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Les aventures d’une bourgeoise de Paris, roman-feuilleton de votre été

mercredi 9 août 2023mercredi 9 août 2023 sur Rémi Hugues

« André Bonnard, mon cher époux, j’ai accompli le projet que nous avions formé ensemble et me suis dit, souventes fois, quand la pensée des morts vient pour réconforter les vivants, que tu devais être content de moi.

Mais la partie de ma tâche qui me tient le plus au cœur, je ne l’ai pas encore remplie. En vain cherchai-je à savoir ce qu’est devenu l’introuvable fiancé de Jehanne ! seul, le chevalier de Visière Close peut le ramener, s’il vit encore !

Ah ! quand mon frère sera revenu, combien j’aurai hâte de quitter ce lieu où seigneurs et belles dames s’esbattent maintenant, tels des frelons sur une parcelle de gâteau, et de retourner en Fougères avec mes miennes gens !

Après avoir vu écrire en lettres de sang cette épopée, dont nos petits neveux chanteront les gestes, il me déplaît de ouïr certains quolibets dont la reconnaissance de la Reine ne me garantit pas entièrement. La comtesse d’Anjou ne daigne faire révérence, et cette ribaude de comtesse de Poitiers paraissait vexée, hier, que ma place fût voisine de la sienne au souper. »

Mahault en était là de ses réflexions, quand elle perçut, dans le grand couloir, un bruit de pas rapides et de soyeuses étoffes remuées. Peu après, par son huis entr’ouvert, s’encadrait l’aguichant minois d’une des jeunes dames qui, la vaille, s’étaient montrées des moins déférentes à son endroit. Tout semblait changé, et ce fut d’un ton fort courtois qu’on la priait de venir dans uns lieu où il y avait moult belles choses à voir.

Sans empressement; la veuve ramena d’un tour de main les plis droits de sa robe de serge et suivit la gente dame, dont les atours jolis laissaient dans les couloirs une traînée d’odorants parfums.

Elle entra avec elle dans la salle du chapitre, dont les stalles sculptées et les rudes bancs de chêne disparaissaient sous une nuée rutilante d’étoffes somptueuses.

Tous les lourds camelins de Damas, les voiles pailletés d’or, les lampas brochés d’argent, mêlés à la pourpre de Tyr semblaient éclairer la sombre salle. Graves comme des pontifes, des marchands enturbannés faisaient chatoyer ces merveilles aux yeux éblouis des châtelaines de France qui, pantelantes de désirs, étaient cependant en mésaise de cœur, comme ceux qui n’ont plus de deniers à dépenser.

— Dame, vous qui vous connaissez en belles choses, voyez donc ces couleurs ! on dirait que Dieu les a peintes à nuance des nuages de son ciel !… Ah ! si j’étais à votre place, je voudrais en porter de semblables au pays de France.

— Quand nous rentrerons, pareilles couleurs ne siéront guère : nous aurons toutes trop de deuil à porter.

Mais, l’assemblée des dames ne se le tint pas pour dit. Entourant la riche bourgeoise, les plus hautaines elles-mêmes faisaient miroiter sous ses yeux les affriolantes étoffes ; chacune prenait l’objet de son envie, le disposait à sa guise, puis elle s’atornaient l’une l’autre.

— Dame Mahault, lui disaient-elles, avec des sourires dont elle était déshabituée, puisque votre vertu renonce à toute parure, votre générosité ne manquerait pas d’amies à combler de ses dons !

Sur ce, un jeune page vêtu d’une cotte vermeille à raies jaunes1 et effronté comme il sied, vint sans façon secouer l’escarcelle de la veuve.

— Psst ! fit celle-ci poussée à bout, ne sais-tu pas qu’elle est vide, chasse coquin, et fût-elle comme autrefois pleine à déborder, j’emploierais mon or à vêtir des chevaliers, que je vis sans cotte ni maille, plutôt que de le perdre en affiquets pour des péronnelles dont la vanité tourne les têtes.

Sur ce, la Bourgeoise de Paris, écartant le petit page, traversa d’un pas décidé la salle du chapitre, renversant sur son chemin deux tables de jeu, dont les dés roulèrent à grand fracas.

Quand Mahault se retrouva seule dans sa cellule, elle devint pour elle même un très ennuyeux personnage, et s’apostropha en ces termes :

— Perdrai-je jamais l’accoutumance de donner des leçons à tout le monde ? J’ai trop voulu mesurer les autres à mon aulne, qui n’est point celle de ces gens-là !… Ils voient dans la vie une manière de fête, moi je la considère comme apportant des devoirs dont je n’arrive pas à me déprendre ! À peine étaient-ils- nés qu’ils’ virent intrigues, joutes et fols plaisirs autour d’eux, tandis qu’en notre petite cour de Fougères, le vieil oncle Langevin vivait à la façon rigide des barons de Bretagne.

Là, Mahault prit sa tête à deux mains et, sincère avec elle-même comme elle l’était avec les autres :

— Cela m’empêcha-t-il d’écouter Amour plutôt que Raison ? et cette faute que je ne puis me reprocher, car elle fut trop douce, d’aucuns ne l’ont point encore oubliée !… Il me sied donc mal d’être sévère aux peccadilles d’autrui : je n’ai pas même droit à cette vertu maussade qui n’ayant, rien à se pardonner, ne veut rien non plus excuser des autres. Quand je vois pièges tendus à certaines faiblesses, il me vient à l’esprit que Lusignan lui- même fut aussi victime que coupable. Je l’accablais de mes foudres comme un parjure ; qui sait, s’il ne fut pas seulement un égaré ?… Le diable a moult complices ici ; tel se croit vertueux dans un autre climat qui perd sous ce soleil la notion des choses, bonnes ou pires.

Tandis que Mahault s’interrogeait ainsi, la nuit était venue, idéalement pure et profonde ; un rayon de lune plongeait dans la mer et y creusait un long sillon d’argent. De ce mont du Carmel, où avaient retenti les voix des vieux Prophètes, une paix infinie descendait et, calmée par cette douceur enveloppante des choses, Mahault conclut ainsi :

— Ne jamais condamner, toujours compatir.

Belles paroles ! Étant plus faciles à énoncer qu’à mettre en pratique, elle eut de la peine à se conformer aux siennes les jours suivants. Volontiers eût-elle supporté un coup d’épée, mais les piqûres d’épingles lui cuisaient à la peau.

Les nobles Dames, ayant mal auguré d’une générosité qui, pour s’exercer noblement dans les grandes choses, s’interdisait les petites, semblaient s’être fait une gageure de voir jusqu’où irait la patience de cette bourgeoise. Il en résulta une petite guerre où la Reine ne la pouvait défendre, prise qu’elle était par les négociations pendantes avec le Sultan. Celui-ci menaçait chaque jour de dénoncer le traité ; cependant, beaucoup de rançons avaient déjà été payées, à commencer par celle de Raoul de Fougères.

Pour cela sa sœur n’avait eu qu’à découdre de ses mains les vêtements de Gaucher, lequel, dédoublé de son rembourrage et délié de son serment, s’accommodait fort bien de son séjour en Ptolémaïs. Il y avait fait connaissance d’un sergent nommé Legoulu, et, comme il paraissait que le maraud avait amplement mérité ce surnom, il était à craindre que le frère d’Hermance ne s’aperçut bientôt combien les mauvaises fréquentations peuvent être dangereuses. Valet ne devait à vrai dire être plus raisonnable que Seigneur, et nul ne se privait de s’esbaudir, même en ces jours, où le retard inexplicable du vaisseau royal aurait dû maintenir, tout le monde en doutance et chagrin.

Au lieu de celui-ci, ce fut une galère franque qui arriva, apportant à tous l’impression ressentie dans la mère Patrie à l’annonce de la défaite de Mansourah.

Aucune nouvelle recrue ne venait renforcer les rangs éclaircis des Croisés. Loin de les encourager à continuer la lutte, on les suppliait d’y renoncer, et l’évêque de Sens était envoyé à cet effet par la Reine mère auprès de son fils. La plupart des provinces avaient choisi des ambassadeurs pour remplir la même mission auprès de leurs seigneurs respectifs, et celui que l’on députait au duc Pierre de Bretagne était le fils d’André de Vitré.

Dès qu’elle sut l’arrivée de ce voisin, la sœur du baron de Fougères s’empressa de le faire appeler pour avoir des nouvelles toutes fraîches de Jehanne. Il l’avait vue avant son départ et ne cachait pas qu’elle fut changée de façon à ne la point reconnaître. D’aucuns la disaient prise d’un mal de langueur, causé peut-être par l’attente de ce fiancé dont elle ne parlait mie, preuve qu’elle y pensait sans cesse. Au surplus, le jeune seigneur portait un message, où Mahault lut ce qui suit :

« Mon Dieu, mon Dieu ! nous avez-vous abandonnés ! ce cri de douleur, je le clame vers vous, Madame ma chère Tante, au soir de ce jour où je viens d’apprendre que l’armée à été anéantie en un lieu près du fleuve Nil. Ne puis, hélas ! Avoir doutance, ayant à l’aube reçu un courrier par lequel le riche duc mande à ses lieutenants ce désastre dans lequel il fut blessé, et vit toute la fleur de sa chevalerie occise autour de lui.

Ceux de la ville sont arrivés bien en peine auprès du château, et, quand j’eus fait ouvrir les portes il y eut dans les trois enceintes grande foison de mères en larmes, de pères appelant leurs fils, de femmes pleurant leur époux, d’enfants réclamant leurs pères !…

Les saintes gens d’Église disaient en vain que Dieu ne permettrait pas ces choses : la multitude se révoltait et l’excès de leur douleur se manifestait par des blasphèmes ! La voix de Dom Pierre lui-même ne pouvait plus se faire entendre ; lors il me dit : ‟Jehanne, venez, et parlez-leur, car ils sont à vous.”

Je m’avançai, bien que mes jambes tremblassent, car, devant tous ceux-là,.je n’avais pas le droit de pleurer. Alors que je m’efforçais de raffermir, ma voix, la foule s’ouvrit, livrant passade à ces deux vieux Touchefeu, qui sont ses doyens d’âge. ▪ (À suivre)

1 Livrée de la Reine.


Roman : LES AVENTURES D’UNE BOURGEOISE DE PARIS de Myriam Thélen (1911).

Publié dans l’Action française le 21 juin 1923.

Textes et images rassemblés par Rémi Hugues pour JSF

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Maurras y constate la tragique infériorité du régime républicain en matière de politique internationale, spécialement face à la menace allemande de l’époque. Prévoyant la guerre à venir il conclut à la nécessité de remettre un roi à la tête du pays. Prolongeant le réalisme de la pratique capétienne des relations internationales, ancêtre de la pensée géostratégique française.

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Parution en 1921, compilant trois textes préalablement écrits par Charles Maurras : Le Dilemme de Marc Sangnier (1906) – – La politique religieuse (1912) – – L’Action française et la religion catholique (1914). Cet ouvrage voit dans la démocratie une religion nouvelle qui vide le politique de sa puissance.

Et aussi…


Henri Massis, Georges Bernanos, Maurras et l’Action française, présentation de Gérard Pol, 18 €, 104 p.

Léon Bloy, Le salut par les juifs, avant-propos de Laurent James, 20 €, 156 p.

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