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Nous avons suivi — pour ceux d’entre nous qui lisent cette publication — les premiers mois de la Grande Guerre avec Jacques Bainville, jour après jour, sous son regard précis, lucide et toujours prospectif. En novembre 1914, qui aurait pu imaginer que la guerre durerait encore quatre longues années ? Évidemment, personne. Bainville poursuit son …

Lire la suitePas de note le 27 novembre dans le « Journal de l’Année 14 » de Bainville. Il se poursuivra jusqu’au 31 décembre de cette année-là, prélude à encore 4 ans d’une guerre qui a façonné l’Europe moderne.

Nous avons vécu – ceux d’entre nous qui suivent cette publication – les trois premiers mois de la Grande Guerre avec Jacques Bainville, au jour le jour, sous son regard précis, lucide et toujours prospectif. Au mois de novembre 14 se posait la question italienne. Au début du conflit, l’Italie était restée neutre malgré son …

Lire la suitePas de note le 12 novembre dans le « Journal de l’Année 14 » de Bainville. On espérait l’entrée en guerre de l’Italie ; on devait l’attendre encore six longs mois (23 mai 1915).

Nous avons vécu – du moins ceux d’entre nous qui suivent cette publication – les trois premiers mois de la Grande Guerre avec Jacques Bainville, au jour le jour, sous son regard réaliste, précis, lucide et toujours prospectif. Des deux côtés, l’on avait cru en la guerre brève, qui devait se conclure en trois semaines. …

Lire la suitePas de note les 24 et 25 octobre dans le « Journal de l’Année 14 » de Bainville.