L’axe du mal déplacé
par Gérard Leclerc Le discours que Donald Trump devait prononcer à Ryad, dimanche, était attendu avec perplexité par beaucoup. Devant les dirigeants de l’Arabie saoudite, auxquels s’étaient joints cinquante responsables du monde arabe, le président américain ne pouvait décemment réitérer les attaques violentes qu’il avait lancées durant sa campagne électorale contre l’islam et …
cugel sur L’immigration à Mayotte, un test pour…
“Tout cela manque d’esthétique. L’humanitaire, les finances, l’orgueil n’y changeront rien.”