Aller au contenu

JE SUIS FRANÇAIS

Le quotidien royaliste sur la toile

Search
  • Accueil
  • Politique
    • France
    • Europe
    • Monde
    • Les Lundis de Louis-Joseph Delanglade
    • En deux mots, réflexion sur l’actualité
    • Défense nationale
    • Social, economie…
    • Chiffres en vrac sur la France actuelle
    • Grain de sel … actualité
  • Comte de Paris
    • Monseigneur le Comte de Paris, Famille de France
  • Annonces
    • Activités, Presse, Mouvement
    • Annonces à propos de JSF
  • Société
    • Immigration – Insécurité – Anti racisme
    • Education
    • Justice
    • Patrimoine, Racines, Traditions
    • Politique et Religion
    • Humour
  • Vidéo-Audio
    • Vidéos
    • Audios
  • Idées-Culture
    • GRANDS TEXTES
    • Idées, Histoire, Culture & Civilisation
    • Patrimoine cinématographique [P. Builly]
    • Ephémérides
    • Visuels
    • Nos lecteurs ont la parole…
    • Aux nouveaux lecteurs qui nous découvrent…
    • Journal d’un royaliste français au Maroc
  • République ou Royauté
    • République ou Royauté ?
    • Révolution – Terrorisme – Totalitarisme
  • Dossiers
    • Lire Jacques Bainville
    • Bainville : Journal année 14
    • Pierre Debray – Une politique pour l’an 2000
    • Pierre Debray – Maurras et le Fascisme
    • L’Action française dans la Grande Guerre
    • Mai 68
  • RechercheRecherche

Racisme anti-Blancs : histoire d’un déni alimenté par la pensée décoloniale

mardi 1 avril 2025mardi 1 avril 2025 sur JSF
Lors d’une manifestation contre l’extrême droite à Paris le 22 mars 2025, une banderole ramène le racisme à une « perversion coloniale ». BERTRAND GUAY / AFP

Par Paul Sugy

Ce « récit » est paru dans Le Figaro d’hier, 31 mars. Il nous montre surtout, sans épuiser le sujet, que les mentalités évoluent. Timidement, en effet. Mais nous avons connu toute une époque où même dans des milieux et des écoles de pensée normalement vouées à la défense du Pays, à la préservation de notre héritage intégral, par souci de conformité ou lâcheté d’esprit, il était mal vu, presque interdit d’évoquer ce sujet là… Les offensives de plus en plus puissantes du camp adverse, dont le « récit » est ici donné, ont peu à peu entamé ces réticences à voir les réalités en face, souvent jusqu’à les nier. Ceux qui se sont réfugiés dans ces attitudes peureuses ont été dépassés par d’autres plus courageux ou clairvoyants. Et la réaction populaire a tranché obligeant à la réaction salutaire d’un certain nombre, puis d’une large majorité de Français. Il faut œuvrer à hâter les évolutions nécessaires des mentalités. Sinon, même les royalistes, n’auraient plus d’héritage à sauver et plus de roi à qui le transmettre.     

RÉCIT – Certains intellectuels et certains médias s’entêtent à nier le racisme anti-Blancs, car cette notion aurait été inventée par l’extrême droite. Seules les discriminations « systémiques » visant les personnes « racisées » constitueraient du racisme. Généalogie d’une manipulation idéologique.

En affirmant sur Europe 1 et CNews que les populations « françaises » et « blanches » peuvent aussi être victimes de racisme, la porte-parole du gouvernement, Sophie Primas, a déclenché une vive polémique. Soutenir qu’il existe en France un racisme anti-Blancs était jusqu’ici plutôt l’apanage des élus de la droite nationaliste, plus rarement de ministres (encore qu’en leur temps Jean-Marc Ayrault puis Édouard Philippe l’avaient déjà évoqué), et c’est peu dire que l’expression vaut à celui qui l’emploie une pluie d’anathèmes. Si la porte-parole du gouvernement a donc fait montre, en la reprenant à son compte, d’un certain courage, on peut aussi lui reconnaître une étrange naïveté lorsque, en confirmant quelques jours plus tard ses propos sur Public Sénat, elle a ajouté au sujet des critiques essuyées depuis : « Ça m’a surprise, parce que je pense que c’est un lieu commun de dire ça. » 

Un « lieu commun » ? Pas pour tout le monde. Car un large éventail d’intellectuels (sociologues, philosophes…) ont préempté le débat sur le racisme anti-Blancs en martelant malgré les évidences que cette notion est creuse et ne désigne aucune réalité effective. Le secrétaire national du Parti communiste, Fabien Roussel, en a d’ailleurs lui-même fait les frais à gauche, en attestant à son tour de l’existence d’une forme spécifique de racisme visant les Blancs, ce à quoi le député de La France insoumise Bastien Lachaud a répondu en l’accusant de « banaliser des notions venues de l’extrême droite et (de) contribuer ainsi à la défaite idéologique de (leur) camp social ».

Mais comment nier l’existence, en France, d’insultes et de violences commises spécifiquement à l’encontre des Blancs ? L’actualité en offre, hélas, de trop nombreux exemples. Le 10 mars dernier, un homme giflait encore des policiers au cours de sa garde à vue aux cris de « sales Blancs », rapporte La Dépêche. N’est-ce pas du racisme anti-Blancs ? Si, à l’inverse, les policiers avaient été noirs, et si l’individu les avait injuriés en raison de leur couleur de peau, le caractère raciste de l’agression aurait-il fait le moindre doute ?

Ceux qui s’évertuent à prétendre que « le racisme anti-Blancs n’existe pas », comme la militante racialiste Rokhaya Diallo l’affirmait encore sur son compte Instagram ce jeudi 27 mars, ne contestent pas l’existence de tels faits mais affirment deux choses : d’une part, que l’expression de « racisme anti-Blancs » a été forgée par l’extrême droite et que la reprendre à son compte revient à promouvoir une vision raciste de la société ; et, d’autre part, que ces faits sont des actes isolés, tandis que le vrai racisme est un système global de domination en vertu duquel les Blancs jouissent de « privilèges » et les « personnes racisées » souffrent de « violences systémiques ».

Une notion qui ne vient pas de l’extrême droite

Examinons d’abord la première affirmation : le racisme anti-Blancs serait une invention de l’extrême droite. Cette thèse est tellement ancrée dans l’esprit de certains qu’elle finit par avoir valeur d’évidence, ou de vérité factuelle : ainsi était-elle reprise sans la moindre distance critique par le journaliste de l’Agence France-Presse Jérémy Marot, dans sa dépêche relatant les propos de Sophie Primas : « L’extrême droite, écrivait le journaliste en pensant énoncer là un fait indubitable, a théorisé le concept il y a une cinquantaine d’années. »

Dans la littérature scientifique, c’est encore la thèse du démographe Hervé Le Bras, pour qui parler de « racisme anti-Blancs », c’est présupposer l’existence d’une race blanche… donc être raciste.

De nombreuses personnalités ou organisations d’extrême droite ont certes repris à leur compte l’idée que l’immigration alimentait en France un racisme anti-Blancs (ou « anti-Français »). C’est pour combattre celui-ci que des personnalités du Front national ont fondé en 1984 l’Alliance générale contre le racisme et pour le respect de l’identité française et chrétienne (Agrif), et plusieurs auteurs nationalistes ont depuis étayé le concept, à l’instar du négationniste Hervé Ryssen, auteur en 2011 du Racisme antiblanc aux Éditions Baskerville. Mais l’extrême droite n’a pas le monopole de la dénonciation d’un racisme visant spécifiquement les Blancs, issue à l’origine d’une préoccupation émanant de la constellation des associations de lutte contre le racisme.

Il faut lire, pour s’en convaincre, les travaux de l’historien Emmanuel Debono, titulaire d’un doctorat en histoire à Sciences Po Paris et auteur au CNRS d’un livre portant sur les « origines de l’antiracisme », qui retrace la genèse dans l’entre-deux-guerres de la Ligue contre l’antisémitisme, devenue aujourd’hui la Licra. Dans un long billet publié sur son blog (hébergé par le site du Monde), Emmanuel Debono livrait quelques réflexions fort utiles à ce sujet à la suite d’une plainte de la Licra contre le rappeur Nick Conrad, auteur d’un clip intitulé «Pendez les Blancs» (Nick Conrad a été relaxé en appel de son procès pour racisme). Le Front national, rappelle-t-il, « n’est pas l’inventeur de la notion de racisme anti-Blancs, qui émerge dans le débat public au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, dans le contexte de décolonisation ». Et de rappeler que l’expression « blancophobie » était déjà employée aux Antilles dès la fin du XIXe siècle pour désigner l’attitude hostile envers les colons. Puis, dans un contexte de décolonisation traumatique et face aux conséquences en métropole de l’agitation suscitée par des mouvements de libération dans les anciens territoires de l’empire colonial, la Lica, ancêtre de la Licra, mettait en garde dès les années 1960 contre la montée d’un « néoracisme anti-Blancs ».

« Domination blanche »

Si l’extrême droite s’est mise à parler à son tour de racisme anti-Blancs, il s’agit plus sûrement d’une récupération que d’une invention. Le racisme envers les Blancs a d’abord été dénoncé et combattu par des organisations antiracistes, luttant à l’origine contre l’antisémitisme, puis ayant élargi leur combat à toutes les formes de racisme quelles qu’elles soient. Du reste, s’agissant de l’antisémitisme, il n’est pas inutile de constater que ses principaux relais aujourd’hui essentialisent les Juifs comme les militants décoloniaux ont pu essentialiser les Blancs : l’instrumentalisation du conflit entre Israël et le Hamas sert aujourd’hui à ramener les Juifs à une appartenance ethnique, puis à une entreprise politique, et par conséquent à les réduire à une complicité supposée avec les décisions du gouvernement israélien, qui justifierait par conséquent leur déshumanisation.

Le racisme a été décrit plus tard comme une gamme d’attitudes négatives constatées chez un groupe de population à l’égard d’un autre, dans une perspective utilisant notamment la psychologie sociale

De même que ceux qui s’en prennent aux Blancs essentialisent les Français n’ayant pas d’origines étrangères, ramenant ceux-ci au passé colonial de la France et les rendant du même coup complices d’une supposée « domination blanche ». En somme, l’antisémitisme contemporain se rapproche bien plus sûrement du racisme anti-Blancs que des autres formes de racisme et souffre également des mêmes mécanismes de déni.

Du reste, suggère aussi Emmanuel Debono, ni l’instrumentalisation du racisme anti-Blancs par des groupes politiques ni même la longue série de controverses qui entoure cette notion depuis l’origine ne suffisent à la disqualifier.

Le racisme n’est pas nécessairement « systémique »

Le débat tourne dès lors à une confrontation entre différentes façons de définir le racisme – qui, au demeurant, ne sont pas exclusives les unes des autres. C’est Daniel Sabbagh, un autre docteur à Sciences Po, cette fois en science politique, qui a le plus clairement explicité les termes de la querelle en schématisant trois approches de la notion de racisme. Celui-ci peut d’abord être décrit comme une idéologie, consistant à séparer l’humanité en groupes ethniques distincts et à hiérarchiser ensuite ces groupes en affirmant que certains sont supérieurs à d’autres en vertu de critères précis.

C’est la façon dont de nombreux anthropologues, à l’instar de Claude Lévi-Strauss, ont appréhendé le problème du racisme ; l’intérêt étant que, si le racisme repose sur une idéologie erronée (on songe aux errements de la physiognomonie, pseudo-science qui a en partie contribué à l’essor scientifique du nazisme), il peut être combattu par la connaissance et l’instruction. Dans un second temps, le racisme a été décrit plus tard comme une gamme d’attitudes négatives constatées chez un groupe de population à l’égard d’un autre, dans une perspective utilisant notamment la psychologie sociale. Cette approche a le mérite de permettre de comprendre la stigmatisation et les phénomènes de rejet ou de haine entre deux communautés.

Enfin et plus récemment, le racisme n’est parfois plus perçu en sciences sociales que comme l’établissement d’un système de domination, qui conduit le groupe dominant à intérioriser sa supériorité sur le groupe dominé, et donc à ne plus être réellement conscient d’agir de façon raciste. Il n’existerait autrement dit de racisme que « systémique »… C’est ce qui fait dire, par exemple, au sociologue Éric Fassin que « le racisme anti-Blancs n’existe pas », car seules les personnes « racisées » (perçues comme non-blanches) font l’objet d’oppressions systématiques. « Je n’entends pas de discours politique anti-Blancs, je ne vois pas de discrimination à l’embauche ou au logement pour les Blancs, je ne vois pas de contrôle au faciès pour les Blancs. Donc les expériences sociales ne sont pas les mêmes pour tout le monde », déclarait-il par exemple à France Culture.

Militants afro-américains des années 1960

Selon cette typologie, le racisme anti-Blancs existe bien si l’on s’en tient aux deux premières façons de le définir, mais l’idée d’un racisme systémique, défendue aujourd’hui par les tenants d’une sociologie militante, exclut d’emblée la possibilité pour les Blancs d’être victimes de racisme.

Sauf que cette conception maximaliste n’est pas sans danger : d’une part, relève Daniel Sabbagh, elle peut décourager jusqu’aux plus farouches adversaires du racisme, qui se retrouvent par leur seule couleur de peau suspects, si ce n’est coupables. C’est ce discours que l’on entend dans les universités californiennes, où l’on demande aux étudiants blancs de réfléchir aux « privilèges » que leur confère leur « blanchité » – une injonction défendue jusqu’en France par l’universitaire Simon Grivet, par exemple, qui appelait dans les colonnes du Monde  à « mesurer la dimension postcoloniale de notre société » pour « mettre en lumière la persistance de discriminations inacceptables ». Le risque est encore de banaliser la notion de racisme : s’il innerve chaque dimension même inconsciente de la vie civique, si les institutions elles-mêmes sont racistes, si tout est raciste… alors plus rien ne l’est vraiment.

Cette idée d’un « racisme structurel » a été utilement critiquée par le philosophe Pierre-André Taguieff, qui montre comment cette invention forgée par les militants afro-américains des années 1960 vise en réalité à ne réfléchir au racisme que pour l’imputer exclusivement aux Blancs, l’antiracisme devenant, paradoxalement, une arme politique destinée à s’en prendre aux Blancs en tant que groupe constitué. Ce nouvel antiracisme participe non seulement à rétablir une analyse raciale des rapports sociaux mais justifie même la disqualification politique des Blancs, si ce n’est leur discrimination au nom des politiques d’« affirmative action » qui ont cimenté aux États-Unis le rejet, à travers le vote Trump, des dérives du wokisme…

Pour revenir à la question du racisme anti-Blancs, on voit finalement la tautologie : la seule façon d’en nier l’existence consiste à adopter une définition du racisme qui postule en réalité, à l’appui d’une lecture résolument postcoloniale des rapports sociaux en Occident, que le racisme ne peut qu’être une attitude commise par des Blancs à l’égard de personnes « racisées ». Il faudrait présupposer l’inexistence du racisme anti-Blancs pour démontrer qu’il ne revêt aucune réalité effective : c’est un raisonnement circulaire, et par conséquent très fragile. Mais ancré néanmoins dans le discours intellectuel, encore que les prises de position politiques évoquées plus haut prouvent que l’omerta sur cette forme de racisme commence à se fissurer. La justice a du reste déjà reconnu à plusieurs reprises l’existence d’une circonstance aggravante de racisme pour des faits commis à l’encontre d’une victime blanche, signe que les mentalités évoluent… timidement.   ■  PAUL SUGY

Paul Sugy

 

Categories France, Idées, Histoire, Culture & Civilisation, Patrimoine, Racines, Traditions
Post navigation
La réaction du RN à l’Assemblée : « Nous sommes en 1793 ». Juste retour obligé aux origines de la situation française d’aujourd’hui.
Radu Portocala : Depuis quelque temps, la France aspire à devenir « La Grande Roumanie ». Elle a réussi aujourd’hui en trafiquant la future élection présidentielle.

1 commentaire pour “Racisme anti-Blancs : histoire d’un déni alimenté par la pensée décoloniale”

  1. Grégoire Legrand
    mardi 1 avril 2025 at 21 h 49 min | Répondre

    Je rappelle que Paul Sugy est par ailleurs l’auteur d’un excellent petit essai, « L’extinction de l’homme », consacré à l’antispécisme.

Laisser un commentaire Annuler la réponse

L'association Je Suis Français est la seule destinataire de vos données personnelles qui ne sont en aucun cas transmises à des tiers sous quelque forme que ce soit.

Archives

Notre marque

Peinture par un jeune artiste Prix de Rome, offerte à l’U.R.P. pour le 7e centenaire de la mort de Saint-Louis [1970] © U.R.P. [Peut être reprise sur autorisation écrite.]

Prince Jean : « Le rôle politique, je l’ai »

« Le rôle politique, je l’ai sans avoir besoin d’être élu. C’est tout à fait dans le rôle d’un prince de pouvoir sortir un peu de cet échange partisan et de s’intéresser au bien commun, à l’intérêt général de la Cité. »

_____________________________________

Direction de Je Suis Français
Yves Boulon – Sylvie Gaud-Hueber – Jean Gugliotta – Jean-Louis Hueber – Paul Léonetti – Gérard Pol.         
_____________________________________

Ce quotidien a un coût. Son audience un prix. Aidez-nous ! Faites un don ! À partir de 5 €. Merci !

Faire un don ? Le plus simple, c’est PayPal. Dons en ligne – en toute sécurité. Utiliser le bouton PayPal ci-dessous

Sinon, par chèque. Ordre : Je Suis Français – Adresse postale : Je Suis Français, 50 rue Jean Mermoz, 13008 MARSEILLE

__________________________________

Rubriques Chroniqueurs

POLITIQUE
. Les Lundis de Louis-Joseph Delanglade. Contribution â l’expression de notre ligne politique [France & Étranger].
. En deux mots, par Gérard Pol. Réflexion sur l’actualité française et internationale.
. Idées et débats par Pierre de Meuse.
. Les chroniques moyen-orientales d’Antoine de Lacoste,
. Les analyses économiques de plusieurs spécialistes.
. Dans la presse et Sur la toile. Des réactions courtes aux articles, vidéos, audios, les plus marquants.
. Les GRANDS TEXTES politiques.
CULTURE
. Péroncel-Hugoz : Journal du Maroc et d’ailleurs [Inédit]. Autres contributions : Histoire, géographie, lectures et reportages.
. Les études de Rémi Hugues ; Histoire, sociologie politique, philo et actualité. Des séries originales et documentées.
. Patrimoine cinématographique et autres sujets  : les chroniques dominicales de Pierre Builly 
. Les éphémérides.
ANNONCES DES PRINCIPALES ACTIVITÉS
du monde royaliste. Presse et revues, réunions, conférences, colloques, manifestations, etc.
COMTE DE PARIS – FAMILLE DE FRANCE
. Messages, tribunes, activités, du Prince Jean, Comte de Paris. Les événements de la Famille de France. Et complément : les récits et choses vues de Francesca.
__________________________________

L’Histoire de France  jour après jour. Personnages célèbres, écrivains, savants, artistes, religieux, chefs militaires. Événements majeurs. Œuvres d’art, monuments et sites d’un héritage exceptionnel : le nôtre.

     _____________________________

CLIQUEZ SUR LES IMAGES    

14 JUIN – MIDI BLANC – QU’ON SE LE DISE !

_________________________________

Se renseigner – S’abonner

____________

S’abonner sur le site de Politique magazine : 

____________________________ 

Les principales activités royalistes annoncées ici. Revues, réunions, conférences, colloques, manifestations, etc. Image : © GAR


(Sur le site de l’Action Française)
_________________________________ 

Le site géostratégique d’Antone de Lacoste _________________________________ 

Fédération Royaliste Provençale
Fédération régionale de l’Action Française

BPM 777,  19 rue du Musée, 13001 MARSEILLE. Messagerie : urp@outlook.fr

(ATENTION : l’adresse 48 rue Sainte-Victoire, 13006 MARSEILLE, est supprimée). 
_______________________________

Livres à la une

Le dernier ouvrage de Jean-Paul Brighelli, – agrégé de Lettres, qui a enseigné pendant 45 ans :  « La fabrique du crétin – Vers l’apocalypse scolaire« , le tome 2 de son succès d’édition, déjà vendu à 150 000 exemplaires. Cliquez sur l’image.

_________

L’Action française est aujourd’hui le plus ancien et, dans sa continuelle vitalité, le plus constamment jeune des mouvements politiques, toutes tendances confondues. Elle se renouvelle à chaque génération, dans la permanence, sans cesse ravivée et adaptée, d’une doctrine, d’une vision, d’une action. Cliquez sur l’image.
__________________________________

JSF recommande à ses lecteurs d’adhérer à l’Action Française

Chers lcteurs, il ne suffit pas de nous lire. Si vous le souhaitez, si vous le pouvez, nous vous recommandons d’adhérer à l’Action Française, pour soutenir, renforcer, participer au mouvement royaliste. L’année commence, c’est le moment ! Cliquez sur l’image !   JSF
__________________________________

Bernard Lugan : Pour répondre aux « décoloniaux », aux islamo-gauchistes et aux terroristes de la repentancePrésentation – Table des matières – Commandes  [CLIQUER]

__________________________________

Livres recommandés…

Pierre de Meuse. Derniers ouvrages parus

 

 

 

 

 

Idées et doctrines de la Contre-Révolution, préface de Philippe Conrad.  DMM – 2019.
Le dogme de l’antiracisme, origine, développement et conséquences, préface de Bernard Lugan,  DMM – 2024.
Informations – Achats : Cliquez sur les images.
Annie Laurent : L’Islam. Pour s’informer sérieusement …

Pour en savoir plus sur cette indispensable étude, pour commander : ICI

__________________________________


Envois postaux : Je Suis Français, 50 rue Jean Mermoz, 13008 MARSEILLE 
Courriel : contact@jesuisfrancais.blog

Librairie de Flore

Cliquez sur l’image pour accéder aux produits de la Librairie de Flore ! Livres, revues, boutique …

L’incontournable ouvrage de Charles Maurras enfin disponible. 15,00€, 515 pages. En stock.

Lettre de JSF : S’abonner, c’est utile et c’est gratuit !




Service quotidien gratuit, déjà assuré le matin pour les milliers de lecteurs inscrits. Si ce n’est pas encore votre cas, inscrivez-vous dès maintenant pour recevoir la lettre de JSF au plus vite et régulièrement. Inscription simple ci-dessous.
Pour en savoir plus, vous pouvez consulter notre politique de confidentialité.

Vérifiez votre boite de réception ou votre répertoire d’indésirables pour confirmer votre abonnement.

Comte de Paris : 60 ans d’héritage et d’avenir

https://youtu.be/MEl5wncXQ0M

. Comte de Paris, Site Officiel
. Comte de Paris, Page Facebook 
. Politique Magazine & Revue Universelle
. Maurras.net
. Action Française – Le bien commun

                                    
Je Suis Français (JSF) est aussi sur Twitter/X
                 
Page associée

Commentaires récents

  • dimanche 15 Juin 19:24
    Marc Vergier sur La République va juger pour meurtre…
    “P. Builly me semble le plus réaliste. Déjà reconnaissons que les drogues sont, en fait, implicitement…”
  • dimanche 15 Juin 16:04
    JSF sur La fin serait-elle Proche ? Des…
    “A Bruno DE BOUILLANE Merci de votre commentaire. 1. Nous n’avons pas présenté Monique Plaza comme…”
  • dimanche 15 Juin 15:41
    JSF sur Il y a 5 ans, Jean…
    “Merci à Pierre Builly de ces souvenirs précieux qui ont le parfum des choses vécues personnellement…”
  • dimanche 15 Juin 14:11
    Pierre Builly sur La République va juger pour meurtre…
    “@Richard : pourquoi limiter la légalisation au cannabis ? Héroïne, cocaïne, crack et tuttis quanti… Je…”
  • dimanche 15 Juin 11:46
    Bruno DE BOUILLANE sur La fin serait-elle Proche ? Des…
    “quelle est la compétence particulière de cette « spécialiste des troubles du langage » quant à la guerre…”
  • dimanche 15 Juin 11:39
    Grégoire Legrand sur La République va juger pour meurtre…
    “Je vous l’ai dit : la méthode philippine. En Italie, Murat et Mussolini ont réussi, chacun…”
  • dimanche 15 Juin 07:09
    Richard sur La République va juger pour meurtre…
    “Si le trafic de cannabis venait à se transformer en commerce , commerce sur lequel l’État…”
  • dimanche 15 Juin 00:16
    Rémy Chieragatti sur La République va juger pour meurtre…
    “Bonjour, l’Histoire nous apprend que dans un autre domaine en politique « qui veut , peut » ..…”
  • samedi 14 Juin 23:52
    Pierre Builly sur La République va juger pour meurtre…
    “Certes, certes. Mais que peut-on proposer ? Pour moi – et avec un déchirement du coeur…”
  • samedi 14 Juin 22:31
    Grégoire Legrand sur La République va juger pour meurtre…
    “Je crains, cher Pierre, que vous ne contourniez le problème : si les réseaux criminels sont…”
  • samedi 14 Juin 18:16
    Fain sur Un texte de Jules Barbey d’Aurevilly,…
    “Il est où votre commentaire et le texte de Barbey qui l »a suscité. C’est trop fouillis,…”
  • samedi 14 Juin 14:20
    Pierre Builly sur La République va juger pour meurtre…
    “Précisément : les laisser tranquilles. Personne ne peut empêcher ce poison ; les États-Unis ont essayé…”

EXPLOREZ LES TRÉSORS DE NOTRE HISTOIRE

EXPLOREZ LES TRÉSORS DU CINÉMA…

____________________________________

Une collection de vidéos dont un grand nombre exclusives réalisées par l’Union Royaliste Provençale. © URP/JSF – Reproduction autorisée à condition de citer la source.

Chaîne YouTube Je Suis Français. Pour une plus large audience.  (Création récente)

_____________________________________

Péroncel-Hugoz dans JSF

Retrouvez ici..

Et aussi…

_______________________________

Appel aux lecteurs de Je Suis Français : Pour la sauvegarde du patrimoine matériel de l’Action Française !

Participez à l’opération nationale de sauvegarde du patrimoine historique de l’Action Française, lancée par le Secrétariat Général du Mouvement. Tous documents ou objets divers nous intéressent : photos, films, livres, journaux, correspondance, insignes, drapeaux etc. Ecrire à Michel Franceschetti : chetti133@sfr.fr .   

PEUT-ON SORTIR DE LA CRISE ? Une étude intégrale de Pierre Debray dans JSF

Une contribution magistrale à la réflexion historique, économique, sociale, politique et stratégique de l’école d’Action Française. Étude intégrale à la disposition des lecteurs de JSF, notamment étudiants, chercheurs et passionnés d’histoire et de science économiques.  ENTRÉE

Les créations de JSF : Séries, dossiers, études

 

Etudes, séries, dossiers regroupés pour être en permanence disponibles et directement consultables   © JSF – Peut être repris à condition de citer la source Pour y accéder, cliquez sur l’image.

A lire dans JSF : Le clivage du « nouveau monde » par Rémi Hugues.

Un mini-dossier en 6 parties. Analyses et propositions. Une manière d’appréhender la situation française réelle et ses évolutions afin de fixer nos positions. A lire, donc.  Suivre les liens.  JSF     I   II  III   IV   V   VI

Quatre livres fondamentaux de Charles Maurras réédités par B2M, Belle-de-Mai éditions

Enquête sur la monarchie. (Édition de 1925), 39 €, 836 p.

Le manifeste royaliste en ouverture du XXe siècle ! (Parution courant 1900). Maurras y pose la célèbre question : « Oui ou non, l’instauration d’une monarchie héréditaire, antiparlementaire traditionnelle et décentralisée est-elle de salut public ? » !   

L’Avenir de l’intelligence, 25 €, 244 p.

Une étude de l’histoire politique et intellectuelle du XVIe au XXe siècle, où Maurras à montre comment les intellectuels et artistes attachés à produire des œuvres de l’esprit sont passés « de l’autorité des princes de notre Sang sous celle des marchands d’Or », les immenses fortunes industrielles et bancaires qui limitent la liberté de l’esprit. Maurras en appelle à une alliance entre les intellectuels et le patriotisme des Français pour renverser cette mécanique.

Kiel et Tanger, 29 €, 428 p.

Maurras y constate la tragique infériorité du régime républicain en matière de politique internationale, spécialement face à la menace allemande de l’époque. Prévoyant la guerre à venir il conclut à la nécessité de remettre un roi à la tête du pays. Prolongeant le réalisme de la pratique capétienne des relations internationales, ancêtre de la pensée géostratégique française.

La Démocratie religieuse, 31 €, 620 p.

Parution en 1921, compilant trois textes préalablement écrits par Charles Maurras : Le Dilemme de Marc Sangnier (1906) – – La politique religieuse (1912) – – L’Action française et la religion catholique (1914). Cet ouvrage voit dans la démocratie une religion nouvelle qui vide le politique de sa puissance.

Et aussi…


Henri Massis, Georges Bernanos, Maurras et l’Action française, présentation de Gérard Pol, 18 €, 104 p.

Léon Bloy, Le salut par les juifs, avant-propos de Laurent James, 20 €, 156 p.

Commandes et renseignements : B2M, Belle-de-Mai éditions – commande.b2m_edition@laposte.net

* Frais de port inclus

  • Contact
  • Mentions Légales
  • Politique de Confidentialité
Je Suis Français © 2019 Tous droits réservés.

Site réalisé par Eva Giraud Web
Retour en haut de page