VIDÉO – 31 min.
Xavier Raufer, criminologue, directeur de collection au CNRS. Auteur de nombreux ouvrages consacrés à la criminalité et au terrorisme..
« Tout adulte ayant la responsabilité d’un mineur et le mettant en danger physique ou moral encourt 3 ans de prison et 20 000 € d’amende. Qui a déjà été condamné à ça en France ? »
@Xavier_Raufer pointe l’impunité des parents des émeutiers mineurs qui ont saccagé Paris après le match. À partager largement !
3 juin 2025.
Certes, certes, appliquer le Code pénal et mettre les racailles en prison pour de longues peines…
Dans quelles prisons, au fait ? Celles qu’on ne construit pas non seulement parce que c’est cher mais parce que dès qu’il y a un projet, tous les « élus locaux » otages de leurs électeurs (c’est-à-dire les habitants) hurlent, protestent, manifestent, etc.
Tant que les pouvoirs locaux seront exorbitants, tant que l’État n’imposera pas son talon de fer sur les communes, on ne pourra rien à rien…
On aurait je crois assez de places de prison si le talon d’acier de l’Etat était capable de renvoyer chez eux les délinquants étrangers. (En plus, les loger et les nourrir ça suffit !)
Le talon d’acier de l’Etat ? C’est ce qui devrait être mais ce n’est plus ce qui est ! Quand on voit comment sont traités ses policiers ! Celui qui a supprimé cette petite racaille de Nahel a croupi des mois en prison pour que la rue arabe ne bouge pas trop. Et il est maintenant inculpé de meurtre ! Peut-être condamné ! Et France Inter se régale de répéter en boucle : « le policier qui a tué Nahël » !!!
La puissance de l’État, d’accord. Ça a été. C’est fini, cuit, faut pas rêver.
Je crains que, même si tous les condamnés étrangers étaient renvoyés, la jauge actuelle des places de prison ne suffise pas : parce qu’il serait nécessaire de faire entrer beaucoup, beaucoup de monde, Français de souche et Français de papier. La dégradation des moeurs est telle qu’il ne faut pas se faire d’illusions : il y aura de plus en plus de crimes, de délits et ce qu’on appelle, par euphémisme « incivilités ».
J’appelle un État fort et même assez brutal : désormais, il faut tirer.
On est d’accord.