Votre roman-feuilleton estival, Ramuntcho de Pierre Loti, s’achève aujourd’hui.
Vivre, sans variation ni trêve jusqu’à la fin, entre les murs blancs d’une cellule toujours pareille, tantôt ici, tantôt ailleurs, au gré d’une volonté étrangère, dans l’un quelconque de ces humbles couvents de village auquel on n’a même pas le loisir de s’attacher. Sur cette terre, ne rien posséder et ne rien désirer, ne rien …
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Di Guardia sur Yves-Marie Adeline : D’où vient La…
“Grégoire Legrand a raison de poser cette question fort intéressante. Mais il faut admettre que tout…”