Lorsque l’affaire avait éclaté, nous l’avions évoqué rapidement, dans une note dont le titre était « Chronique d’un échec annoncé ».
Quitter son pays d’origine, et se transporter avec armes et bagages dans un nouveau pays, en prétendant conserver l’intégralité de ses moeurs, coutumes, lois et réglements d’avant; et enjoindre donc, en quelque sorte, le pays d’accueil de se plier aux lois du nouvel arrivant, c’était – expliquions-nous – la certitude d’un échec assuré pour l’immigré dans sa tentative d’intégration…
VERDU sur Le Se Canto chanté par 500…
“Dans mon Bas Vivarais natal on chantait régulièrement le Se Canto, mais force est de constater…”