29 nov.2025
Dans cet extrait, François Asselineau analyse le plan de paix américain en 28 points proposé à la Russie. Selon lui, un élément peu commenté indique que si l’Ukraine ne doit pas entrer dans l’OTAN, rien n’empêcherait son adhésion future à l’Union européenne. Asselineau estime que cette possibilité pourrait avoir des conséquences économiques importantes pour les pays contributeurs nets, dont la France, notamment en cas de reconstruction de l’Ukraine après le conflit. Cette vidéo présente son analyse et les interrogations qu’il soulève concernant l’avenir européen.
Merci à Marc Vergier de sa transmission.












Comme d’habitude, Monsieur Asselineau exagère et ne voit que ce qui arrange son petit (tout petit !) magot politique (à la dernière présidentielle, il a dû faire 0,4% des voix !).
Il faudra certes, quand l’Ukraine rejoindra l’Union européenne, augmenter substantiellement le budget de la PAC mais, au-delà du camouflet infligé aux « Popoff », imaginez le renforcement que cette inclusion représenterait pour l’Europe, sur le plan agricole bien sûr, mais aussi sur le plan industriel car les Ukrainiens sont parmi les premiers ingénieurs et scientifiques au monde (cf. leur bond technologique en matière de conception et de construction de drones très sophistiqués depuis 2022).
Infliger des camouflets n’a jamais été une politique étrangère. Vous n’aimez pas les « popoff » comme vous dites et c’est bien votre droit. Mais on ne fait pas davantage une politique étrangère à coups d’amitiés ou d’inimitiés.
Quant au renfort de l’agriculture ukrainienne, la France, qui devrait être autosuffisante en matière alimentaire, n’en a pas besoin et l’union européenne non plus puisque sa véritable ambition est d’importer du plus loin possible de quoi nous nourrir, quitte à ruiner les agriculteurs et à mettre notre territoire désertifié en jachère.
Les plaines d’Ukraine en frémiront d’aise et nous de décrépitude.