VIDÉO – 17,15 min. Avec Alexandre Jardin, auteur de « Les Gueux » aux éditions Michel Lafon. A noter qu’au matin de ce 14 juillet, cette émission a fait l’objet de 81 600 vues.
Entretien par Richard de Seze, directeur de la rédaction de Radio Courtoisie. Il dirige le mensuel Politique Magazine, est l’auteur de plusieurs ouvrages et collabore à différents médias. À partager largement !
Source
11 juillet 2025.
Bien, Bien, ce Jardin raisonne justement.
Toutefois ,comment faisait on autrefois ? L’on peut facilement se passer d’électricité en bien des domaines : à quoi servent les reveils électriques quand il est si facile de remonter une pendule mécanique.
A quoi servent tous ces machins électroménagers ( moulins à café elecrique, robots cuisineurs et cetera). Sans compter toutes ces veilleuses sur les appareils électriques.)
Chauffait on les chambres à coucher il y a 50 où ans ? Et les hôtels qui n’avaient l’eau chaude ? …
La Télévision: à nouveaux, permis les jeunes générations on s’en passe ayant compris que c’est une machine à abrutir . Et qui fait les affaires de patrons de médias, « marchands de soupe » avec toutes ces coupures publicitaires .
Il y a tant à faire pour une sorte de « grève » de l’utilisation d’électricité par les particuliers !
Visité, il y a une dizaine d’années un logis « eco musee » du début du siècle dernier (XX) ; par chance ils avaient conservé l’enregistrement d’un habitant de cette époque racontant ses souvenirs ;
[ Le matin, au lever du soleil , on prenait la soupe au petit déjeuner, puis les hommes partaient aux champs , vers midi on revenait prendre de la soupe . L’été ’été, on restait au champs et les femmes venaient porter la soupe complétée de » recuit » de lait de brebis, on ramassait aussi des feuilles de cresson comme salade.
Enfin, le soir, la journée terminé, l’on reprenait de la soupe et, profitant des dernières lueurs du jour, j’apprenais mes leçons pendant que les adultes racontaient des histoires à la veillée. Lorsqu’on n’y voyait plus rien, tous allaient se coucher.]
Bref, pas d’éclairage électrique non plus .
Après avoir laissé une pièce dans la sous-coupe, reprenant la petite route peu fréquentée, agréablement surpris de croiser un car scolaire : l’habile enseignant, par une simple sortie scolaire pouvait faire comprendre comment l’on pouvait vivre simplement il a cent ans .
Nb pour ce qui est des boulangers, pourquoi avoir. abandonné les fours à bois qui offraient une meilleure cuisson du pain ? Trop de travail ! Et bien maintenant , ils sont pris à la gorge.