
Régis de Castelnau met toute la véhémence, toute la virulence, de son talent – qui est patent – dans cette dénonciation plus que juste. En le lisant, nous pensons à certains passages des Dieux ont soif où Anatole France, plutôt un calme, mettait en scene les furies et les noirceurs de la passion politicienne. Pour nous, une des pires facettes de la période révolutionnaire. De la Révolution tout court. . JSF

Rubrique : sale gueule.
Je n’ai aucun gage à donner concernant mon anti-macronisme primaire voire rabique. Qui s’est exprimé dès avant son arrivée au pouvoir.
Mais le spectacle de toute cette lie médiatico-politique qui a tout organisé, justifié, soutenu, et qui vient maintenant vomir dans la soupe, qu’elle lapait goulûment il y a encore trois jours, est quelque chose d’absolument répugnant.
Une foule qui lâche, une foule qui lynche a toujours une sale gueule. Toujours.
Macron n’est pas à plaindre, qu’il se démerde et il n’aura pas volé de se faire déchiqueter.
Et sa défaite si elle survient, sera quand même une première victoire pour la France.
Quant à cette meute avec sa face de raie, on ne doit ne jamais hurler avec elle. ■ o RÉGIS DE CASTELNAU
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