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Les aventures d’une bourgeoise de Paris, roman-feuilleton de votre été

samedi 5 août 2023samedi 5 août 2023 sur Rémi Hugues

— Hein, Gaucher, comme cela va être bon d’entendre parler de notre petite fille !

— Ah dam, oui dame ! Ça sera bon d’ouïr choses de chez nous ; eux aussi seront surpris, quand on leur fera récit de ce qui vient de se passer : j’aimerais qu’ils l’apprissent, rapport à Hermance.

Ils le sauront, Gaucher, promit Mahault ; puis, revenant vers le Chevalier :

— Hé ! Seigneur, que cette attente me dure !

— Elle est encore préférable à la certitude que me donne mon isolement de ne rien recevoir de personne ; mais il ne sied pas de se plaindre d’un mal qu’on a voulu.

Peu après, le jeune d’Argencé rentra, tenant un rouleau, dont, avec la précipitation habituelle, Mahault aurait voulu rompre le cachet ; mais les liens qui le maintiennent résistent à son impatience.

— Prêtez-moi votre dague, dit-elle à l’homme masqué, ces cordelettes emmêlées me font damner. En les coupant, elle laissa glisser à terre un autre rouleau, contenu dans le premier ; le chevalier, après l’avoir relevé, le lui tendit. Mais, ayant déjà en main quelques feuillets d’une écriture à la fois fine et ferme, Mahault, en les éloignant un peu de sa vue déjà basse, selon une habitude qu’elle avait, lisait à mi-voix :

« C’est de notre château désert que je vous écris, Madame ma Tante ; si grand me paraît-il que le bruit de mes pas dans les salles me fait peur quelquefois ; cependant, je veux être fidèle à ma mission que j’ai de le garder, et, si mon cœur est en grande angoisse, mon courage n’a point failli. Je n’aurais pas cru que cela fît tant de mal d’être seule pour pleurer ! cependant je devrais en avoir accoutumance, car je n’eus point de mère pour les essuyer, mes pleurs d’enfant ; sais-je au juste ce qu’est devenue la mienne, nul n’a même voulu me dire sous quelle pierre elle est couchée.

Quand vous entrâtes en ma vie, trop grande étais-je déjà pour vous y faire une assez large place et, vu votre bonté, je me reproche souventes fois de ne point vous avoir montré combien je vous aime. Grâce à vous, j’ai connu mon fiancé, et votre subterfuge a permis que je le chérisse avec toutes les tendresses qui tiennent dans un cœur, lorsqu’il se donne tout entier. Il se briserait maintenant si je cherchais à le reprendre. Aussi Dieu garde celle qui est paille si loin là où résident mon cœur et ma pensée, près de mon père et de mon promis.

Ceux de céans, qui de tant de bontés m’entourent, dom Pierre, le Sénéchal, Sire Roger, mon tuteur, et bien d’autres encore m’assurent : — Toute chose entreprise par la dame Mahault doit aboutir, car elle possède l’or qui aplanit les obstacles et la volonté qui sait les franchir.

« Je leur réponds : — Elle a surtout un cœur qui de rien ne se rebute, une bonté jamais lassée.

Madame ma chère tante, avec tout cela, luttez pour conquérir le bonheur de votre Jehanne, ramenez-lui son père et son fiancé : où que soit celui-ci, allez le retrouver et de quelque arme qu’il ait été blessé, que votre pitié sache le guérir… »

À mesure qu’elle lisait, la vois de Mahault s’élevait davantage et, dans l’étroite pièce, quelle que fût la discrétion du chevalier, aucun des mots contenus dans cette lettre n’avait dû être perdu pour lui. La lectrice était si émue qu’elle dut s’arrêter un instant. D’ailleurs, un garde venait l’avertir que la Reine pouvait lui donner audience ; ramassant à la hâte les feuillets épars, elle traversa la cour.

Au seuil de la chambre, la fidèle suivante, Marie des Sonnes Vertus, l’attendait et Mahault, en apercevant les yeux bleus qui éclairaient ce bon visage, crut revoir un coin du Ciel de France. Celles-là qui ne s’étaient jamais vues s’embrassèrent comme deux sœurs.

— Soyez bénie, dit la brave fille, si vous nous apportez de meilleures nouvelles que celles des jours passés. Ma noble maîtresse a tant souffert qu’elle n’y veut point croire encore ! Écoutez-la.

Derrière la tenture qui séparait la pièce en deux parties, une voix faible parvenait jusqu’aux deux femmes.

— Ne me trompez-vous pas, mon écuyer, et le bruit entendu par moi tout à l’heure n’est-il point celui des Sarrasins qui entrent dans la place ?

Le ton du vieil écuyer se fit caressant comme celui d’un aïeul qui endort le chagrin de sa petite-fille : — Vous m’auriez en mésaise si je trompais votre confiance, puisque toutes les nuits j’ai veillé si près de votre lit que vous vous endormiez seulement quand ma vieille main tenait la vôtre.

— Bon chevalier, vous m’avez promis que vous me tueriez de votre main plutôt que de me laisser prendre par ces infidèles1.

— Je vous ai même dit : « Si vous ne me l’aviez point demandé, l’eusse fait quand même », mais, je vous le jure, l’heure n’est plus de vous effrayer ainsi, puisque vous allez recevoir la messagère du Roy.

Les lourdes tentures glissèrent sur leurs tringles et découvrirent ainsi le lit incrusté d’ivoire où reposait la reine de France : pâle et les cheveux dénoués, elle soutenait de son bras la tête rougie de son petit enfant. Ses grands yeux noirs se fixèrent, pleins de terreur encore, sur la nouvelle arrivante.

— Est-il vrai que vous veniez de la part de mon Seigneur ?

— Cela est si vrai, madame, qu’il m’a chargé de vous remettre ceci.

L’annel du mariage ! celui où se peuvent lire encore les mots chéris ! Marguerite le prend, le baise, puis le pose comme un sceau sur le visage de l’enfançon, qui, ré =veillé par ce contact, se mit à pousser ces cris aigus, par lesquels, qu’ils soient fils de manants ou fils de Rois, les nouveau-nés saluent la vie.

— Il se nomme Tristan, dit la mère, car il est le fils de mes douleurs : caressez-le, vous qui lui apportez le baiser de son père.

Mahault prit dans ses bras le fils de son Roy, posa pieusement ses lèvres sur la petite joue ridée, et à ce contact, le plus doux qui soit au monde, elle, qui n’avait cependant jamais été mère, se sentit frémir d’une telle émotion que ses larmes, contenues depuis quelques jours, mouillèrent le front du petit être.

Quand l’enfant fut replacé près de sa mère :

— Parlez-moi du Roy, je veux savoir ce qui lui est advenu ces jours-ci ? demanda Marguerite.

— L’heure n’est point propice pour cela, interrompit le vénérable écuyer, en voyant une rougeur fébrile monter aux joues de l’accouchée. Cette dame, qui est de grand cœur et de noble naissance, pourra vous narrer plus tard toutes ces choses.

— Si je consens à me reposer, dit la Reine, je veux votre promesse d’être mon hôte jusqu’à ce que je sois réunie à mon époux. Las ! ce palais n’est plus un lieu de délices : en vous priant d’y demeurer, c’est peut-être votre vie que je demande.

— Je voudrais y tenir davantage pour vous l’offrir, dame Reine, car elle est à vous et au Roy ; je resterai donc jusqu’à votre rétablissement, mais souffrez que je vous laisse, afin d’aller prendre congé du chevalier avec lequel je suis venue.

Mahault retrouva celui-ci dans la pièce où ils avaient parlé ensemble. Il avait encore en main le rouleau de lettres qu’il avait relevé, et Gaucher, auquel ses récentes prouesses donnaient une loquacité inaccoutumée, lui tenait compagnie. La veuve de Bonnard fut vers l’inconnu, la main tendue :

— Notre mission a été menée à bonne fin : vous pouvez dire au Roy qu’un beau petit fils lui est né. En recevant son annel, la joie de la Reine fut assez grande pour nous payer des fatigues et des dangers courus ensemble ; ils créent entre nous un lien, chevalier, et je voudrais pouvoir vous retenir.

— Vous ne l’essayerez pas, car chaque minute de retard peut compromettre une tâche auprès de laquelle celle que nous venons de remplir était jeu d’enfant ! vous vous y êtes comportée comme vaillante Bretonne, et j’aimerais, dame Mahault, à vous rendre service.

— Un seul me serait agréable, parce qu’il ne s’adresse point à moi-même et faciliterai cette autre mission, qui seule me reste maintenant à remplir, puisque la rançon de mon frère va être ici en sûreté ; il me faut des nouvelles de ce Lusignan de malheur ; mort ou vif, nous devons être fixés sur son sort : il me serait moins cruel de voir ma nièce pleurer sur un mort, que d’avoir à lui apprendre qu’il est indigne d’elle de continuer à attendre un lâche.

— Telle injure s’accole mal avec le nom de celui-là. Si je le rencontre, je le lui dirai cependant, afin qu’il agisse de façon à vous donner repentance de l’avoir prononcée. Mais que dois-je faire de ce rouleau ?

— Les lettres de Jehanne ! j’allais vous les redemander tout à l’heure. Pssst ! pour peser si lourd, ce rouleau doit contenir bien des feuilles de parchemin ; la missive que j’ai lue tantôt était faite pour me toucher, mais celles-ci, qu’amour a dictées, doivent être plus bellement écrites encore, et j’ai soulagement de penser que le déserteur pour lequel elles furent faites ne les lira pas.

— Elles lui appartiennent, cependant, car les secrets d’amour sont inviolables.

— Mais où le prendrais-je, ce fiancé déserteur, pour les lui remettre ?

— Si quelqu’un peut les lui faire tenir, c’est moi ; car n’ayant de place sous aucune tente, je n’en sais que mieux ce qui se passe en chacune d’elles. ▪ (À suivre)

1 Notes du Confesseur de la Reine.


Roman : LES AVENTURES D’UNE BOURGEOISE DE PARIS de Myriam Thélen (1911).

Publié dans l’Action française le 17 juin 1923.

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Le manifeste royaliste en ouverture du XXe siècle ! (Parution courant 1900). Maurras y pose la célèbre question : « Oui ou non, l’instauration d’une monarchie héréditaire, antiparlementaire traditionnelle et décentralisée est-elle de salut public ? » !   

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Maurras y constate la tragique infériorité du régime républicain en matière de politique internationale, spécialement face à la menace allemande de l’époque. Prévoyant la guerre à venir il conclut à la nécessité de remettre un roi à la tête du pays. Prolongeant le réalisme de la pratique capétienne des relations internationales, ancêtre de la pensée géostratégique française.

La Démocratie religieuse, 31 €, 620 p.

Parution en 1921, compilant trois textes préalablement écrits par Charles Maurras : Le Dilemme de Marc Sangnier (1906) – – La politique religieuse (1912) – – L’Action française et la religion catholique (1914). Cet ouvrage voit dans la démocratie une religion nouvelle qui vide le politique de sa puissance.

Et aussi…


Henri Massis, Georges Bernanos, Maurras et l’Action française, présentation de Gérard Pol, 18 €, 104 p.

Léon Bloy, Le salut par les juifs, avant-propos de Laurent James, 20 €, 156 p.

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