« Zemmour a raison : ce sont des Français de papier ! »
4 juin 2025
Lundi 2 juin, Erik Tregner participe à « 100% politique » sur CNews pour parler des émeutes à Paris après la victoire du PSG en Ligue des champions. Des « supporters », majoritairement des quartiers, ont semé le chaos sur les Champs-Élysées. Débordées, les forces de l’ordre ont peiné à contenir la situation. Bruno Retailleau, ministre de l’Intérieur, a qualifié ces individus de « barbares », transformant une nuit de fête en cauchemar.
Je les appelle « les hexagonaux » ce ne sont pas des Français mais ils aspirent à prendre notre place et pour ça ils démolissent le pays pour gagner les élections qui seront bientôt un combat entre eux et nous..face à face selon la prédiction célèbre.
Nous assistons à des prodromes de guerre civile , laquelle ne manquera pas un jour d’éclater. On ne fait pas vivre deux peuples aux moeurs incompatibles sur un même sol. Le « vivre-ensemble » nous en voyons les effets chaque jour. C’est le « nouveau peuple », la « France créolisée » vantés par Mélenchon. Le wokisme et l’extrême-gauche entretiennent la haine de la France et des français chez ces allogènes. Nous paierons cher un jour quarante ans d’invasion migratoire et de lâcheté et de complicité de la droite comme de la gauche. N’oublions pas que l’immigration de peuplement, c’est Giscard avec le regroupement familial. Dans certains quartiers les français ( et il ne suffit pas d’avoir un bout de papier appelé carte d’identité pour être français) sont minoritaires et pas à la fête comme peuvent l’expérimenter jour après jour les pauvres petits « gaulois » dans les collèges où 75% de la population scolaire est allogène.
Mais non il n’y aura pas de guerre civile ! Tout au moins à perspective humaine, c’est-à-dire au moins 30 ans !
Pour qu’il y ait « guerre civile » il faut qu’il y ait deux armées face à face, chacune dotée d’une force de feu similaire, de troupes, de commandements, d’armes de haute capacité. La guerre d’Espagne est le modèle parfait ; la prise d pouvoir par les Bolcheviks aussi, d’une certaine façon ; mais en rien la révolte spartakiste en Allemagne en 1919 ou la Commune française de 1871, l’une et l’autre facilement écrasées lorsque l’État s’est résolu à le faire.
Ce qu’il peut y avoir, ce sont les révoltes de banlieue ; jusqu’à quel point les forces armées ne tireront-elles pas ? C’est là le seul problème. Osera-t-on enfin faire entrer les troupes dans les quartiers, les avions bombarder, les canons César tirer, les troupes d’assaut tirer ?
Je crains que non ; je ne vois pas de guerre civile mais, au pire un affaissement de l’État qui laissera place à une douce langueur musulmane (c’est « Soumission » de Michel Houellebecq) qui – soit dit en passant – se débarrassera vite des « idiots utiles » du wokisme, « Insoumis » et autres. Au mieux à une vraie révolte française de « gilets jaunes » ou de « gueux » (mais dirigée par qui ?).
Cela étant je ne vois pas comment on pourra ne pas donner son indépendance à la Seine Saint Denis pourrie jusqu’à Los. On pourra toujours négocier pour une extra-territorialité de la cathédrale et de la Maison d’Éducation de la Légion d’Honneur…
Vous avez raison, il ne s’agira pas de guerre civile, cette dernière se déroulant entre deux factions d’un même peuple, mais il y aura une guerre entre les français (pas ceux de papiers) et les allogènes chez lesquels la haine de la France est entretenue par la mouvance islamiste, les gauchistes et les wokes.
Mais ce ne sera pas une guerre non plus, comme je crois l’avoir expliqué.
Il pourrait y avoir, d’un côté, l’Armée française, la police, la gendarmerie, lourdement armés de matériels lourds, propres aux anéantissements de masse. De l’autre des bandes dirigées par des meneurs de rencontre qui ne connaissent rien à l’art de la guerre, dotés de kalachnikovs perfectionnées mais tout de même bien sommaires devant des chars Leclerc et des canons César.
La seule question est la suivante : osera-t-on bombarder la moitié de la Seine Saint Denis, du Val de Marne, quelques autres villes périphériques, au prix d’importants dommages collatéraux ?
Les États-Unis ne se sont pas gênés en 1944…