Apprendre ainsi, avec la brutalité qu’ont les mauvaises nouvelles quand elles vous assaillent, que le Mozart de la finance n’est pas plus doué que le plus médiocre des musiciens ambulants et que la symphonie qu’il a composée pour nous enchanter n’est faite que de fausses notes !
Apprendre aussi que son ami le plus cher, le romancier-économiste au derrière entre deux partis, s’est tellement dépensé à détruire la Russie qu’il a fini par s’égarer dans les calculs du sublime « quoi que ça coûte ». ■ RADU PORTOCALA
(L’image vient du « Figaro ».)
Ce billet est paru le 17 juillet sur la page FB de son auteur.
Radu Portocala est écrivain et journaliste, spécialisé notamment en Relations Internationales.