
Dans les circonstances que traverse le Pays, en l’absence plus que jamais évidente de toute autorité politique digne de ce nom, si le rôle des militaires est toujours d’obéir, il est aussi de leur devoir de servir les intérêts supérieurs de la France s’ils sont dévoyés ou trahis et de prendre toute leur part avec les moyens dont ils disposent seuls, à sa volonté de vivre ou même de survivre, alors qu’elle se trouve en déshérence, selon l’expression qu’avait utilisée de Gaulle en d’autres circonstances, elle aussi des plus graves. JSF
La république fête le début de la terreur politique, qui n’a pas commencé en 93 mais le jour de la prise de la Bastille où l’on a vu les premières têtes de promener au bout de piques, Bastille où il y avait ce jour sept prisonniers, quatre faussaires, deux meurtriers et un fou interné à la demande de sa famille. Clemenceau disait que la révolution était un bloc, et je m’étonne donc qu’il n’y ait dans nos bonnes villes de France de place Marat, d’avenue Fouquier Tinville, de rue du Comité de Salut Public, de square des Noyades de Nantes. On pourrait faire quelques suggestions : rebaptiser la place de la Concorde place de la Guillotine, la rue de Rivoli deviendrait rue des Visites Domiciliaires, la Place de la Bastille, place des Massacres de Septembre, la place de la République, place de la Loi sur les Suspects etc. Les républicains ont de ces frilosités et on a envie de leur rappeler le mot de Sade, « français, encore un effort pour être républicains ».
Avec le règne du progressisme on s’étonne que dans le défilé du 14 juillet il n’y ait pas encore d’unités de drag queens ou de LBGTQ+ mais ça viendra, ça viendra …
Votre suggestion, Jean de Maistre, est d’autant plus pertinente qu’une partie du boulot à été faite.
Plusieurs rue Danton ou Robespierre (et une station de métro !) et même deux rues Marat, à Ivry et à Décines.
J’avais même relevé une rue Carrier…
Donc….