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Le 14 juin 2025, rencontres royalistes du Midi Blanc, une annonce de l’Action Française Provence, pour prendre date !

jeudi 1 mai 2025mercredi 30 avril 2025 sur JSF

Le 14 juin 2025 aura lieu en Provence la 3e édition du Midi Blanc, journée de rencontre des royalistes et  patriotes de nos régions.

Parce qu’il est grand temps de prendre la mesure des graves dangers que fait courir aujourd’hui à la France le Régime politique dans lequel nous évoluons et grand temps, aussi, d’envisager ce qu’il devrait être ou redevenir pour assurer l’avenir du Pays, joignez-vous à nous pour enquêter avec nous et les personnalités présentes, le 14 juin.

Ceci n’est qu’un 1er avis que JSF relaye pour vous permettre de prendre date et qui sera suivi ultérieurement et régulièrement de plusieurs autres points d’information avec tout le détail voulu : horaire et programme, personnalités présentes, contact pour renseignements et inscriptions. Etc.

À suivre, donc ! Prenez date !    ■

Le Midi Blanc restera annoncé en permanence en page d’accueil de JSF. (Colonne de gauche).

1ère publication le 9 avril 2025. 

Categories Activités, Presse, Mouvement, France
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Le Se Canto chanté par 500 choristes place du Capitole à Toulouse : chant de la terre, d’histoire, et des traditions des peuples du Midi.
L’image de Macron donnée ici par Emmanuel Todd touche bien plus juste que celle d’un surdoué de l’intelligence — une illusion dissipée depuis un bon moment.

25 commentaires pour “Le 14 juin 2025, rencontres royalistes du Midi Blanc, une annonce de l’Action Française Provence, pour prendre date !”

  1. NOEL Hugues
    mercredi 9 avril 2025 at 9 h 28 min | Répondre

    Certes, « il est grand temps… »! Ces rencontres royalistes à venir ne pourraient-elles pas inviter des participants clairement démocrates, s’ouvrir à des « politistes » et politiciens qui n’adhèrent pas à l’Action Française. Ce serait pratiquer un « oecuménisme » politique bien nécessaire…mais je n’imagine pas que les responsables de l’Action Française le désirent…

    • Grégoire Legrand
      mercredi 9 avril 2025 at 11 h 40 min | Répondre

      Ce serait bel et bon. Les royalistes peuvent et doivent dialoguer avec ceux qui ne le sont pas. Et les royalistes entre eux doivent parler entre eux ; après tout, ne sont-ils pas d’accord sur l’essentiel ?

  2. Bonnaves
    jeudi 10 avril 2025 at 8 h 49 min | Répondre

    Inviter des démocrates pour qu’ils changent d’orientation, oui, mais pas au prix d’une déformation de la pensée d’AF pour les attirer ! On ne va pas faire du Marine Le Pen 😏

    • Raulot
      jeudi 10 avril 2025 at 10 h 39 min | Répondre

      Pourquoi cette crainte de devoir édulcorer nos propres pensées si nous discutons avec certains qui pensent différemment ?
      1. Cette crainte peut s’interpréter comme un signe de faiblesse, de doute sur notre difficulté à tenir nos positions.
      2. Dans ses meilleurs moments,L’AF passait son temps à discuter avec tout le monde, et généralement, elle avait le dessus. Elle jouissait d’un ascendant intellectuel qui la mettait à l’abri de cette crainte !
      3. Le risque. « endogamique. » guette l’AF d aujourd’hui si elle ne fait pas l’effort de travailler dur pour être sérieuse et pouvoir discuter avec tout le monde sans crainte d’être infidèle à sa propre tradition.

      Dans mon petit coin, je crains quant à moi qu’elle ne fasse pas vraiment cet effort, se sclérose et se ratatine.
      Non à la sclérose et au sectarisme ! Et, au contraire, au travail, à l’étude, à la créativité , moins de formules toutes faites, pas de caporalisme, haut les cœurs !

  3. Euzennat de Coux
    jeudi 10 avril 2025 at 9 h 22 min | Répondre

    Nous nous en sortirons que si nous nous unissons d’abord. Une fois reinstalles il sera temps d’accomoder notre façon de voir les choses de façon à déterminer la bonne politique à suivre

  4. NOEL Hugues
    jeudi 10 avril 2025 at 9 h 48 min | Répondre

    Croire que le parti auquel j’adhère -ici: l’A.F.- est le seul à avoir raison, dialoguer avec « des démocrates pour qu’ils changent d’orientation », refuser à l’avance d’évoluer dans mon idéal politique « au prix d’une déformation de la pensée d’AF pour les attirer »: cette attitude empêche tout dialogue avec ceux qui ne pensent pas comme moi et interdit la possibilité du retour du Roi qui est l’objectif principal, sauf erreur, de l’AF.

  5. David Gattegno
    jeudi 10 avril 2025 at 11 h 39 min | Répondre

    Exaspérante assiduité au lupanar de la «tolérance» !
    Discuter c’est disPuter, c’est opposer argument contre argument, c’est combattre, un point c’est tout. On peut donc bien inviter qui on veut à débattre, pour peu que l’on se montre capable de bataille.
    Quant aux «démocrates», le moindre royaliste un tant soit peu digne de ce nom sait d’expérience que, aux jours d’aujourd’hui, ceux-là ne songent qu’à interdire de «débat» l’essentiel de ce qui ne souscrit pas à l’«esprit démocratique».
    Il y en a par-dessus la tête de devoir justifier que nous sommes à peu près présentables, et ce, par consentement accepté à la compromission avec l’atmosphère ambiante, laquelle ne fait que singer la «liberté de penser». Si nous consentons à ces singeries, nous risquons fort de remonter irrévocablement à ce diable de chaînon manquant darwinien, dont le démocratisme libéral voudrait tant que nous en arrivions à accepter de descendre nous aussi…
    Pour commencer, il convient de rappeler à NOEL Hugues que l’A.F. n’est pas un «parti» ; il me semble que cela devrait se savoir, depuis le temps ! Or et justement, n’étant pas un parti, l’A.F. ne saurait nullement et jamais pouvoir singer une attitude «partisane» – question d’Honneur.
    Il y a mille confusions, soigneusement et anarchiquement entretenues par certains esprits désorganisés, qui entendent interdire de substance ce qui est fait d’un autre bois que celui de l’aggloméré des préjugés : le plastique, et le seul plastique en toc, doit savoir démontrer l’excellence de sa ductilité aux évolutions législatives et, par conséquent, sociétalo-culturelles.
    Par conséquent et ne leur en déplaise : pas de garde-à-vous !
    ¡ À bas la République ! – et toute la République basse
    ¡Vive la Royauté ! – haute Royauté

  6. Grégoire Legrand
    jeudi 10 avril 2025 at 11 h 43 min | Répondre

    Je me souviens que le cher Michel Michel écrivait souvent ici que l’AF, c’était le parti des politiques. Nous sommes d’accord sur l’essentiel : le retour du roi. Le reste importe peu.
    Un régionaliste a le droit de réclamer et glorifier les libertés de sa province ; un catholique peut affirmer que c’est sa foi qui motive son combat ; un positiviste (s’il en reste) que la préservation de la société passe avant tout ; un syndicaliste que l’Etat doit protéger la classe ouvrière ; un libéral que le roi garantir les libertés individuelles ; et j’en passe.
    De même peut-on concevoir une monarchie parlementaire, à la mode britannique ; ou une monarchie « absolue » façon Louis XIII ou Louis XIV ; ou une monarchie « féodale » ; ou une monarchie fédérale, comme on la trouve au Canada ou en Australie.
    De même encore peut-on être un maurrassien de stricte observance ; ou préférer à Maurras des sources plus anciennes, contre-révolutionnaires (Maistre, Bonald, Burke, Donoso Cortès), comme l’a magistralement fait Pierre de Meuse ; ou encore s’inscrire dans la tradition libérale d’un Montesquieu ou d’un Tocqueville (tous deux royalistes, faut-il le rappeler) ; ou demander un « retour aux anciens » (Platon, Aristote, Cicéron, voire saint Thomas d’Aquin), comme le firent des auteurs aussi différents que Leo Strauss, Hannah Arendt ou Michel Villey (et, dans une moindre mesure, Pierre Manent) ; ou même se rattacher à la grande tradition des légistes français, comme Claude de Seyssel ou Jean Bodin.
    L’essentiel, c’est l’attachement au principe (la monarchie) et au prince (le comte de Paris). Le reste peut se discuter ; du moins le devrait-il.

  7. NOEL
    vendredi 11 avril 2025 at 16 h 16 min | Répondre

    Je reconnais devant David Cattegno que je ne suis même pas « le moindre royaliste digne de ce nom », que je fais preuve d’une « exaspérante assiduité au lupanar de la tolérance » (Oh, que ce mot de « lupanar » émoustille en moi de  » basses  » et charnelles émotions plus que le mot plus vulgaire, plus « peuple » sans doute, et que je n’ose écrire ici dans un JSF très cultivé) Mais Monsieur Cattegno a des lettres, je le reconnais bien volontiers…
    Fort bien. Reste que l’AF est un groupuscule -« pas un « parti » – (Merci à Monsieur Cattegno de m’avoir apporté cette précision) de personnes convaincues de la justesse de leur idéologie, qui refusent tout « consentement accepté à la compromission avec l’atmosphère ambiante » par une fidélité sans avenir, sans ouverture vers d’autres idéaux politiques.
    « Il nous manque un roi. la démocratie comporte toujours une forme d’incomplétude, car elle ne se suffit pas à elle-même. Il y a dans le processus démocratique et dans son fonctionnement un absent. Dans la politique française, cet absent est la figure du roi dont je pense fondamentalement que le peuple français n’a pas voulu la mort. La Terreur a creusé un vide émotionnel, imaginaire, collectif: le roi n’est plus là! » J’arrête ma citation d’Emmanuel Macron qui n’est pas en odeur de sainteté dans JSF C’est en chemise et la corde au cou que j’en demande humblement pardon aux responsables.
    Mais toute l’ardeur des militants de l’AF ne fera pas revenir le Roi!

    • Grégoire Legrand
      vendredi 11 avril 2025 at 23 h 25 min | Répondre

      Vous avez raison, cher Noel, les royalistes d’AF ne feront pas revenir le Roi à eux seuls. Ils doivent dialoguer et s’allier avec les autres (dont votre serviteur, qui n’est pas d’AF). Et aussi avec les autres. Un compromis royliste en somme.

    • David Gattegno
      samedi 12 avril 2025 at 10 h 10 min | Répondre

      La citation de Macron introduite par NOEL témoigne parfaitement du type des clients assidus de ce que j’ai appelé «lupanar de la tolérance»…

      La question de savoir quand, comment, pourra revenir le roi et, surtout, pourquoi le roi reviendra, touche à des considérations dont, d’une part, nous n’avons raisonnablement pas l’ombre d’une idée – car et entre autres, ce que l’on évoque ici «a ses raisons que la raison ignore» – et, d’autre part, à des éléments de politique dont nous ne pouvons pas beaucoup mesurer les tenants et les aboutissants.

      Il y a lieu de se rappeler que l’idée royale a été entretenue dans l’Espagne de Franco d’une manière telle qu’un roi est monté sur le trône, comme aboutissement de ce que l’on a appelé le «franquisme»…

      Les vieux d’la vieille se rappellent encore que l’on a pu croire fermement à ce que le général de Gaulle aurait eu en tête quelque chose correspondant à ce que Franco avait entrepris – on se rappellera opportunément que la dernière visite «protocolaire» du Général – quoique il n’eût plus été chef d’État, c’est en tant que tel qu’il fut reçu – le porta auprès du «Caudillo»…
      On a donc rapporté quelquefois que de Gaulle avait eu en tête d’imiter Franco pour rétablir le comte de Paris sur le trône de France.
      J’ai souvenir d’un Pierre Boutang (au début des années 1970) allant jusqu’à s’exclamer – publiquement, avec délice et s’esclaffant –, à la télévision, qu’il serait succulent que le suffrage universel portât le Prétendant à la tête de l’État…
      Pourrait-on alors envisager qu’un «politique» en vienne à briguer «la plus haute fonction» juste seulement pour rétablir le Royaume de France ?… Nous sommes en droit de l’espérer possible. Auquel cas stratégique, tous les moyens doivent nous sembler bons, dès lors qu’ils sont employés à une telle fin.
      On est même allé raconter, du côté de la Nouvelle action française (NAF, puis NAR), que François Mitterand aurait eu quelque chose d’équivalent en tête – certains y ont parfaitement cru, quoique c’eût été évidemment cuit bien avant qu’on l’ait éventé (ou inventé).
      Mais enfin, toutes ces tentatives (celle réelle de Franco comprise) ne sauraient probablement aboutir qu’au substitut de carpe et lapin d’une «monarchie constitutionnelle», telles celles dont l’Europe peut, ici ou là, donner une représentation théâtralisée pour le moins décevante…

      Nous connaissons ceux d’entre nous qui se réclament du «providentialisme» et comptent donc sur l’effet des desseins de la Providence pour rétablir ce qui fut détrôné… Je les ai beaucoup entendu moqués par les politiquement raisonnables. Bon, admettons qu’il soit de bon ton de les moquer ainsi… Cependant, force est de constater que – à ç’t’heure – les «raisonnables» n’ont guère su faire la démonstration d’une plus grande efficacit, ici, que les «illuminés», là…

      Sur quoi, on me permettra de ne pas prendre un billet d’entrée pour la maison close de la république péripatéticienne – par analogie sommaire, il me revient ici à la mémoire le titre du pseudo «don Juan» de Montherlant : «La mort qui fait le trottoir»…

  8. Paul Pontenuovvo
    lundi 14 avril 2025 at 11 h 10 min | Répondre

    Restaurer la monarchie en France — ou du moins tenter de le faire — serait un projet, à la fois politique, culturel et spirituel.
    Aujourd’hui, avant toute démarche politique, il faudrait restaurer dans l’esprit des Français l’idée qu’une monarchie n’est pas un retour en arrière barbare, mais un modèle d’avenir fondé sur la continuité, l’unité nationale et l’incarnation du bien commun au-dessus des partis.
    Pour cela il faudrait créer un courant intellectuel et populaire qui redonne envie de monarchie, en expliquant ses avantages pour la stabilité, la dignité nationale, la protection des libertés locales, etc.
    Le réalisme politique est indispensable. Il faudrait évidemment un contexte de crise majeure pour qu’une restauration devienne plausible. Les grandes restaurations historiques (1814, 1871-75 manquée) arrivent souvent après des catastrophes (guerres, effondrements).
    Faut-il dialoguer avec ceux qui ne sont pas royalistes ?
    Absolument oui, et pour plusieurs raisons :
    La France est une démocratie d’opinion : pour que la monarchie soit restaurée de façon stable, elle ne peut être imposée par une minorité ; elle doit être acceptée, ou au moins respectée par la majorité.
    La monarchie n’est pas une secte : elle se veut universelle, rassemblant les Français de tous bords. Louis XVI disait : « Je suis le roi de tous les Français », pas seulement de ceux qui étaient favorables à lui.
    Le dialogue enrichit : en dialoguant avec des républicains sincères, on comprend mieux leurs craintes, leurs espoirs, et on peut ajuster son discours pour montrer que la monarchie moderne n’est pas ennemie des libertés, mais au contraire leur gardienne.
    Eviter le piège de l’entre-soi : si le mouvement royaliste reste replié sur lui-même, il ne sera jamais qu’une curiosité historique.

  9. Pierre Builly
    lundi 14 avril 2025 at 20 h 20 min | Répondre

    Que veulent dire ces ergotages autour de délicatesses périmées ? il y a – au bas mot, dans la France d’aujourd’hui – 3000 islamistes déterminés à tuer, à faire exploser, à ravager notre pays, selon la DGSI – avec un substrat ethnique, culturel, sociologique cent fois supérieur et nous sommes en train de nous interroger sur le plumage de la colombe qui apportera la Sainte Huile à Reims !!!

    Nous sommes ridicules, bien souvent – quoique intelligents -. Mais nous ne vivons plus dans le même monde ; il y e, a encore chez nous qui songent à l’interdiction de l’avortement, et même de vrais fondus, à l’abolition du divorce…

    Nous sommes cernés ; par tous les moyens, nous en sortir…

    • Grégoire Legrand
      mardi 15 avril 2025 at 11 h 44 min | Répondre

      L’un n’empêche pas l’autre. L’islamisme nous menace (et il n’est d’ailleurs pas le seul, le réchauffement climatique, l’immigration de masse, le vieillissement, la pensée « décoloniale » sont d’autres dangers, tout aussi redoutables), mais est-ce une raison pour abandonner notre combat ? D’autant que si l’on veut un roi, c’est à titre de condition nécessaire, mais non suffisante, pour résoudre les problèmes énumérés ci-dessus, dont celui que vous évoquez.

  10. Paul Pontenuovvo
    mardi 15 avril 2025 at 7 h 28 min | Répondre

    Mon cher Pierre, ton texte exprime une inquiétude profonde, voire une angoisse, face à des menaces bien réelles. Oui, le terrorisme islamiste existe et doit être combattu avec lucidité et détermination. Personne ne conteste cela. Mais faut-il pour autant tout relativiser, tout jeter par-dessus bord — jusqu’aux symboles ou aux débats, fussent-ils dérisoires en apparence ?

    Opposer la menace sécuritaire à la culture, à l’histoire, aux droits civiques ou aux débats de société ne nous rendra pas plus forts. Ce n’est pas parce que nous sommes attaqués qu’il faut renoncer à ce qui nous distingue de ceux qui nous attaquent : notre attachement aux libertés, à la nuance, à l’humanisme.

    Oui, nous sommes parfois ridicules dans nos obsessions ou dans certains débats anecdotiques. Mais c’est aussi la marque d’une société libre : celle où l’on peut discuter du « plumage de la colombe » sans avoir à se justifier par la guerre. La gravité n’empêche pas la légèreté ; l’urgence n’annule pas la pensée.

    Nous sommes cernés, peut-être. Mais c’est justement en gardant la tête froide, les yeux ouverts et le cœur lucide que nous pouvons nous en sortir.

  11. Henri
    mardi 15 avril 2025 at 12 h 17 min | Répondre

    Être royaliste en France, c’est nous retrouver au cœur de notre liberté- celle dont parle Berdiaev- refuser un régime qui l’annihile – celui du Grand Inquisiteur- qui s’idolâtre et nous avec. Cela n’exclue pas un regard critique sur les dérives sociétales qui s’épaulent les unes sur les autres par glissement successifs et organisés , la dernière en date programmant notre mort au lieu de la vivre. Si nous sommes farouchement attachés à l’unité de notre pays, incarnée par le Roi transcendant nos querelles, et nos sensibilités, cela ne nous s’interdit pas de lutter contre le nihilisme ambiant ayant pignon sur rue avec notre président et son mensonge. Ce qui est aussi dénoncé par d’autres sensibilités enracinées dans notre histoire .( je pense à Michel Onfray ou Houellebecq ) Avant de connaître d’autres épreuves, comme nous avertit Hilaire, dois- je rejoindre David, . et proclamer avec lui  » Vive Dieu et le Roi »?

  12. Henri
    mardi 15 avril 2025 at 12 h 23 min | Répondre

    Cela n’exclut pas . Désolé.

  13. Pierre Builly
    mardi 15 avril 2025 at 14 h 13 min | Répondre

    J’ai dû mal m’exprimer : je souhaitais dire que les conditions posées par certains pour une instauration d’une monarchie me paraissent ridicules. Déjà que nous ayons un chef ; qu’ensuite, en fonction dévolutions sociétales dont personne n’est maître – surtout pas nous – une société structurée renaisse, ce sera bien à perpective séculaire.

    Beaucoup d’entre nous aimeraient revenir à la, paix dès la société des années 50, où les couples étaient stables, où la pratique religieuse était forte, où le wokisme n’était pas même une idée.

    Ouvrons les yeux : la famille est éparpillée, les enfants – quand ils naissent ! – surviennent dans des couples non mariés, souvent « recomposés »,le voile (minimal) s’est imposé, la lecture ne se pratique plus.
    Par ailleurs les campagnes sont vides, les médecins ne voudraient pour rien au monde habiter dans les cambrousses désertées ; dans les villes les vélos l’empotent sur la voiture, une des plus belles inventions du denier siècle.

    Sur les plages et dans les rues la pudibonderie fait son grand retour. On enquiquine les fumeurs (je n’en suis plus), les chasseurs (je n’en suis pas et d’ailleurs la nature m’est insupportable), on proscrit les amateurs de viande (j’en fais 14 repas par semaine)… T anti d’autres choses…

    Alors que l’on se demande si le Roi sera rond, carré ou ovale, s’il s’appuiera sur la Tradition, la Décentralisation, la Régionalisation, nous devrions nous en taper le coquillart.

    Qu’il y ait un Chef ; un Hugues Capet (qui prenne l’initiative de placer sous fils en n° 2) ; on verra après. Si ce sont les Capet (et le bave prince Jean et son Gastounet majuscule), c’est très bien, c’est plus conforme à notre Histoire.

    Si ce sont les Bonaparte, les Dupont, les Zemmour, c’est très bien aussi.

    J’aimerais bien que ce soient les Kim (de Corée du Nord) ; en voilà qui ont su régler l’affaire habilement ; ils en sont au numéro 3 ; ça crée une dynastie une continuité.On voit ensuite avec l’air du temps, si on serre ou non la vis sociétales (divorce, avortement, laïcité).

    Ce dont nous avons besoin. Le reste est de la blague.

    • Paul Pontenuovvo
      mardi 15 avril 2025 at 17 h 54 min | Répondre

      Mon cher Pierre, ton constat est sans doute provocateur, mais il traduit une angoisse réelle : celle d’un monde qui évolue à grande vitesse, souvent en dissonance avec les repères traditionnels. La tentation d’un retour à l’ordre, incarné par une figure forte – monarchique ou autre – surgit souvent dans les périodes de désorientation.
      Cependant, la nostalgie des années 50, si compréhensible soit-elle pour ceux qui y voient un âge d’or de stabilité, oublie parfois les manques d’alors. Ce n’est pas nécessairement un modèle à reproduire, mais peut-être une boussole pour redonner du sens à des institutions aujourd’hui flottantes.
      Quant au besoin de chef : il dit quelque chose de profond sur notre époque. Pas nécessairement d’un roi, mais d’un repère, d’une cohérence, d’un récit collectif. Peut-être qu’il ne s’agit pas tant de savoir s’il sera Capétien ou autre, mais s’il sera capable d’unir ce que notre société semble fragmenter : la culture, la transmission, le territoire, et le destin commun.
      La modernité ne condamne pas l’héritage. Encore faut-il qu’on ait envie de l’assumer, sans caricature ni reniement.

  14. David Gattegno
    mardi 15 avril 2025 at 17 h 20 min | Répondre

    Le plus fallacieuse «monarchie» que l’on pourrait imaginer serait du genre louis-philipparde à la XXIe siècle… Faudrait-il néanmoins cracher d’ssus ?… Oui, sans doute, cela devrait s’imposer, cependant, je ne le ferai certainement pas… Pour ainsi me ranger près de Pierre Builly, cela tient à ce que «… qu’on n’a pas l’choix»! Qu’on n’l’a pas même un brin… Du reste, il a existé un général de Gaulle qui a singé constitutionnellement ce qu’il a pu comme il pouvait ; à l’arrivée, cela n’a pas été très convaincant et, de jour en jour, la conviction emportée quelquefois pour quelques-uns s’étiole de plus en plus lamentablement.
    Là où je ne partage pas les hypothèses posées par Pierre Builly, c’est quand il met à peu près tout le monde dans le sac du hasard (qui est le nom donné à la Providence par les psychotiques), à commencer par Dupont – qui est surtout du-con, comme chacun sait –, le Buonaparte, qui m’est odieux tout autant que l’autre banquier actuel «qui s’y croit», Zemmour, encore, qui ne vaut pas un pet d’lapin comme souverain, quand même aurait-il un morceau de talent journalistique, qui n’en ferait donc, au fond, qu’un diariste, bien loin de valoir une millilettre de Léautaud ou un millionème de Jünger.
    Entre les personnes actuelles qui me semblent capables de quelque chose, ma plus haute préférence va à Marion Maréchal ; sensiblement, à Marine, aussi : elle a fait preuve de grand courage et, probablement, d’un bon sens stratégique. Je veux donc dire à Pierre Builly : Non ! non et non, pas n’importe qui, lequel ne conduirait qu’à n’importe quoi.
    Nous sommes dans une situation tellement désespérée que l’on n’est plus en droit de n’espérer que l’inespéré ; d’où, le droit connexe des plus grandes exigences doctrinales à promouvoir, les plus radicales…

  15. Pierre Builly
    mardi 15 avril 2025 at 19 h 04 min | Répondre

    Où voyez-vous, les amis, que je spéculais sur les 10 ans à venir ? A l’âge où peut-être un retour du Pouvoir s’imposera (s’il s’impose !) la belle Marion sera largement ménopausée, le nom de Napoléon ne sera plus enseigné dans les écoles… s’il y a encore des écoles.

    Je crois que nous ne nous rendons pas compte de l’ampleur de la catastrophe.

    Un petit exemple : je suis catéchiste depuis 13 ans à Saint Médard, toujours avec des CM2, qui sont à la veille d’entrer au collège ; dans une paroisse assez bourgeoise et des enfants dont une bonne partie est issue d’écoles privées.

    En 13 ans – pour la même classe d’âge donc – je vois dégringoler d’année en année la capacité de lecture, la richesse du vocabulaire, les connaissances en histoire et en géographie. LKe gouffre est devant nous : ces enfants de 10, 11 aniseront, dans 15 ans, de jeunes adultes qui commenceront à se professionnaliser et qui ne sauront rien du tout.

    • Richard
      mercredi 16 avril 2025 at 7 h 13 min | Répondre

      C’est un peu hors sujet, mais sans être « americanophile », loin de là, les États-Unis en plein délire wokiste ont pu élire un Président avec un vice président (dont il est à espérer qu’il pourra lui succéder), les EU, donc entreprennent une sérieuse correction, et comment ? Pas avec des modérés Bon chic bon genre comme l’on prise à Droite, en France mais avec des « brutes » (comme l’Amérique du Nord sait en produire) C’est ce dont on aurait besoin ici au point où nous en sommes arrivés et surtout avec ce que nous avons en face.

      Bien entendu, en France l’on accorde une grande importance à la culture, et l’on peut à juste titre noter la baisse de niveau, y compris venant du Privé (comme si tous les établissements privés recevaient forcément des « lumières »)
      Les milieux du peuple, pour ce qui est dans la façon de s’exprimer ont plutôt l’avantage de la clarté dans l’expression, en bon français, ce qu’il est permis de constater lorsque l’on est amené à parler avec un platrier peintre où un plombier par exemple .

  16. Pierre Builly
    mercredi 16 avril 2025 at 12 h 57 min | Répondre

    @Richard : Vous devez virez en province ! Il y a bien longtemps, belle lurette que dans le région parisienne on ne trouve plus aux artisan qui ne vienne d’ailleurs…
    Fort compétents au demeurant …

  17. NOEL
    jeudi 17 avril 2025 at 16 h 08 min | Répondre

    Je relève la quantité et la qualité des réflexions ci-dessus. Leurs auteurs ne sont pas tous idéologiquement fermés….La question fondamentale du retour du Roi, pratiquement, raisonnablement: invraisemblable et pourtant nécessaire se pose: Emmanuel Macron est le politicien qui l’a le mieux exprimée.
    Que faire et comment faire pour qu’elle soit posée dans les partis politiques démocratiques? Car, en démocratie, il faut que les élus se la posent dans les réunions, les tables rondes, les conférences, les moyens audio-visuels.
    Le Roi, pour unir les citoyens français ne devra pas être « un chef » – en régime démocratique, le pouvoir exécutif est exercé par les élus- mais le premier Serviteur de son peuple et pour unir le présent à notre passé, il devra être le descendant légitime de notre dynastie historique. Sa fonction sera essentiellement symbolique, elle servira de « signe de reconnaissance » , elle permettra de réunir les français si divisés. Et ce sera la seule fonction officielle qui pourra le faire.. . Quel grand respect ce Roi- Serviteur ne méritera t-il pas?

  18. David Gattegno
    vendredi 18 avril 2025 at 10 h 28 min | Répondre

    En effet, comme dit NOEL, «le Roi ne devra pas être “un chef”» – dans le sens vulgaire actuel de celui qui serait fait pour «cheffer» –, mais pour une raison rigoureusement contraire à celle qu’il semble vouloir greffer sur un «régime démocratique» ou «le pouvoir exécutif est exercé par les élus» – avec la précision, tout de même, que «chef» signifie proprement TÊTE et que c’est le seul sens qu’il convient de retenir au sens politique de ce terme…
    Dans les démocraties modernes, ces fameux et fumeux «élus» – dont toute conscience politique diminuée aime à se régaler la bonne conscience – ne peuvent jamais imaginer être «au service» de quoi que ce soit d’autre que de leurs opinions (qui leur servent de parodiques principes), camouflées idéologiquement sous de fallacieux «idéaux» bientôt qualifiés d’irréfutablement «scientifiques» à partir d’un certain temps de «virus couronné» (comme par un fait «allégorique» exprès).
    Une réelle «démocratie» désigne (par élection directe ou indirecte) une espèce de «tyran» (c’est ainsi que cela s’appelait raisonnablement dans l’Antiquité) ; celui-ci est alors comptable – SUR SA VIE ! – de la réussite de ce pourquoi il a été placé momentanément à la tête de l’État. Toute autre référence prétendue démocratique n’est qu’accommodement et/ou sophisme introduits dans un «sens de l’Histoire» fourvoyé. Et, dans le débat sur la question de la plus ou moins grande légitimité de l’affaire, l’adverbe d’importance est «momentanément».

    Pour préciser les choses que NOEL formule assez inconsidérément, lorsqu’il parle d’une fonction royale «essentiellement symbolique», il déclare naïvement le contraire rigoureux de ce qu’il s’imagine dire ; en effet, un SYMBOLE est spécifiquement ce que l’étymologie et l’Histoire nous enseigne, à savoir : premier aspect, ce qui RÉUNIT (étymologie, d’après “sumbollein”), et ce, par reconstitution de ce qui a été originellement partagé ; second aspect, enseigné par l’Histoire, qui rapporte que l’on dénommait «symbole» le bâton qui avait été tronqué en deux, afin de pouvoir être réuni ensuite, comme gage de la bonne qualité intègre de ce que le SYMBOLE représentait.
    Il s’ensuit que le symbole est l’objet même de la plus sure réalité de ce qu’il représente. Il est nécessaire d’aller plus loin encore dans la précision de la chose ; en effet, dans la science (très exacte) appelé «symbolisme», le symbole consiste en un objet quelconque de la réalité dont l’emploi et/ou la fonction exposent en langage humain (existentiel) une donnée non humaine, «sur-humaine» et, par conséquent, essentielle. Si bien que, pour peu que l’on observe la fonction royale, il y a nécessité d’en considérer la qualité réelle, ce qui est proprement, donc, la qualité du Pouvoir exercé et accompli dans la durée, car l’exercice du pouvoir royal (qui se trouve être originellement guerrier et judiciaire) se trouve en outre SYMBOLISER une opération divine. Si bien que quelques notions vaguement survivantes dans la conscience abrutie de notre contemporain peuvent apparaître sous un jour assez sidérant de clarté : par exemple la «transparence» (pour employer le vocabulaire de l’abrutissement politique), voire la «publicité», de la vie domestique du roi signifie expressément que les opérations de la divinité sont essentiellement «transparentes», pour peu que nos yeux consentent à observer purement et simplement – innocemment ! – ; quant à l’idée du Roi «au service» de son peuple, voilà sans doute ce à quoi notre malheureuse «conscience rationnelle» sera la plus rétive, car cela pourrait vouloir dire que Dieu est serviteur !… Pas simple à admettre ; et pourtant, Jésus a tâché d’en donner une assez furieuse impression… Cependant, ce n’est évidemment pas le résumé de «tout»… Par un tour plaisant, une «légende» nous apprend que lorsque Diogène figura parmi les prisonniers de je ne sais plus quel vainqueur d’Athènes et fut mis à l’encan comme esclave, un acquéreur lui posa cette question : — «Que sais-tu faire?» — «Commander», répondit Diogène. L’acquéreur s’empressa d’acheter l’esclave, dont il fit le précepteur de ses enfants.
    Pour s’amuser disons donc que le Roi est l’esclave qui n’a pour seule fonction que celle de commander.
    Par ailleurs, le «respect» ne se mérite absolument pas ; il s’impose ! Qui ne respecte pas ce qui s’impose se situe en-deçà de l’espèce humaine, ce qui, pour rester dans le même ordre d’idées, correspond au contraire de l’«union», au contraire du symbole, c’est-à-dire, étymologiquement, au diviseur («diabolos») et, historiquement, à la trompeuse majesté du Diable.
    En effet, donc, «signe de reconnaissance» au bout des deux routes suivies par chacun des détenteurs des deux moitiés du bâton, c’est-à-dire gage de la RÉALITÉ de la réintégration à l’Ordre cosmique, et non vague sentimentalisme et autre décorum de plus ou moins mauvais goût.
    Lorsque NOEL dit «symbole», il entend le mot sous les acceptions de l’allégorie ou de la métaphore. Or, la métaphore consiste à employer un mot pour un autre, alors que le symbole emploie un SIGNE effectif permettant de réaliser pleinement ce qu’aucun mot ne saurait dire.

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Un mini-dossier en 6 parties. Analyses et propositions. Une manière d’appréhender la situation française réelle et ses évolutions afin de fixer nos positions. A lire, donc.  Suivre les liens.  JSF     I   II  III   IV   V   VI

Quatre livres fondamentaux de Charles Maurras réédités par B2M, Belle-de-Mai éditions

Enquête sur la monarchie. (Édition de 1925), 39 €, 836 p.

Le manifeste royaliste en ouverture du XXe siècle ! (Parution courant 1900). Maurras y pose la célèbre question : « Oui ou non, l’instauration d’une monarchie héréditaire, antiparlementaire traditionnelle et décentralisée est-elle de salut public ? » !   

L’Avenir de l’intelligence, 25 €, 244 p.

Une étude de l’histoire politique et intellectuelle du XVIe au XXe siècle, où Maurras à montre comment les intellectuels et artistes attachés à produire des œuvres de l’esprit sont passés « de l’autorité des princes de notre Sang sous celle des marchands d’Or », les immenses fortunes industrielles et bancaires qui limitent la liberté de l’esprit. Maurras en appelle à une alliance entre les intellectuels et le patriotisme des Français pour renverser cette mécanique.

Kiel et Tanger, 29 €, 428 p.

Maurras y constate la tragique infériorité du régime républicain en matière de politique internationale, spécialement face à la menace allemande de l’époque. Prévoyant la guerre à venir il conclut à la nécessité de remettre un roi à la tête du pays. Prolongeant le réalisme de la pratique capétienne des relations internationales, ancêtre de la pensée géostratégique française.

La Démocratie religieuse, 31 €, 620 p.

Parution en 1921, compilant trois textes préalablement écrits par Charles Maurras : Le Dilemme de Marc Sangnier (1906) – – La politique religieuse (1912) – – L’Action française et la religion catholique (1914). Cet ouvrage voit dans la démocratie une religion nouvelle qui vide le politique de sa puissance.

Et aussi…


Henri Massis, Georges Bernanos, Maurras et l’Action française, présentation de Gérard Pol, 18 €, 104 p.

Léon Bloy, Le salut par les juifs, avant-propos de Laurent James, 20 €, 156 p.

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