
Chronique de l’ensauvagement par temps de canicule

Cette chronique de Dominique Labarrière est parue hier (5.07) dans Causeur. Nous n’y ajouterons pas de commentaire. La charge de l’auteur face à la situation où nous sommes suffit amplement à discréditer les hommes du Régime et, décidément, le Régime lui-même. JSF

« La bêtise, la haine et en face, quoi ? Rien ou si peu. Un président de pacotille, un Premier ministre qui dort debout, des ministres de l’Intérieur et de la Justice réduits au ministère de la parole, congelés en une impuissance glaçante.«
À Saint-Just en Chaussée (60), l’influenceuse arabo-musulmane raciste s’en prend à la boulangerie. À Paris, Rima Hassan n’aime pas les « sionistes » – des agents immobiliers aussi haineux qu’elle le lui rendent bien dans le 10e arrondissement. Pendant ce temps, les jeunes deviennent incontrôlables dans les parcs aquatiques.
Elle voulait un sandwich au thon, il était au poulet. Le drame absolu ! La catastrophe des catastrophes. Elle exigeait qu’on le lui change, rapport à sa religion et à ses tabous alimentaires, n’est-ce pas.
La scène se passe dans une boulangerie de France. Non halal, précisons-le. Il y a encore en France des débits d’alimentation non totalement halalisés. Comment est-ce possible ? C’est ce que la jeune femme au sandwich ne peut probablement pas accepter. Devant le refus des commerçants d’accéder à son exigence – on ignore sur quel ton le thon aura été réclamé, encore qu’on puisse le deviner au vu de celui qui a été employé par la suite – la voilà qui se rue sur TikTok, cette chambre d’écho de la haine et de la bêtise (voir vidéo en bas de page). « Je vais dire quelque chose de raciste », tient-elle à préciser, au cas où on imputerait sa démarche à la simple sottise. Non, elle tient à ce qu’on n’ignore pas qu’elle est bien consciente de la connotation raciste des mots qu’elle va lâcher. « C’est toujours comme ça dans les boulangeries de blancs. » Et de nous exposer que, ailleurs, là où une échoppe est tenue par un « rebeu » (sic), ça ne se serait pas passé comme ça, qu’elle aurait eu droit non seulement à l’échange mais aussi à de plates excuses. Du genre, ma sœur, ceci, cela, et patati et patata.
Face à face
Un conseil à cette jeune personne dont on sait à présent qu’un de ses passe-temps est de nous cracher à la gueule, à nous autres Français de France, sur les réseaux dits sociaux (Il faut bien qu’une jeunesse à l’utilité sociale des plus incertaines trouve à s’occuper). Oui, un conseil tout de même à cette pétulante croisée de l’anti-France et du racisme anti blanc : pour ne pas avoir à subir les boulangeries et autres commerces de blancs, aller planter ses pénates à Ouagadougou, Alger, Téhéran, Islamabad ou Kaboul serait un excellent moyen. TikTok étant mis en alerte, c’est le déferlement de haine, de menaces habituelles qui s’abat sur les commerçants de la boulangerie. Messages de soutien, aussi, heureusement. Deux camps, donc, s’affrontent. Une sorte d’esquisse de guerre civile sur fond de sandwich au poulet. On croit rêver ! Ah, la belle France d’aujourd’hui…
Rima Hassan n’aime pas les « sionistes » qui le lui rendent bien
Mêmes réjouissances avec la star des médias de ces temps-ci Rima Hassan, toute surprise de se voir invectivée, assez rudement ma foi, par des personnels d’une agence immobilière Orpi quelque peu horripilés de son antisémitisme maquillé en antisionisme, de son soutien exalté au projet palestinien d’éradiquer l’État d’Israël, car dans ce que défend l’intéressée, c’est évidemment cela qui est au programme. Là, dessus, bien entendu, l’enseigne Orpi devient la cible des aimables contingents embrigadés sous la bannière du keffieh de la dame. On vandalise, on incendie. On fait payer. Il faut que le blanc paie. Paie, quoi, tout. La colonisation, la décolonisation, l’esclavage et son abolition, le tout et son contraire. Là-dessus, peut-être un peu gênée tout de même aux entournures, Mme Hassan tente d’expliquer qu’un de ces incendies serait le fait de l’intelligence artificielle. La bêtise en majesté, vous dis-je ! (Encore un truc de blanc, ça, l’intelligence artificielle, non?)
La bêtise, la haine et en face, quoi ? Rien ou si peu. Un président de pacotille, un Premier ministre qui dort debout, des ministres de l’Intérieur et de la Justice réduits au ministère de la parole, congelés en une impuissance glaçante. On en est, en haut lieu, à considérer ces évidentes prémices de guerre civile comme de simples faits divers. Circulez, dormez bonnes gens, il ne se passe rien. Nous sommes là et nous employons les bons moyens. La preuve, lorsque des sauvageons livrés à eux-mêmes, élevés dans l’idée que casser la France est le meilleur des divertissements estivaux qu’ils puissent trouver, saccagent la piscine et les installations afférentes qui les accueillent, que fait-on ? Sanctionne-t-on ? Botte-ton le cul de ces futurs insurgés ? Que non pas. On ferme boutique. Lâchement. Victoire éclatante pour les petits merdeux. Une honte de plus pour la France, le pays, pour nous. Avec celle, ô combien brûlante, que nous vaut l’incapacité tragique de l’État à sortir Boualem Sansal de l’enfer où Tebboune et sa clique le tiennent reclus. Eux tous, Tebboune, la fille au poulet, les ensauvagés de la piscine doivent bien rigoler. Eh oui !
Finalement, on en arriverait presque à se demander si ce ne serait pas la France entière qu’il conviendrait de fermer. Puisqu’on en est là. ■ DOMINIQUE LABARRIÈRE
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