Texte d’accompagnement de la chaîne
Alexander Makogonov, porte-parole de l’ambassade de Russie en France, donne une claque en direct à la classe des mass-médias . Face à l’amnésie médiatique occidentale, il rappelle l’histoire, les alliances, les sacrifices russes… et expose le double jeu de certains responsables français. Une prise de parole rare, que beaucoup aimeraient faire disparaître. À voir jusqu’au bout.
Source :
Merci à Marc Vergier de sa transmission.












Il faudra au moins 20 ans pour restaurer la confiance entre la France et la Russie , et cette fois ci , verrouiller les choses afin que jamais les globalistes anglo-saxons et autres ne puissent reprendre la main …Jamais ! Je pense que Poutine, sait qu’il y aune bonne proportion, de français qui aiment la Russie et qui abhorrent la russophobie criminelle de la macronie , de la « droite » et de la « gauche » . Tous des sans couilles qui ne parlent et n’agissent que par trouille . Ces salopards paieront !!
Vive l’amitié russo-française !!
Ce jeune homme est bien gentil mais sa manière d’invoquer l’Histoire est assez malhonnête: les dirigeants de la Russie à l’époque de ces « hauts faits » ne peuvent EN AUCUNE MANIERE être comparés au voyou qui occupe le Kremlin actuellement et depuis tant d’années. Ce serait leur faire injure …
@ J. M. Parnet
Malgré son caractère exclusivement polémique et fondé uniquement sur l’insulte, nous n’avons pas refusé la publication de votre commentaire. Vous n’ignorez pas toutefois qu’il est en parfaite opposition avec la ligne politique — étayée par de nombreuses analyses fondées sur des faits — que nous suivons ici dans ce dossier.
Faute d’une argumentation réellement motivée, nous n’en publierons plus d’autres de la même veine.
JSF
Ce diplomate russe devrait aussi évoquer :
– La guerre de sept ans, où la Russie nous a trahi pour conclure une paix séparée avec la Prusse ;
– Le double jeu du tsar Alexandre Ier, faisant mine de traiter avec Napoléon à Tilsit tout en complotant contre lui.
– L’entrée des cosaques en 1814 à Paris.
– La guerre de Crimée.
– Le soutien apporté par la Russie à la Prusse en 1870.
– Le pétard mouillé russe de 1914, suivi, à nouveau, d’une paix séparée, laissant libre champ à l’Allemagne sur le front ouest.
– La guerre froide.
Alors pour l’amitié franco-russe, on repassera.
Si votre commentaire veut dire que la Russie est comme les autres nations, à savoir qu’elle n’a pas des amitiés mais des intérêts, je suis d’accord avec cette évidence qu’il n’est jamais inutile de rappeler.
Pour le reste, les points que vous soulevez pour juger négativement, la relation historique franco-russe me paraissent pour la plupart déséquilibrés car vous ne tenez pas compte des torts immenses causés à l’ordre européen – donc à la Russie – par les guerres de la révolution et de l’empire. À la Rdussie par l’absurde blocus continental et a fortiori par la campagne menée par Napoléon sur son territoire jusqu’à Moscou. Je ne pense pas que la Russie ait jamais tenté de nous rendre la pareille.
Quant à la guerre froide, ne fut-elle pas la conséquence des accords d’ Yalta, conclus par ces grands démocrates qui étaient Roosevelt, Churchill et Staline…
Sans nuire à la politique étrangère, par nature égoïste, que la France devrait mener, il n’est pas interdit de mettre un minimum d’équilibre et d’équité dans nos jugements historiques.