcle de l’utopie gauchiste», sans doute convient-il de relativiser cette dernière, car si le mouvement de mai 68 s’est effectivement rapidement éteint politiquement, il n’en a pas moins conduit à la victoire culturelle de nombre de ses thématiques – et à la captation du pouvoir intellectuel par ses membres.

«À mes yeux, écrit l’auteur, le monde moderne n’a pas engendré une culture parmi d’autres, mais une exception anthropologique». Michel Michel pose en effet la question de la dimension religieuse de l’homme – et, ce faisant, de la manière dont il serait possible de l’étudier, qu’il s’agisse de le faire autour des référents de l’ethnologie ou de ceux de l’anthropologie.

Or il constate cette pratique qu’ont nos sociétés modernes, tout entières tournées vers un progrès déifié, de dévaloriser le passé pour mieux imposer leur doxa. Inventant de fort utiles «légendes noires» répétées ensuite à satiété, présentant systématiquement le monde ancien comme celui de l’obscurantisme le plus sinistre et le plus sectaire, elles imposent notamment cette idée que les faits magiques et/ou religieux n’étaient en fait que des formes primaires de pseudo-compréhension du monde, avant que l’avènement du rationalisme moderne nous fasse passer des ténèbres aux Lumières.

Évoquant les recherches, notamment, de Georges Dumézil, Carl Gustav Jung, Mircea Eliade ou Roger Caillois, Michel Michel se refuse pour sa part à accepter cet évolutionnisme simpliste pour affirmer, au contraire, que «le fait religieux n’est pas, comme on le croyait au siècle dernier et au début du XXe siècle, une étape dans l’histoire de l’humanité, mais une dimension irréductible qui perdure même dans le cadre apparemment désacralisé des sociétés modernes».

La preuve de cette attente fondamentale de l’homme serait d’ailleurs l’apparition de cette fausse religiosité se retrouvant dans ce que l’on nommera les religions séculières, dans la manière dont les totalitarismes du XXe siècle joueront sur les mythes religieux, et, plus encore, dans l’avènement de cette «religion prométhéenne» qui semble à notre auteur être l’idéologie dominante de notre temps.

Une religion prométhéenne qui serait, en fait, la subversion par excellence, renversant l’ordre même du monde : alors, rappelle-t-il, que «toutes les cultures humaines ont reconnu la supériorité et l’autorité de principes transcendants», la culture occidentale post-révolutionnaire qui prétend devenir la «culture monde» affirme, elle, «l’absolue autonomie de la volonté humaine et nie la légitimité de toute loi dont les fondements ne seraient pas contractuels».

Inversions donc : «Le progressisme prend la tour de Babel pour la Jérusalem céleste», écrit encore Michel Michel, attaché à retrouver le sens des symboles et des mythes. Il évoque ainsi ce rêve moderne de l’unité, celui, finalement, de notre «mondialisation heureuse», qui repose selon lui sur trois éléments clefs : délocalisation d’abord, et ce dans tous les sens du terme, des usines comme des hommes coupés de leurs appartenances ; dématérialisation ensuite, ou désincarnation ; unification globale du monde enfin, par arasement de toutes les identités. Mais cette unité niveleuse et destructrice de la beauté du monde relèverait d’une hubris contre laquelle, rappelle-t-il, un certain nombre de mythes, qu’il s’agisse de la chute du jardin d’Éden ou de l’échec de la tour de Babel, avaient pourtant mis en garde l’humanité. «La confusion totalitaire – écrit-il – tente en vain de trouver l’unité par l’homogénéisation du monde, elle vise à l’égalité, l’indistinction par l’atomisation universaliste, le “libre marché” ou tout équivaut à tout devient le paradigme de toutes relations entre les hommes».

Ce «Progrès» a-t-il «du plomb dans l’aile», comme l’écrit notre auteur ? Il semble parfois un peu confiant. Certes, il évoque la critique nouvelle d’une Science qui, aux XVIIIe et XIXe siècles, «apparaissait comme une sorte de grand mouvement prométhéen, parti à la conquête de la connaissance totale, la preuve du pouvoir illimité de la raison humaine, dès lors qu’elle se libérait des obscurantismes métaphysique et religieux». De fait, en dehors du retour du religieux, on peut noter le foisonnement actuel des sectes, des psychologies diverses, de l’occultisme, le goût du fantastique, et jusqu’aux fameuses théories du complot, autant d’éléments qui prouvent que l’esprit humain se satisfait peu du seul rationalisme dogmatique et cherche d’autres raisons de croire.

Mais ces travestissements d’une véritable relation au spirituel ont été justement dénoncés par Guénon, et force est de constater que le Système en place entend bien toujours se poser comme le seul avenir possible et imposer pour cela son pseudo-ordre destructeur –la situation actuelle, où le pouvoir politique appuie sur la Science sa prétention à régenter jusqu’au plus intime de l’humain, détruisant une après l’autre les libertés, en étant une preuve.

La première manière de lutter contre ce monde moderne serait la transmission d’une histoire et d’une culture qui nous font connaître «les hommes d’avant, les hommes d’ailleurs et l’homme de toujours […], ce qui permet de relativiser les croyances naïves des hommes d’aujourd’hui», écrit notre auteur. Dans ce cadre, il convient aussi de redonner toute leur place aux mythes, retrouvant, comme le fit Eliade, leur sens universel. Et Michel Michel évoque encore la place que doit tenir l’art, et notamment l’art sacré, dans cette nécessaire reconstruction du lien entre l’homme et la transcendance.

Mais face à ce monde moderne empli «d’idées chrétiennes devenues folles», selon le mot célèbre de Chesterton, l’auteur se pose aussi la question de ce que pourrait apporter à l’Église catholique la pensée de la Tradition. Car Michel Michel écarte l’approche que font certains traditionalistes «guénoniens» pour lesquels le christianisme ne serait jamais qu’une forme parmi d’autres d’expression de la Tradition primordiale. Pas de relativisme ici pour un auteur s’affirmant profondément chrétien et souhaitant voir l’Église retrouver son cadre traditionnel. Or il ne lui semble pas qu’il y ait d’opposition entre la pensée de la Tradition et le christianisme, selon lui, par exemple, parce que la Tradition suppose «la transmission d’une influence surnaturelle, d’une influence spirituelle, que les chrétiens appellent la Grâce», ou parce que le christianisme retrouve et maintient « des formes religieuses découlant de la tradition immémoriale de la prêtrise. »

Le problème serait que l’Église actuelle ne se place plus dans cette logique de transmission. Pour Michel Michel, «dans la première moitié du XXe siècle, l’Église de France a été institutionnellement vaincue dans la guerre de la laïcité et confinée au domaine “privé”».

Cette défaite est-elle définitive ? Sans doute pas, car, alors que, selon notre auteur, nombre de structures officielles «contrôlées par l’appareil ecclésiastique apparaissent comme plus vermoulues», il conviendrait de relever la puissante énergie spirituelle toujours présente dans certains secteurs de l’Église catholique. Mouvements de jeunesse, communautés charismatiques ou traditionalistes, retour en force du pèlerinage de Compostelle, autant d’éléments qui prouveraient la vitalité du catholicisme, mais conduisent notre auteur à cette conclusion : «Tout se passe comme si la vitalité des institutions religieuses était en relation proportionnelle avec leur capacité à contester les modèles dominants du monde et les “valeurs” de la modernité». Est-ce nouveau ? Michel Michel rappelle, prenant le cas de l’Église catholique, que sont régulièrement apparus des mouvements de «régénération» qui, soit secouaient un certain assoupissement, soit revenaient à la source pour éviter des dérives hérétiques. Et l’on relèvera que le même type de phénomène a existé dans la plupart des grandes religions.

Or, sur ce plan de la restauration du lien avec le spirituel, la forme n’est jamais neutre, et Michel Michel ne cache pas son «souci de voir l’Église abandonner la pastorale catastrophique qu’elle a adoptée depuis plus de deux générations». Il lui semble en effet indispensable qu’elle le fasse parce qu’«en deçà de la “disputatio” des théologiens, c’est la pastorale adoptée – liturgies, prêches, retraites, pratique des sacrements, cantiques, etc. – qui modèle la foi du peuple de Dieu».

Ce n’est donc pas un hasard pour notre auteur, qui cite ici les travaux de Guillaume Cuchet, si le grand décrochage de l’Église catholique en termes de fréquentation des fidèles a eu lieu après le concile de Vatican II et ses conséquences en termes de pastorale. Et l’on pense ici bien sûr à La fin d’un monde, le dernier ouvrage publié par Patrick Buisson, dans lequel ce dernier étudie justement cet éloignement, ou à l’image de ce prêtre canadien désemparé que met en scène Denys Arcand dans Les invasions barbares.

On comprend alors que semble nécessaire pour notre auteur, dans l’hypothèse où l’Église choisirait de définir une nouvelle pastorale pour se détacher du modernisme auquel elle aurait décidément donné trop de place, qu’elle s’appuie, en partie au moins, «sur les écoles de pensées qui ont su résister à l’hégémonie de l’idéologie moderne», dont la pensée de la Tradition. Une Église qui écarterait alors le risque de l’angélisme, car pour Michel Michel sa dérive actuelle «ne consiste pas d’abord dans la négation du spirituel, mais dans une sorte d’angélisme» qui conduit à oublier le combat nécessaire pour proclamer et défendre ses valeurs. «La chrétienté a réussi à transformer des soudards en chevaliers», écrit encore celui qui souhaite voir naître une nouvelle chevalerie, car pour lui la Tradition n’est pas seulement un concept intellectuel, mais doit être vécue.

Pour Michel Michel, la Tradition, qu’il vit dans le christianisme, est en fait «l’éternel présent de l’homme», ou, comme le rappelle la règle de saint Vincent de Lérins, qu’il cite, «ce qui a été cru toujours, partout et par tous». C’est contre cette Tradition que le progressisme, aujourd’hui au travers de son déconstructionnisme généralisé, mène une lutte sans répit, une lutte qui n’a pas épargné l’Église. Ce livre propose une voie de reconstruction par un retour à une Tradition vécue.  ■

 


Michel Michel, Le recours à la tradition – La modernité : des idées chrétiennes devenues folles, Paris, 2021 L’Harmattan


Christophe Boutin, agrégé de droit public, est professeur à l’université de Caen-Normandie où il enseigne le droit constitutionnel et l’histoire des idées politiques. Il a récemment codirigé avec Olivier Dard et Frédéric Rouvillois le Dictionnaire du conservatisme et le Dictionnaire des populismes (éditions du Cerf).

Categories France, Idées, Histoire, Culture & Civilisation, Monde, Politique et Religion
Post navigation
« Ils ont jugé la Reine » : Diffusé sur Arte, un film étonnamment à charge contre la République sur l’emprisonnement et le procès de Marie-Antoinette
IL YA DU TRAVAIL SUR LA PLANCHE !

Laisser un commentaire Annuler la réponse

L'association Je Suis Français est la seule destinataire de vos données personnelles qui ne sont en aucun cas transmises à des tiers sous quelque forme que ce soit.

Archives

Notre marque

Peinture par un jeune artiste Prix de Rome, offerte à l’U.R.P. pour le 7e centenaire de la mort de Saint-Louis [1970] © U.R.P. [Peut être reprise sur autorisation écrite.]

Prince Jean : « Le rôle politique, je l’ai »

« Le rôle politique, je l’ai sans avoir besoin d’être élu. C’est tout à fait dans le rôle d’un prince de pouvoir sortir un peu de cet échange partisan et de s’intéresser au bien commun, à l’intérêt général de la Cité. »

_____________________________________

Direction de Je Suis Français
Yves Boulon – Sylvie Gaud-Hueber – Jean Gugliotta – Jean-Louis Hueber – Paul Léonetti – Gérard Pol.         
_____________________________________

Ce quotidien a un coût. Son audience un prix. Aidez-nous ! Faites un don ! À partir de 5 €. Merci !

Faire un don ? Le plus simple, c’est PayPal. Dons en ligne – en toute sécurité. Utiliser le bouton PayPal ci-dessous

Sinon, par chèque. Ordre : Je Suis Français – Adresse postale : Je Suis Français, 50 rue Jean Mermoz, 13008 MARSEILLE

__________________________________

Rubriques Chroniqueurs

POLITIQUE
. Les Lundis de Louis-Joseph Delanglade. Contribution â l’expression de notre ligne politique [France & Étranger].
. En deux mots, par Gérard Pol. Réflexion sur l’actualité française et internationale.
. Idées et débats par Pierre de Meuse.
. Les chroniques moyen-orientales d’Antoine de Lacoste,
. Les analyses économiques de plusieurs spécialistes.
. Dans la presse et Sur la toile. Des réactions courtes aux articles, vidéos, audios, les plus marquants.
. Les GRANDS TEXTES politiques.
CULTURE
. Péroncel-Hugoz : Journal du Maroc et d’ailleurs [Inédit]. Autres contributions : Histoire, géographie, lectures et reportages.
. Les études de Rémi Hugues ; Histoire, sociologie politique, philo et actualité. Des séries originales et documentées.
. Patrimoine cinématographique et autres sujets  : les chroniques dominicales de Pierre Builly 
. Les éphémérides.
ANNONCES DES PRINCIPALES ACTIVITÉS
du monde royaliste. Presse et revues, réunions, conférences, colloques, manifestations, etc.
COMTE DE PARIS – FAMILLE DE FRANCE
. Messages, tribunes, activités, du Prince Jean, Comte de Paris. Les événements de la Famille de France. Et complément : les récits et choses vues de Francesca.
__________________________________

L’Histoire de France  jour après jour. Personnages célèbres, écrivains, savants, artistes, religieux, chefs militaires. Événements majeurs. Œuvres d’art, monuments et sites d’un héritage exceptionnel : le nôtre.

     _____________________________

CLIQUEZ SUR LES IMAGES    

14 JUIN – MIDI BLANC – QU’ON SE LE DISE !

_________________________________

Se renseigner – S’abonner

____________

S’abonner sur le site de Politique magazine : 

____________________________ 

Les principales activités royalistes annoncées ici. Revues, réunions, conférences, colloques, manifestations, etc. Image : © GAR


(Sur le site de l’Action Française)
_________________________________ 

Le site géostratégique d’Antone de Lacoste _________________________________ 

Fédération Royaliste Provençale
Fédération régionale de l’Action Française

BPM 777,  19 rue du Musée, 13001 MARSEILLE. Messagerie : urp@outlook.fr

(ATENTION : l’adresse 48 rue Sainte-Victoire, 13006 MARSEILLE, est supprimée). 
_______________________________

Livres à la une

Le dernier ouvrage de Jean-Paul Brighelli, – agrégé de Lettres, qui a enseigné pendant 45 ans :  « La fabrique du crétin – Vers l’apocalypse scolaire« , le tome 2 de son succès d’édition, déjà vendu à 150 000 exemplaires. Cliquez sur l’image.

_________

L’Action française est aujourd’hui le plus ancien et, dans sa continuelle vitalité, le plus constamment jeune des mouvements politiques, toutes tendances confondues. Elle se renouvelle à chaque génération, dans la permanence, sans cesse ravivée et adaptée, d’une doctrine, d’une vision, d’une action. Cliquez sur l’image.
__________________________________

JSF recommande à ses lecteurs d’adhérer à l’Action Française

Chers lcteurs, il ne suffit pas de nous lire. Si vous le souhaitez, si vous le pouvez, nous vous recommandons d’adhérer à l’Action Française, pour soutenir, renforcer, participer au mouvement royaliste. L’année commence, c’est le moment ! Cliquez sur l’image !   JSF
__________________________________

Bernard Lugan : Pour répondre aux « décoloniaux », aux islamo-gauchistes et aux terroristes de la repentancePrésentation – Table des matières – Commandes  [CLIQUER]

__________________________________

Livres recommandés…

Pierre de Meuse. Derniers ouvrages parus

 

 

 

 

 

Idées et doctrines de la Contre-Révolution, préface de Philippe Conrad.  DMM – 2019.
Le dogme de l’antiracisme, origine, développement et conséquences, préface de Bernard Lugan,  DMM – 2024.
Informations – Achats : Cliquez sur les images.
Annie Laurent : L’Islam. Pour s’informer sérieusement …

Pour en savoir plus sur cette indispensable étude, pour commander : ICI

__________________________________


Envois postaux : Je Suis Français, 50 rue Jean Mermoz, 13008 MARSEILLE 
Courriel : contact@jesuisfrancais.blog

Librairie de Flore

Cliquez sur l’image pour accéder aux produits de la Librairie de Flore ! Livres, revues, boutique …

L’incontournable ouvrage de Charles Maurras enfin disponible. 15,00€, 515 pages. En stock.

Lettre de JSF : S’abonner, c’est utile et c’est gratuit !




Service quotidien gratuit, déjà assuré le matin pour les milliers de lecteurs inscrits. Si ce n’est pas encore votre cas, inscrivez-vous dès maintenant pour recevoir la lettre de JSF au plus vite et régulièrement. Inscription simple ci-dessous.
Pour en savoir plus, vous pouvez consulter notre politique de confidentialité.

Vérifiez votre boite de réception ou votre répertoire d’indésirables pour confirmer votre abonnement.

Comte de Paris : 60 ans d’héritage et d’avenir

https://youtu.be/MEl5wncXQ0M

. Comte de Paris, Site Officiel
. Comte de Paris, Page Facebook 
. Politique Magazine & Revue Universelle
. Maurras.net
. Action Française – Le bien commun

                                    
Je Suis Français (JSF) est aussi sur Twitter/X
                 
Page associée

Commentaires récents

  • lundi 16 Juin 09:45
    Paul Pontenuovvo sur Radu Portocala : À Kiev, la…
    “Un ramasis d’invertis, plus ou moins nazis et droitsdel’hommistes en même temps, se regardant le nombril…”
  • lundi 16 Juin 09:42
    David Gattegno sur Stéphane Rozès au JDD : « la question…
    “La psittacique répétition de «la fin de l’ennemi communiste» pour expliquer l’état géopolitique actuel n’empêche nullement…”
  • lundi 16 Juin 09:21
    Cincinnatus sur Céline Pina : Meurtre d’une surveillante…
    “Les gens de rien « sans culture » (parce que français), ceux dont on « lave le cerveau » à…”
  • lundi 16 Juin 08:50
    David Gattegno sur La fin serait-elle Proche ? Des…
    “Nul n’a de «compétence particulière» en matière immédiatement contemporaine, pour la simple raison que, tous autant…”
  • dimanche 15 Juin 19:24
    Marc Vergier sur La République va juger pour meurtre…
    “P. Builly me semble le plus réaliste. Déjà reconnaissons que les drogues sont, en fait, implicitement…”
  • dimanche 15 Juin 16:04
    JSF sur La fin serait-elle Proche ? Des…
    “A Bruno DE BOUILLANE Merci de votre commentaire. 1. Nous n’avons pas présenté Monique Plaza comme…”
  • dimanche 15 Juin 15:41
    JSF sur Il y a 5 ans, Jean…
    “Merci à Pierre Builly de ces souvenirs précieux qui ont le parfum des choses vécues personnellement…”
  • dimanche 15 Juin 14:11
    Pierre Builly sur La République va juger pour meurtre…
    “@Richard : pourquoi limiter la légalisation au cannabis ? Héroïne, cocaïne, crack et tuttis quanti… Je…”
  • dimanche 15 Juin 11:46
    Bruno DE BOUILLANE sur La fin serait-elle Proche ? Des…
    “quelle est la compétence particulière de cette « spécialiste des troubles du langage » quant à la guerre…”
  • dimanche 15 Juin 11:39
    Grégoire Legrand sur La République va juger pour meurtre…
    “Je vous l’ai dit : la méthode philippine. En Italie, Murat et Mussolini ont réussi, chacun…”
  • dimanche 15 Juin 07:09
    Richard sur La République va juger pour meurtre…
    “Si le trafic de cannabis venait à se transformer en commerce , commerce sur lequel l’État…”
  • dimanche 15 Juin 00:16
    Rémy Chieragatti sur La République va juger pour meurtre…
    “Bonjour, l’Histoire nous apprend que dans un autre domaine en politique « qui veut , peut » ..…”

EXPLOREZ LES TRÉSORS DE NOTRE HISTOIRE

EXPLOREZ LES TRÉSORS DU CINÉMA…

____________________________________

Une collection de vidéos dont un grand nombre exclusives réalisées par l’Union Royaliste Provençale. © URP/JSF – Reproduction autorisée à condition de citer la source.

Chaîne YouTube Je Suis Français. Pour une plus large audience.  (Création récente)

_____________________________________

Péroncel-Hugoz dans JSF

Retrouvez ici..

Et aussi…

_______________________________

Appel aux lecteurs de Je Suis Français : Pour la sauvegarde du patrimoine matériel de l’Action Française !

Participez à l’opération nationale de sauvegarde du patrimoine historique de l’Action Française, lancée par le Secrétariat Général du Mouvement. Tous documents ou objets divers nous intéressent : photos, films, livres, journaux, correspondance, insignes, drapeaux etc. Ecrire à Michel Franceschetti : chetti133@sfr.fr .   

PEUT-ON SORTIR DE LA CRISE ? Une étude intégrale de Pierre Debray dans JSF

Une contribution magistrale à la réflexion historique, économique, sociale, politique et stratégique de l’école d’Action Française. Étude intégrale à la disposition des lecteurs de JSF, notamment étudiants, chercheurs et passionnés d’histoire et de science économiques.  ENTRÉE

Les créations de JSF : Séries, dossiers, études

 

Etudes, séries, dossiers regroupés pour être en permanence disponibles et directement consultables   © JSF – Peut être repris à condition de citer la source Pour y accéder, cliquez sur l’image.

A lire dans JSF : Le clivage du « nouveau monde » par Rémi Hugues.

Un mini-dossier en 6 parties. Analyses et propositions. Une manière d’appréhender la situation française réelle et ses évolutions afin de fixer nos positions. A lire, donc.  Suivre les liens.  JSF     I   II  III   IV   V   VI

Quatre livres fondamentaux de Charles Maurras réédités par B2M, Belle-de-Mai éditions

Enquête sur la monarchie. (Édition de 1925), 39 €, 836 p.

Le manifeste royaliste en ouverture du XXe siècle ! (Parution courant 1900). Maurras y pose la célèbre question : « Oui ou non, l’instauration d’une monarchie héréditaire, antiparlementaire traditionnelle et décentralisée est-elle de salut public ? » !   

L’Avenir de l’intelligence, 25 €, 244 p.

Une étude de l’histoire politique et intellectuelle du XVIe au XXe siècle, où Maurras à montre comment les intellectuels et artistes attachés à produire des œuvres de l’esprit sont passés « de l’autorité des princes de notre Sang sous celle des marchands d’Or », les immenses fortunes industrielles et bancaires qui limitent la liberté de l’esprit. Maurras en appelle à une alliance entre les intellectuels et le patriotisme des Français pour renverser cette mécanique.

Kiel et Tanger, 29 €, 428 p.

Maurras y constate la tragique infériorité du régime républicain en matière de politique internationale, spécialement face à la menace allemande de l’époque. Prévoyant la guerre à venir il conclut à la nécessité de remettre un roi à la tête du pays. Prolongeant le réalisme de la pratique capétienne des relations internationales, ancêtre de la pensée géostratégique française.

La Démocratie religieuse, 31 €, 620 p.

Parution en 1921, compilant trois textes préalablement écrits par Charles Maurras : Le Dilemme de Marc Sangnier (1906) – – La politique religieuse (1912) – – L’Action française et la religion catholique (1914). Cet ouvrage voit dans la démocratie une religion nouvelle qui vide le politique de sa puissance.

Et aussi…


Henri Massis, Georges Bernanos, Maurras et l’Action française, présentation de Gérard Pol, 18 €, 104 p.

Léon Bloy, Le salut par les juifs, avant-propos de Laurent James, 20 €, 156 p.

Commandes et renseignements : B2M, Belle-de-Mai éditions – commande.b2m_edition@laposte.net

* Frais de port inclus

  • Contact
  • Mentions Légales
  • Politique de Confidentialité
Je Suis Français © 2019 Tous droits réservés.

Site réalisé par Eva Giraud Web
Retour en haut de page