
On ne peut comparer – autrement que sous l’aspect de la poésie – les circonstances politiques ou historiques de ces deux morts, si ce n’est en considérant cette même dureté des conflits civils qu’il est arrivé à la France de vivre, auxquels le siècle écoulé n’a pas échappé et auxquels sagement, souverainement, tournant le dos aux dissensions inutiles et au ressentiment, Georges Pompidou avait souhaité que l’on mît fin. Et que s’achève le temps où les Français ne s’aimaient pas, selon l’expression qu’il reprenait lui-même de Charles Maurras.
Cet enregistrement est extrait de l’éphéméride du 25 juillet. ■