Devant le Sénat de Rome, Shakespeare fait dire à Coriolan « ce qu’on peut attester au nom des puissances divines et humaines »
CORIOLAN – Non, prenez encore ceci : je ne finirai pas sans avoir dit ce qu’on peut attester au nom des puissances divines et humaines. Là où l’autorité est partagée ; là où un parti méprise l’autre avec raison, et où l’autre insulte sans motif ; là où la noblesse, les titres, la sagesse …












Juan sur Attaché au bien commun et à…
“Mon avis ? Le Prince a raison mais les commentaires n’ont pas tort ! Loin de…”