Aller au contenu

JE SUIS FRANÇAIS

Le quotidien royaliste sur la toile

Search
  • Accueil
  • Politique
    • France
    • Europe
    • Monde
    • Les Lundis de Louis-Joseph Delanglade
    • En deux mots, réflexion sur l’actualité
    • Défense nationale
    • Social, economie…
    • Chiffres en vrac sur la France actuelle
    • Grain de sel … actualité
  • Comte de Paris
    • Monseigneur le Comte de Paris, Famille de France
  • Annonces
    • Activités, Presse, Mouvement
    • Annonces à propos de JSF
  • Société
    • Immigration – Insécurité – Anti racisme
    • Education
    • Justice
    • Patrimoine, Racines, Traditions
    • Politique et Religion
    • Humour
  • Vidéo-Audio
    • Vidéos
    • Audios
  • Idées-Culture
    • GRANDS TEXTES
    • Idées, Histoire, Culture & Civilisation
    • Patrimoine cinématographique [P. Builly]
    • Ephémérides
    • Visuels
    • Nos lecteurs ont la parole…
    • Aux nouveaux lecteurs qui nous découvrent…
    • Journal d’un royaliste français au Maroc
  • République ou Royauté
    • République ou Royauté ?
    • Révolution – Terrorisme – Totalitarisme
  • Dossiers
    • Lire Jacques Bainville
    • Bainville : Journal année 14
    • Pierre Debray – Une politique pour l’an 2000
    • Pierre Debray – Maurras et le Fascisme
    • L’Action française dans la Grande Guerre
    • Mai 68
  • RechercheRecherche

Le Masque déchiré, roman

mercredi 25 août 2021mercredi 25 août 2021 sur JSF

Mercredi 25 août.     

En voyant le képi suspect, dans les mains de l’officier allemand, Véronique, sous le coup du saisissement, était tombée assise, sur un coffre bas, au pied du lit.

« — Et, dis-moi, mon petit bonhomme », poursuivit le major, « il n’est pas venu d’aviateurs, ici ?

— Puisque papa vous l’a dit, Monsieur.

— Allons ! assez de comédie, comme ça ! » dit le major, en se dressant, d’un air menaçant. « Vous, la fermière, levez- vous ! Ouvrez ce coffre !

— Mais, Monsieur », répondit Véronique, en remuant un trousseau de clefs dans sa poche, « je ne sais pas si j’ai la clef.

— Je vous ai dit que la comédie était finie, bonne femme ! Ôtez-vous de là ! » Il l’écarta de la main, et souleva le couvercle. « Vous-n ’avez-pas la clef ? » ajouta-t-il, goguenard. Et, puisant dans le coffre, il en retira une veste d’aviateur en cuir doublé de fourrure. « J’en étais sûr, parbleu ! » déclara-t-il, triomphant. « Les aviateurs sont venus, ici, Matheron ! Ils ont changé de vêtements. Vous leur avez donné ceux de vos fils, naturellement.

Vous les avez hébergés copieusement. Vous avez bu avec eux la bonne bouteille, celle des grandes occasions. Pensez donc ! On allait jouer un bon tour à ces sales Boches ! Et vous êtes allé montrer, à ces aviateurs, les chemins les plus secrets pour gagner les lignes françaises. Voilà ce que vous avez fait, Monsieur le maire ! Et, prêter aide à l’ennemi, en temps de guerre, vous savez comment ça se paie. »

Le fermier, tout le sang glacé dans les veines, eut un frisson. Ses mâchoires firent un effort pour amener de la salive dans sa bouche. Mais il se raidit.

« — Fu… fusiller ? » dit-il, bégayant, malgré lui. « Vous voulez me… me faire fusiller ? Et il avala, d’un trait, le verre de liqueur qu’il avait laissé plein, jusqu’alors, sur la table.

— Et vous n’aurez pas volé vos douze balles », lui dit froidement M. d’Auersfurth.

— Me tuer mon mari ! » s’écria Véronique, toute bouleversée. « Vous n’auriez pas ce cœur-là, monsieur le comte !

— Oh ! Papa ! » dit André, en prenant la main de son père et se serrant contré lui, tout saisi de terreur.

« — Vous ne lui ferez pas ça ! » implora Véronique, des larmes dans la voix. « Mon pauvre, mon cher Antoine ! » continua-t-elle. « Un homme si bon pour moi, pour ses enfants, pour tout le monde, Monsieur le comte ! Ce qu’il a fait, c’est pas par traîtrise, c’est par bon cœur, c’est pour tirer de peine deux braves soldats. On ne punit pas un homme qui a aidé son prochain.

— Et tous les soldats que nous tueront ces aviateurs ?Tous les dégâts qu’ils nous causeront ? » lui, objecta l’officier. « Embrassez-le, si vous voulez, et que ça finisse !

— Oh !… mon Dieu ! » gémit Véronique, dans un long cri de douleur, en se jetant, toute tremblante dans les bras de son mari. Et se retournant, vers l’officier, sans desserrer son étreinte, le corps secoué de spasmes convulsifs, elle ajouta, trouvant des arguments dans son attachement au bien du domaine : « J’suis qu’une pauv’ femme ! » Et un sanglot l’interrompit. « Mais j’aime ce bien des Guérin ! » Un nouveau sanglot l’interrompit encore. « Et je peux dire que nous avons soigné, encore cette année, mon homme et moi ! Vous êtes tout d’même not’ maître, monsieur le comte. Mes deux garçons ne sont plus là. C’est-y avec mon petit André que je tiendrai nos champs comme il faut ?

— Madame d’Auersfurth est assez riche pour que son domaine reste en friche », répliqua le major, avec désinvolture.

— Grâce ! Monsieur ! » supplia Véronique, les mains tendues. « Ayez pitié de nous ! Pardonnez-lui ! » Et elle était tombée à genoux. Rose s’agenouilla près d’elle.

« — Pardonnez-lui ! » dit-elle aussi. « Ayez pitié de nous ! Un homme qui n’a jamais fait que son devoir ne peut pas finir comme un criminel !

— Assez ! assez ! » cria M. d’Auersfurth impatienté. « Je suis bien bon d’écouter ces femmes.

— Alors vous êtes impitoyable ? » intervint impétueusement Huguette. « Ça ne vous touche pas, cette pauvre femme, à qui va manquer son mari, et qui vous demande sa vie, pour le domaine autant que pour elle et pour lui !… Brave Véronique ! » Et elle releva la pauvre femme éplorée. « Je vous ai laissé faire », reprit-elle, revenant à son mari. « J’ai voulu voir jusqu’où irait votre dureté devant moi. J’ai voulu voir jusqu’où vous seriez Allemand. … Après l’incendie de Lherm, ça ? ce meurtre ?… et sous mes yeux ?… Hé bien ! vous seriez complet !… Et vous auriez la prétention de me plaire ?

— Ma chère Huguette », répliqua M. d’Auersfurth, d’un ton fort radouci, « mon amour pour vous est une chose ; mon devoir d’officier en est une autre.

— C’est votre devoir d’officier de faire fusiller un innocent ?

— Oh ! » fit-il, en montrant la veste de l’aviateur sur le coffre, « la culpabilité de cet homme est assez bien établie.

— Et moi, je vous dis qu’il est innocent !

— Ces preuves l’accusent trop.

— Vous le laisseriez vivre, si on vous désignait le vrai coupable ?

— Je n’ai plus à le chercher.

— Le vrai coupable, c’est moi !

— Quelle plaisanterie !… Vous vous accusez pour le sauver.

— Devant la justice, quel serait le vrai coupable de l’incendie de Lherm ? Vos soldats, qui vous ont obéi ? ou vous, qui le leur avez commandé ?

— Lherm vous tient trop à cœur », lui dit M. d’Auersfurth, piqué au vif de sa jalousie.

« — De plus en plus ! » déclara Huguette, hardiment. « Surtout, depuis un quart d’heure. Mais répondez ! Qui serait le vrai coupable ? Vous ou vos soldats ?

— Vous imaginez une absurdité.

— Ça c’est un aveu. Le principal responsable d’un acte, n’est pas celui qui l’exécute, c’est celui qui l’ordonne. Eh bien ! tout ce qu’a fait Matheron, c’est par mon ordre. J’ai autorité sur lui. J’en ai abusé. J’en ai fait mon agent de cette évasion des aviateurs français. C’est moi qui ai couru vers eux quand nous avons vu leur chute. C’est moi qui les ai amenés ici. C’est moi qui les ai fait dîner, moi qui leur ai offert la bonne bouteille. Et je leur ai fait prendre les habits des fils Matheron. Et j’ai dit à Matheron : “Antoine, vous connaissez les chemins les plus sûrs et les plus courts dans la forêt. Vous allez les conduire.”

— Quelle trahison ! » s’écria M. d’Auersfurth, impressionné par la crânerie des affirmations de Huguette. « Et vous êtes ma femme ! Une Allemande !

— En apparence. Mais au fond… » répliqua Huguette.       

« — Sacré nom d’un chien de nom d’un chien ! » s’écria le major qui marchait à grands pas, à travers la salle. Il mesurait les conséquences lointaines de cette obstination de sa femme à s’accuser. Il se planta enfin devant elle, et lui dit :

« — Je ne crois pas un mot de ce que vous dites.

— Qu’est-ce que ça fait, puisque je le dis ? »

Il haussa les épaules.

« Mais que je suis bête ! » se reprocha-t-il. « Il fait clair comme en plein jour. » Et s’adressant à Matheron, il ajouta : « On va te faire ton affaire, tout de suite, vieux drôle ! Et il n’en sera plus question.

— Ah ! » cria Véronique, comme si elle avait reçu un coup de couteau. « Mon Dieu !… Mon Antoine !… Oh ! Monsieur !… Oh ! Monsieur !… » Et elle sanglotait à grands cris. Rose et André pleuraient aussi, bruyamment, et emplissaient avec elle la pièce de leurs lamentations déchirantes.

« — Avez-vous fini ? » hurla le major. « Vous avez réveillé mon fils. »

Huguette venait aussi de distinguer la frêle voix geignante de son enfant au milieu des vociférations haletantes des trois pauvres êtres éperdus de terreur et de douleur.

« — Montez-le dans ma chambre,  Angèle », ordonna-t-elle à la nourrice.

— Oh ! ces femmes ! ces femmes ! et ce morveux !… cria M. d’Auersfurth », exaspéré. « Assez assez ! Taisez-vous ! Sortez ! Allez au diable !

Il les poussait vers une porte que l’on voyait, entre le lit et le buffet.   ■   (À suivre)


Roman : LE MASQUE DÉCHIRÉ de M. FELICIEN PASCAL.

Feuilleton publié dans l’Action française de février à avril 1918.

Textes et images rassemblés par Rémi Hugues pour JSF.

Categories Idées, Histoire, Culture & Civilisation
Post navigation
A fronts renversés
Pierre Boutang : Regards sur la période historique qui va de la crise de 29 à la guerre d’Espagne

Laisser un commentaire Annuler la réponse

L'association Je Suis Français est la seule destinataire de vos données personnelles qui ne sont en aucun cas transmises à des tiers sous quelque forme que ce soit.

Archives

Notre marque

Peinture par un jeune artiste Prix de Rome, offerte à l’U.R.P. pour le 7e centenaire de la mort de Saint-Louis [1970] © U.R.P. [Peut être reprise sur autorisation écrite.]

Prince Jean : « Le rôle politique, je l’ai »

« Le rôle politique, je l’ai sans avoir besoin d’être élu. C’est tout à fait dans le rôle d’un prince de pouvoir sortir un peu de cet échange partisan et de s’intéresser au bien commun, à l’intérêt général de la Cité. »

_____________________________________

Direction de Je Suis Français
Yves Boulon – Sylvie Gaud-Hueber – Jean Gugliotta – Jean-Louis Hueber – Paul Léonetti – Gérard Pol.         
_____________________________________

Ce quotidien a un coût. Son audience un prix. Aidez-nous ! Faites un don ! À partir de 5 €. Merci !

Faire un don ? Le plus simple, c’est PayPal. Dons en ligne – en toute sécurité. Utiliser le bouton PayPal ci-dessous

Sinon, par chèque. Ordre : Je Suis Français – Adresse postale : Je Suis Français, 50 rue Jean Mermoz, 13008 MARSEILLE

__________________________________

Rubriques Chroniqueurs

POLITIQUE
. Les Lundis de Louis-Joseph Delanglade. Contribution â l’expression de notre ligne politique [France & Étranger].
. En deux mots, par Gérard Pol. Réflexion sur l’actualité française et internationale.
. Idées et débats par Pierre de Meuse.
. Les chroniques moyen-orientales d’Antoine de Lacoste,
. Les analyses économiques de plusieurs spécialistes.
. Dans la presse et Sur la toile. Des réactions courtes aux articles, vidéos, audios, les plus marquants.
. Les GRANDS TEXTES politiques.
CULTURE
. Péroncel-Hugoz : Journal du Maroc et d’ailleurs [Inédit]. Autres contributions : Histoire, géographie, lectures et reportages.
. Les études de Rémi Hugues ; Histoire, sociologie politique, philo et actualité. Des séries originales et documentées.
. Patrimoine cinématographique et autres sujets  : les chroniques dominicales de Pierre Builly 
. Les éphémérides.
ANNONCES DES PRINCIPALES ACTIVITÉS
du monde royaliste. Presse et revues, réunions, conférences, colloques, manifestations, etc.
COMTE DE PARIS – FAMILLE DE FRANCE
. Messages, tribunes, activités, du Prince Jean, Comte de Paris. Les événements de la Famille de France. Et complément : les récits et choses vues de Francesca.
__________________________________

L’Histoire de France  jour après jour. Personnages célèbres, écrivains, savants, artistes, religieux, chefs militaires. Événements majeurs. Œuvres d’art, monuments et sites d’un héritage exceptionnel : le nôtre.

     _____________________________

CLIQUEZ SUR LES IMAGES   

_________________________________

Se renseigner – S’abonner

____________

S’abonner sur le site de Politique magazine : 

____________________________ 

Les principales activités royalistes annoncées ici. Revues, réunions, conférences, colloques, manifestations, etc. Image : © GAR


(Sur le site de l’Action Française)
_________________________________ 

Le site géostratégique d’Antone de Lacoste _________________________________ 

Fédération Royaliste Provençale
Fédération régionale de l’Action Française

BPM 777,  19 rue du Musée, 13001 MARSEILLE. Messagerie : urp@outlook.fr

(ATENTION : l’adresse 48 rue Sainte-Victoire, 13006 MARSEILLE, est supprimée). 
_______________________________

Livres à la une

Le dernier ouvrage de Jean-Paul Brighelli, – agrégé de Lettres, qui a enseigné pendant 45 ans :  « La fabrique du crétin – Vers l’apocalypse scolaire« , le tome 2 de son succès d’édition, déjà vendu à 150 000 exemplaires. Cliquez sur l’image.

_________

L’Action française est aujourd’hui le plus ancien et, dans sa continuelle vitalité, le plus constamment jeune des mouvements politiques, toutes tendances confondues. Elle se renouvelle à chaque génération, dans la permanence, sans cesse ravivée et adaptée, d’une doctrine, d’une vision, d’une action. Cliquez sur l’image.
__________________________________

JSF recommande à ses lecteurs d’adhérer à l’Action Française

Chers lcteurs, il ne suffit pas de nous lire. Si vous le souhaitez, si vous le pouvez, nous vous recommandons d’adhérer à l’Action Française, pour soutenir, renforcer, participer au mouvement royaliste. L’année commence, c’est le moment ! Cliquez sur l’image !   JSF
__________________________________

Bernard Lugan : Pour répondre aux « décoloniaux », aux islamo-gauchistes et aux terroristes de la repentancePrésentation – Table des matières – Commandes  [CLIQUER]

__________________________________

Livres recommandés…

Pierre de Meuse. Derniers ouvrages parus

 

 

 

 

 

Idées et doctrines de la Contre-Révolution, préface de Philippe Conrad.  DMM – 2019.
Le dogme de l’antiracisme, origine, développement et conséquences, préface de Bernard Lugan,  DMM – 2024.
Informations – Achats : Cliquez sur les images.
Annie Laurent : L’Islam. Pour s’informer sérieusement …

Pour en savoir plus sur cette indispensable étude, pour commander : ICI

__________________________________


Envois postaux : Je Suis Français, 50 rue Jean Mermoz, 13008 MARSEILLE 
Courriel : contact@jesuisfrancais.blog

Librairie de Flore

Cliquez sur l’image pour accéder aux produits de la Librairie de Flore ! Livres, revues, boutique …

L’incontournable ouvrage de Charles Maurras enfin disponible. 15,00€, 515 pages. En stock.

Lettre de JSF : S’abonner, c’est utile et c’est gratuit !




Service quotidien gratuit, déjà assuré le matin pour les milliers de lecteurs inscrits. Si ce n’est pas encore votre cas, inscrivez-vous dès maintenant pour recevoir la lettre de JSF au plus vite et régulièrement. Inscription simple ci-dessous.
Pour en savoir plus, vous pouvez consulter notre politique de confidentialité.

Vérifiez votre boite de réception ou votre répertoire d’indésirables pour confirmer votre abonnement.

Comte de Paris : 60 ans d’héritage et d’avenir

https://youtu.be/MEl5wncXQ0M

. Comte de Paris, Site Officiel
. Comte de Paris, Page Facebook 
. Politique Magazine & Revue Universelle
. Maurras.net
. Action Française – Le bien commun

                                    
Je Suis Français (JSF) est aussi sur Twitter/X
                 
Page associée

Commentaires récents

  • mercredi 18 Juin 14:10
    Philippe sur Pierre de Meuse : Les rapports…
    “Marc vandeSande a raison. Et d’ailleurs je le salue. Cette première partie est excellente pour les…”
  • mercredi 18 Juin 11:20
    Marc vandeSande sur Pierre de Meuse : Les rapports…
    “Des points sur les I, rappels salutaires. Remarquable article.”
  • mercredi 18 Juin 10:24
    Pierre Builly sur La République va juger pour meurtre…
    “Ami Gattegno, vous connaissez beaucoup de gens qui achètent leurs cigarettes dans les bureaux de tabac…”
  • mercredi 18 Juin 09:16
    Richard sur La République va juger pour meurtre…
    “L’offre crée la demande , ainsi la « drogue » à bon marché se democratisera, l’Etat (les français…”
  • mercredi 18 Juin 07:23
    David Gattegno sur La République va juger pour meurtre…
    “Je serais assez favorable à une dose à 3 ou 4 €uros, jusques et y compris…”
  • mardi 17 Juin 20:37
    Pierre Builly sur La République va juger pour meurtre…
    “Ce que vous ne parvenez pas comprendre, c’est que l’empire de la drogue est beaucoup plus…”
  • mardi 17 Juin 17:34
    RAULOT sur La République va juger pour meurtre…
    “Aujourd’hui, on peut toujours discuter, discutailler, mais de toute façon avec les dirigeants que nous avons…”
  • mardi 17 Juin 16:14
    David Gattegno sur La République va juger pour meurtre…
    “Il y a une très simple solution : l’armée. En mode reboise ou en porte à…”
  • mardi 17 Juin 15:40
    Joset sur Déclin du catholicisme en France :…
    “Bel espoir pour la foi catholique, très bien. Il faudrait aussi veiller que certains Maires ne…”
  • mardi 17 Juin 13:49
    Pierre Builly sur La République va juger pour meurtre…
    “« Se faire réactionnaire » ! Carrément… On se donne rendez-vous pour un boisage ou du porte-à-porte en…”
  • mardi 17 Juin 12:59
    RAULOT sur Déclin du catholicisme en France :…
    “Marc VERGIER a bien raison de compléter ou rectifier Fourquet. Le succès des écoles catholiques est…”
  • mardi 17 Juin 11:40
    Albane de Chenonceau sur Radu Portocala : À Kiev, la…
    “On devrait plutôt appeler ce mouvement :  » LGBTAZERTY « , sachant que le clavier  » AZERTY…”

EXPLOREZ LES TRÉSORS DE NOTRE HISTOIRE

EXPLOREZ LES TRÉSORS DU CINÉMA…

____________________________________

Une collection de vidéos dont un grand nombre exclusives réalisées par l’Union Royaliste Provençale. © URP/JSF – Reproduction autorisée à condition de citer la source.

Chaîne YouTube Je Suis Français. Pour une plus large audience.  (Création récente)

_____________________________________

Péroncel-Hugoz dans JSF

Retrouvez ici..

Et aussi…

_______________________________

Appel aux lecteurs de Je Suis Français : Pour la sauvegarde du patrimoine matériel de l’Action Française !

Participez à l’opération nationale de sauvegarde du patrimoine historique de l’Action Française, lancée par le Secrétariat Général du Mouvement. Tous documents ou objets divers nous intéressent : photos, films, livres, journaux, correspondance, insignes, drapeaux etc. Ecrire à Michel Franceschetti : chetti133@sfr.fr .   

PEUT-ON SORTIR DE LA CRISE ? Une étude intégrale de Pierre Debray dans JSF

Une contribution magistrale à la réflexion historique, économique, sociale, politique et stratégique de l’école d’Action Française. Étude intégrale à la disposition des lecteurs de JSF, notamment étudiants, chercheurs et passionnés d’histoire et de science économiques.  ENTRÉE

Les créations de JSF : Séries, dossiers, études

 

Etudes, séries, dossiers regroupés pour être en permanence disponibles et directement consultables   © JSF – Peut être repris à condition de citer la source Pour y accéder, cliquez sur l’image.

A lire dans JSF : Le clivage du « nouveau monde » par Rémi Hugues.

Un mini-dossier en 6 parties. Analyses et propositions. Une manière d’appréhender la situation française réelle et ses évolutions afin de fixer nos positions. A lire, donc.  Suivre les liens.  JSF     I   II  III   IV   V   VI

Quatre livres fondamentaux de Charles Maurras réédités par B2M, Belle-de-Mai éditions

Enquête sur la monarchie. (Édition de 1925), 39 €, 836 p.

Le manifeste royaliste en ouverture du XXe siècle ! (Parution courant 1900). Maurras y pose la célèbre question : « Oui ou non, l’instauration d’une monarchie héréditaire, antiparlementaire traditionnelle et décentralisée est-elle de salut public ? » !   

L’Avenir de l’intelligence, 25 €, 244 p.

Une étude de l’histoire politique et intellectuelle du XVIe au XXe siècle, où Maurras à montre comment les intellectuels et artistes attachés à produire des œuvres de l’esprit sont passés « de l’autorité des princes de notre Sang sous celle des marchands d’Or », les immenses fortunes industrielles et bancaires qui limitent la liberté de l’esprit. Maurras en appelle à une alliance entre les intellectuels et le patriotisme des Français pour renverser cette mécanique.

Kiel et Tanger, 29 €, 428 p.

Maurras y constate la tragique infériorité du régime républicain en matière de politique internationale, spécialement face à la menace allemande de l’époque. Prévoyant la guerre à venir il conclut à la nécessité de remettre un roi à la tête du pays. Prolongeant le réalisme de la pratique capétienne des relations internationales, ancêtre de la pensée géostratégique française.

La Démocratie religieuse, 31 €, 620 p.

Parution en 1921, compilant trois textes préalablement écrits par Charles Maurras : Le Dilemme de Marc Sangnier (1906) – – La politique religieuse (1912) – – L’Action française et la religion catholique (1914). Cet ouvrage voit dans la démocratie une religion nouvelle qui vide le politique de sa puissance.

Et aussi…


Henri Massis, Georges Bernanos, Maurras et l’Action française, présentation de Gérard Pol, 18 €, 104 p.

Léon Bloy, Le salut par les juifs, avant-propos de Laurent James, 20 €, 156 p.

Commandes et renseignements : B2M, Belle-de-Mai éditions – commande.b2m_edition@laposte.net

* Frais de port inclus

  • Contact
  • Mentions Légales
  • Politique de Confidentialité
Je Suis Français © 2019 Tous droits réservés.

Site réalisé par Eva Giraud Web
Retour en haut de page