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Question financière, question politique, par Hilaire de Crémiers

mercredi 28 septembre 2011 sur JSF

(Voici l’analyse politique d’Hilaire de Crémiers parue dans le Politique magazine de septembre, n° 99)

Malgré les propos d’Alain Minc et de Valéry Giscard d’Estaing, il n’y a plus aucune assurance à avoir dans le système financier et monétaire européen.

      Quelques chiffes : dans l’année qui vient, environ mille milliards d’euros de dettes – vraisemblablement plus –, inscrits dans le système bancaire européen, vont arriver, comme disent les financiers, à maturité. Dans les deux ans qui viennent, selon le dernier rapport du FMI, le besoin de refinancement des banques dans le monde s’élèvera à 3 600 milliards de dollars, sans doute bien davantage, car tout le monde ment ou dissimule. 

CRISE LES MINISTRES SUGNENET LE PACTE DE STABILITE.jpg

Les ministres des Finances signent le Pacte de stabilité européen….

        Les  banques européennes sont exposées non seulement à la dette souveraine grecque, pour laquelle elles ont déjà en partie provisionné, mais à toutes les dettes souveraines, toutes, et pour lesquelles elles n’ont pas encore provisionné et pour lesquelles il leur sera tout simplement impossible de provisionner. L’Europe ne pourra y pourvoir ; les États surendettés non plus. La Grèce, l’Irlande, le Portugal ont déjà entraîné le déblocage, tous comptes faits, de près de 350milliards d’euros, soit déjà versés, soit encore prévus. Le Fonds européen de stabilité financière (FESF), doté de 440 milliards, est dès maintenant au trois quarts entamé. Les mises du Fonds monétaire international (FMI) de 250 milliards, assurées ou seulement garanties, ne pourront jamais former qu’un complément. Quant aux fonds d’urgence de la Commission européenne, ils sont limités nécessairement à 60 milliards d’euros.

         Ces chiffres déjà énormes sont cependant dérisoires par rapport à ceux qui se profilent. Avec ce qui vient les ordres de grandeur changent.  Les chiffres se multiplient par dix, voire par cent. 

L’Espagne où déjà les premières demandes de recapitalisation des banques s’élèvent à 75 milliards, l’Italie où, pour simple exemple, les banques françaises se trouvent engagées pour plusieurs centaines de milliards d’euros, vraisemblablement 400, en dépit de leur plan d’austérité, de l’inscription de la prétendue règle d’or dans leurs textes constitutionnels, seront évidemment dans l’œil du cyclone qui se prépare. Or les dettes cumulées espagnole et italienne que l’Europe devrait donc soutenir au cas où…, s’élèvent à 2 300 milliards. Qui peut, qui pourra, qui pourrait ?

 

L’impossible dette française

        Et la France ? Car l’Etat français place sa dette et, même si elle est détenue, en raison de son apparente sécurité et de son rapport, pour une part importante par l’étranger, elle constitue aussi un placement obligé et obligatoire des fonds à la disposition des organismes financiers et bancaires français. Certes, il n’est pas question pour le moment de crier « au feu ». Les intérêts de la dette, déjà colossaux, et qui représentent la part la plus importante du budget annuel de la France, plus de 50 milliards d’euros, sont encore honorés. Mais les montants sont tels,–  plus de 1500 milliards d’euros qui s’accroissent et s’accroîtront nécessairement tous les ans, même en cas de réduction des déficits, sans compter les autres dettes cumulées de tous les organismes publics, parapublics, de toutes les collectivités et de toutes les grandes entreprises nationales –, qu’il n’est pas douteux qu’au moindre ébranlement la panique sera généralisée. 

        Ce qui est arrivé à la Grèce est peu de chose par rapport à ce qui risque de survenir. Et soudainement !

        Le Premier ministre, il y a quatre ans, avec sa fiche de comptes sous les yeux, avait déjà déclaré qu’il était à la tête d’un gouvernement d’un État en faillite. Bien sûr, virtuellement en faillite. Mais le passage du virtuel au réel en ce domaine financier se fait à des vitesses que personne ne peut contrôler. Le savent bien les chefs d’entreprise, les vrais banquiers, les financiers sérieux. Dire qu’un État ne peut pas faire faillite relève de l’utopie économiste. Ce n’est d’ailleurs pas pour ça qu’il doit nécessairement en mourir. La faillite peut être pour lui un assainissement. Cruel, terriblement cruel, en particulier pour les petits… Mais qui peut permettre de se relever… Comme en ont témoigné assez récemment quelques États d’Amérique du Sud.

 

baroin_lagarde.jpg

Christine Lagarde et François Baroin : passage de témoins ?

 

 

Vers le krach obligataire

        Le krach boursier de cet été n’est en fait qu’un prélude. Il était d’ordre essentiellement psychologique comme souvent les krachs boursiers qui atteignent des valeurs qui n’ont en elles- mêmes aucune raison d’éprouver de telles pertes. Tout se ramenait à des doutes, mais à des doutes fondamentaux dans une ambiance générale de récession économique et de déclin d’activité. Sauf que les entreprises du CAC 40 continuent à faire des bénéfices mais qui ne reflètent plus l’activité nationale.

        Mais que sera-ce quand frappera le krach obligataire ? Dans ces colonnes cette question est déjà posée depuis deux ans. Les États- Unis sans doute s’en sortiront parce qu’ils sont maîtres de leur dollar qu’ils imposent au monde. La dégradation de leur note n’a pas changé leur taux ni leur capacité de refinancement. Mais l’Europe ? Elle explosera. La BCE se voit contrainte de faire ce qu’elle s’était interdit de faire, injecter des liquidités dans le système bancaire européen pour sauver les banques et les États surendettés, autrement dit faire comme la FED aux États-Unis, racheter massivement des obligations d’Etat, mais qui valent quoi ? 

        La voilà bourrée d’actifs sans valeur qui seront appelés demain toxiques. Rien ne représente l’Europe dans ces papiers qui ne sont que des lignes électroniques, une Europe mythique d’ailleurs ! La prétendue garantie n’est donnée que par des Etats virtuellement en faillite et la caution de la BCE n’y ajoute rien. Le système bancaire européen ne peut que se gripper ; les  stress tests  de juin n’auront servi à rien.

        Christine Lagarde a pris la succession de Strauss-Kahn à la direction du FMI. Malgré les apparences, lui est très heureux d’en être libéré comme d’être libéré d’une présidence possible de la République française, car voilà quelque temps qu’il se doute de ce qui risque d’arriver. C’est à Christine Lagarde qu’il revient maintenant d’avertir. Elle sent la crise venir dans laquelle le FMI est lui aussi engagé. Elle exige, elle supplie que les banques européennes se recapitalisent… car elle sait trop bien qu’une partie de leurs actifs ne représente rien. A la grande fureur et indignation des banquiers français ! Et à l’encontre de tout ce qu’elle affirmait péremptoirement elle-même, il y a peu, quand elle était encore ministre de l’Économie et des Finances en France. Mais où se refinancer ? Comment se recapitaliser ?

 

L’axe Paris-Berlin ?

        Nicolas Sarkozy aurait voulu que le deuxième plan de renflouement de la Grèce concocté en juillet soit rapidement mis en œuvre. Il le fait vite voter en France par le Parlement. Il s’imagine toujours que « le volontarisme » suffit à relancer la machine. Grave erreur de jugement. Il faut en politique comme en finance l’intelligence du long terme. En 2008, oui, il est intervenu et d’une certaine manière il a sauvé la situation, mais, sans s’en rendre compte, par le fait même, il préparait et aggravait la crise suivante qui faillit tout emporter en 2010 ; car cette fois-là c’était les Etats qui étaient engagés ! Et voici que cette action contribue à accentuer aujourd’hui la crise obligataire qu’il rend du coup inéluctable. Il y a là quelque chose de dramatique et qui devrait inciter à réfléchir pour l’avenir.

        La vérité est que tout le monde la pressent. Les Finlandais réclament à la Grèce la contrepartie d’une garantie réelle, autant dire qu’ils remettent en cause le principe même du plan. Les États européens renâclent ; le ministre néerlandais des Finances, Jan Kees de Jager a fait savoir qu’il s’inquiétait « des conséquences sur la solvabilité des États membres qui se portent garants ». De la Slovaquie à la Pologne, nombreux sont ceux qui refusent ce qui s’apparente à une « Union européenne de la dette ». Les plus violemment hostiles sont naturellement les Allemands, tous partis confondus. Angela Merkel a dorénavant à faire face à une très forte opposition, y compris dans son propre parti où il est jugé qu’elle a fait trop de concessions aux stratégies de Nicolas Sarkozy. Elle-même a été obligée de déclarer que passe peut-être pour la Grèce dont le plan de soutien doit être voté prochainement au Bundestag, mais que l’Allemagne se refuse à augmenter le Fonds européen de stabilité pour subvenir aux cas de l’Espagne et de l’Italie. En attendant, d’ailleurs, la décision de la Cour suprême de Karlsruhe sur le principe même de ces plans.

        Autant dire que la confiance n’y est plus. Et sans confiance, plus d’économie, plus de finance. Non, le volontarisme de Sarkozy ne rassurera plus les marchés. Quand, interrompant ses vacances  en plein mois d’août en raison de la  précipitation de la crise financière, François Baroin, nouveau ministre de l’Économie et des Finances jette comme formule d’apaisement à l’opinion française et mondiale que cette crise ne peut déboucher sur une catastrophe puisque l’Europe, l’euro, la zone euro tiennent grâce à l’axe Paris-Berlin, il ressemble, sans qu’il s’en doute vraisemblablement, aux politiciens de la IIIe République qui se figuraient toujours que les choses finiraient par se plier à leurs vœux… D’où des phrases ronflantes à la Briand, à la Blum, à la Daladier, à la Reynaud… et la catastrophe est venue !

        « Il n’est pire dérèglement de l’esprit, disait fort bien Bossuet, que d’imaginer les choses telles qu’on voudrait qu’elles soient et non de les voir telles qu’elles sont en effet ». Il n’y a pas d’axe Paris-Berlin. Il y a, c’est certain, un axe Berlin-Berlin, peut-être un axe Berlin-Moscou. Paris en sera, une fois de plus dans l’histoire, pour ses frais. L’intégration européenne, telle que la France la souhaite et où elle met tout son espoir actuel pour se sauver elle-même de ses propres erreurs, n’aboutira concrètement qu’à un chaos et se traduira demain par un carcan budgétaire supplémentaire. Dans peu de temps, fort peu de temps, tout lui fera défaut.

        À l’heure où son activité économique ralentit, où son déficit commercial se creuse de manière dramatique, où le chômage ne cesse d’augmenter, où le nombre de créations d’entreprises baisse, où les Français en situation de pauvreté se comptent par millions, la France ferait mieux de songer à elle-même et de compter sur elle- même.

        Certes, François Fillon a proposé un plan de rigueur que Sarkozy a repris sans employer le mot et qui a du moins l’avantage de mettre les Français et les hommes politiques devant une dure réalité. 

        Quelques milliards à gagner encore cette année, dix milliards en 2012, en rabotant, annulant les niches fiscales, en taxant produits et transactions, en augmentant certains impôts et en imposant davantage les plus riches. Soit, ce n’est pas encore voté. Mais le système est si compliqué que, même en croyant bien faire, il peut s’ensuivre des conséquences négatives, à réformer indéfiniment de perpétuelles réformes. De toute façon, il faut se rendre compte que ces chiffres d’économies, sans doute nécessaires, restent dérisoires devant les chiffres évoqués dans cette crise. Réduire nos déficits, c’est bien. Mais est-ce suffisant ?

        La crise qui vient est telle qu’il faudra bien envisager de revoir le système en lui-même. Le déroulement des élections présidentielles dans ce climat délétère ne rendra que plus sensible la vraie question politique : rétablir une légitimité naturelle de l’État qui rétablisse le lien social français que le fonctionnement du système actuel est en train de dissoudre. Alors il sera possible de rétablir des finances saines. Le reste n’est qu’illusion. ■

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3 commentaires pour “Question financière, question politique, par Hilaire de Crémiers”

  1. DC
    mercredi 28 septembre 2011 at 11 h 02 min

    Lire aussi sur le blog de Bertrand Renouvin la dernière note de
    Jacques SAPIR, très pertinente également à ce sujet, et qui
    concorde.

  2. academos
    mercredi 28 septembre 2011 at 12 h 15 min

    J’ai essayé d’alller lire le Sapir sur le Blog de Bertrand Renouvin : impossible d’y accéder…..

  3. DC
    mercredi 28 septembre 2011 at 12 h 41 min

    Il suffit de lire la dernière note publiée en première page du
    blog de Bertrand Renouvin  » Jacques Sapir : L’agonie de l’euro  »

Les commentaires sont fermés.

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Kiel et Tanger, 29 €, 428 p.

Maurras y constate la tragique infériorité du régime républicain en matière de politique internationale, spécialement face à la menace allemande de l’époque. Prévoyant la guerre à venir il conclut à la nécessité de remettre un roi à la tête du pays. Prolongeant le réalisme de la pratique capétienne des relations internationales, ancêtre de la pensée géostratégique française.

La Démocratie religieuse, 31 €, 620 p.

Parution en 1921, compilant trois textes préalablement écrits par Charles Maurras : Le Dilemme de Marc Sangnier (1906) – – La politique religieuse (1912) – – L’Action française et la religion catholique (1914). Cet ouvrage voit dans la démocratie une religion nouvelle qui vide le politique de sa puissance.

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Henri Massis, Georges Bernanos, Maurras et l’Action française, présentation de Gérard Pol, 18 €, 104 p.

Léon Bloy, Le salut par les juifs, avant-propos de Laurent James, 20 €, 156 p.

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