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Les aventures d’une bourgeoise de Paris, roman-feuilleton de votre été

jeudi 3 août 2023jeudi 3 août 2023 sur Rémi Hugues

Le malade s’agite à nouveau. Secoué du mouvement machinal d’un être aux prises avec le trépas, sa longue main se crispe, ramenant les tissus dont, le poids l’importune ! L’anneau qu’il portait au doigt, l’anneau d’or des fiançailles glisse et tombe à terre, avec un bruit métallique ; aussitôt, Mahault le relève, et, comme elle le tend au Roy :

— Je voudrais, dit-il, je voudrais… le faire passer à ma Dame ! elle saurait ainsi, dans l’angoisse où elle se trouve en ce moment, que ma devise est toujours la même : Dieu ! France ! Marguerite !

— Sire, dit Mahault, avec sa spontanéité habituelle, si j’essayais de le lui faire tenir ?

— Comment une femme le pourrait-elle ?

— Sire, avant d’être la Bourgeoise de Paris, je fus fille de Chevaliers bretons ; votre féal Raoul de Fougères est mon frère bien-aimé, et les vieux Méen, mes ancêtres, savaient déjouer toute embûche !

— Il vous faudrait une escorte, ou au moins un sûr compagnon.

À ce moment le chevalier de la Visière Close qui, depuis la veille au soir, n’avait guère quitté les alentours de la tente, vint s’agenouiller près de la couche du Roy, et, se penchant de telle sorte qué lui seul pût voir , sous la visière relevée, le mystérieux visage dont Chacun ignorait les traits, lui parla longuement. À la fin de ce colloque, l’étrange guerrier s’inclina comme sous un pardon, puis, après s’être relevé, il vint vers Mahault :

— Dame, avec la permission de notre Roy, je vous accompagnerai.

— Vous ne sauriez avoir un plus sûr protecteur, affirma le monarque ; considérez- le comme un de mes fidèles, et n’ayez nulle crainte de vous confier à lui.

— Ainsi sera fait, Sire, répondit Mahault ; puis, elle s’approcha du lit, et prit l’anneau que lui tendait le Roy.

— Dieu vous mène vers elle ! Dit-il.

Puis, inclinant la tête, il murmura : « Hors cet annel n’ay point d’amour. »

Alors qu’ils sortaient ensemble de la tente royale, le conducteur inconnu de Mahault, appelé par un homme d’armes, dut la laisser quelque temps, et avisant un brasier autour duquel on faisait cuire quelques aliments :

— Je vous prie de demeurer ici à m’attendre, je vous y laisserai le moins de temps possible.

— Cela me donnera le loisir de me mettre à la recherche de Gaucher, dit Mahault.

Elle l’aperçut bientôt, escortant une civière portée par deux hommes vêtus de noir comme lui, et dont le métier n’avait guère, hélas ! chômé cette nuit-là !

— Gaucher, je suis chargé par le Roy de telle mission que je n’ai guère chance d’en revenir vivante.

— Las ! Dame, il me faut donc y aller aussi !

— Mon pauvre Gaucher, si tu me disais seulement comment on peut avoir, fût-ce l’ombre d’une possibilité de remonter le fleuve sans y être jeté !

Le valet tourna la tête de droite à gauche, puis après une longue pose :

— Dame, je crois que j’ai une idée.

— Donne-la vite : elles sont assez rares pour être bonnes.

L’homme vêtu de fer revenait : ce fut devant lui que le fils de Quentin s’expliqua, d’une voix coupée, avec des gestes rares ; mais ses dires n’étaient sans doute point exempts de sagesse, et on devait les prendre en considération, puisque ce fut lui, qui, guidant les deux messagers du Roy, les précéda dans la nuit.

X

VERS DAMIETTE

Une barque longue et plate vogue invisible entre la glauque lividité du fleuve et le fluide brouillard qui tend sur elle son voile protecteur. Elle rase les roseaux, dont la verte frange borde le fleuve, et c’est aussi une charge de roseaux qu’elle transporte. Le banc des rameurs est placé à l’avant, et le bruit des avirons est tellement léger qu’il trouble à peine le repos béat des ibis roses qui, rangés en une ligne mélancolique, et haut perchés sur une seule patte, dorment, la tête sous leur aile.

L’esquif est bombé comme un cercueil ; deux rameurs le font mouvoir et l’homme maigre, assis à la proue, lugubre de visage et de vêtement y semble un de ces funèbres bateliers qui, sous les ordres de Caron, menait les âmes au noir empire. Les multiples occurrences de son triste métier l’ont aguerri contre tous les étonnements, puisqu’il ne semble point surpris quand, du fond de la barque où deux corps sont étendus, le bruit de souffles étouffés que lui seul peut entendre, parvient à ses oreilles. Ces corps semblent pourtant prêts pour le dernier repos ; l’un, engaîné dans une luisante cuirasse, l’autre, enveloppé d’un suaire de toile blanche. Mais, savons-nous si les morts n’ont pas, eux aussi, le droit de converser ensemble ? Comme de juste, c’est la femme qui commence.

— Seigneur Chevalier, en acceptant la mission qui nous rassemble, j’étais prête à toutes les aventures ; mais, en vérité, si je m’attendais à celle-ci, et surtout qu’elle me fût suggérée par l’esprit obtus de mon brave Gaucher ! C’est lui qui eut l’idée de nous ensevelir momentanément dans cette barque, dont son titre de fossoyeur lui donne possession. Depuis trois jours qu’il en exerce les fonctions, il n’a point chômé, hélas ! et maintes fois déjà, avec les rameurs indigènes, il a sous les yeux de l’ennemi, transporté des corps de chevaliers à un lieu de sépulture qui se trouve en aval du fleuve. Sa ruse peut avoir du bon : jusqu’à présent, nul ne nous a inquiétés ; mais la chaleur est suffocante sous ces roseaux qui nous protègent. Je n’y tiens plus, et relève mon suaire ; soulevez, de grâce, la visière de votre casque.

L’autre gisant ne sembla point prendre cette demande à gré. La dame, étant tenace, poursuivit :

— Quelles que soient les souffrances endurées par vous dans cette guerre, la pire de toutes consiste à porter une telle coiffure ; desserrez-en les courroies.

— Dame, depuis six mois, personne ne me la vît quitter ; personne, je le crains, ne m’en verra déprendre.

Sous les mailles du haubert, les yeux de l’étrange personnage flamboyèrent de telle sorte que Mahault, malgré son opiniâtre désir du bien-être des autres, n’osa plus insister.

Un assez long silence suivit ; mais, n’en étant point coutumière, elle reprit :

— De la trempe que vous êtes, bien des prouesses durent être accomplies par vous, avant celle dont je fus témoin, car je vous vis rapporter dans vos bras le corps de notre Roy.

— Le plus difficile des courages est celui qui, comme en ce moment, nous oblige à ruser avec le danger

La voix, qui prenait un son brisé en passant à travers les lames métalliques, n’en paraissait pas moins avoir la chantante résonance bretonne. Cette supposition enhardit la veuve.

— Puisque le hasard nous réunit dans un si singulier voyage, dites-moi donc d’où vous êtes ?

— Ce pays est devenu mien ; je lui ai donné assez de mon sang, il ne me refusera pas un peu de son sable pour y dormir.

— Voilà qui n’est point de mon goût : j’espère bien prendre mon repos sous un enfeu de granit breton.

— C’est terre bonne à revoir, en effet, murmura le guerrier. Ce silencieux avait, comme tous ceux de son espèce, le don de provoquer les confidences, et dame Mahault, compte à débrouiller les affaires des autres, ne cherchait pas à taire les siennes ; d’ailleurs, le chaleureux éloge du Roy lui avait permis d’avoir toute confiance en son extraordinaire camarade, et le témoin de tant de batailles pouvait, mieux que tout autre, lui fournir d’utiles renseignements ; puis, dans cette immobilité, qui, à la longue, devenait le pire des supplices, c’était encore soulagement pour la dame que sa langue pût remuer quelque peu.

— Sire, vous devez être étonné qu’une femme de ma condition se soit égarée en si lointains parages ; je veux vous faire savoir que j’eus pour cela de bonnes raisons : d’abord, celle de porter moi-même la rançon d’un mien frère, pris par les Turcs au combat de Mansourah. C’était pourtant un brave entre tous. Connaissez- vous le baron Raoul de Fougères ?

S’il n’avait fait aussi sombre, on se serait aperçu du tressaillement de l’énigimatique voyageur.

— Il se peut, répondit-il, après quelques instants, mais les choses présentes sont telles que ma mémoire a désappris celles d’antan.

— Voilà, certes, une sagesse précieuse ; moi je suis portée par nature à augmenter du poids de celles d’autrefois mes souffrances d’aujourd’hui ; laissez-moi vous narrer la plus cruelle de toutes : Savez- vous combien il est dur d’avoir causé malheur de quelqu’un ; d’avoir mis, par imprudence, dans une jeune vie, le trouble qui en fera le tourment ?

Alors Mahault parla de Jehanne dit la part qu’elle avait prise au beau roman de la jeune fille, et le remords qu’à cette heure elle avait de son imprudence. La cruelle inaction de cette nuit de fuite n’aurait pas suffi à justifier Mahault de prendre pour confident d’un tel secret cet inconnu, tant cher qu’il fût au Roy ; mais la romanesque invétérée devait le tenir, à coup sûr, pour le bon enchanteur qui, dans tous les récits de la Table Ronde, savait punir les traîtres et venger les innocents. Malgré sa réserve, l’homme masqué prenait un visible intérêt à ce récit d’amour. Il voulut même, à plusieurs reprises, défendre celui qui en était le triste héros contre les apostrophes véhémentes dont l’accablait la tante de Jehanne. ▪ (À suivre)


Roman : LES AVENTURES D’UNE BOURGEOISE DE PARIS de Myriam Thélen (1911).

Publié dans l’Action française le 15 juin 1923.

Textes et images rassemblés par Rémi Hugues pour JSF

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Un mini-dossier en 6 parties. Analyses et propositions. Une manière d’appréhender la situation française réelle et ses évolutions afin de fixer nos positions. A lire, donc.  Suivre les liens.  JSF     I   II  III   IV   V   VI

Quatre livres fondamentaux de Charles Maurras réédités par B2M, Belle-de-Mai éditions

Enquête sur la monarchie. (Édition de 1925), 39 €, 836 p.

Le manifeste royaliste en ouverture du XXe siècle ! (Parution courant 1900). Maurras y pose la célèbre question : « Oui ou non, l’instauration d’une monarchie héréditaire, antiparlementaire traditionnelle et décentralisée est-elle de salut public ? » !   

L’Avenir de l’intelligence, 25 €, 244 p.

Une étude de l’histoire politique et intellectuelle du XVIe au XXe siècle, où Maurras à montre comment les intellectuels et artistes attachés à produire des œuvres de l’esprit sont passés « de l’autorité des princes de notre Sang sous celle des marchands d’Or », les immenses fortunes industrielles et bancaires qui limitent la liberté de l’esprit. Maurras en appelle à une alliance entre les intellectuels et le patriotisme des Français pour renverser cette mécanique.

Kiel et Tanger, 29 €, 428 p.

Maurras y constate la tragique infériorité du régime républicain en matière de politique internationale, spécialement face à la menace allemande de l’époque. Prévoyant la guerre à venir il conclut à la nécessité de remettre un roi à la tête du pays. Prolongeant le réalisme de la pratique capétienne des relations internationales, ancêtre de la pensée géostratégique française.

La Démocratie religieuse, 31 €, 620 p.

Parution en 1921, compilant trois textes préalablement écrits par Charles Maurras : Le Dilemme de Marc Sangnier (1906) – – La politique religieuse (1912) – – L’Action française et la religion catholique (1914). Cet ouvrage voit dans la démocratie une religion nouvelle qui vide le politique de sa puissance.

Et aussi…


Henri Massis, Georges Bernanos, Maurras et l’Action française, présentation de Gérard Pol, 18 €, 104 p.

Léon Bloy, Le salut par les juifs, avant-propos de Laurent James, 20 €, 156 p.

Commandes et renseignements : B2M, Belle-de-Mai éditions – commande.b2m_edition@laposte.net

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