= Toute chose, même, bonne a une fin, hélas; mais, heureusement, les mauvaises aussi : demain, lundi, jour de l’Epiphanie notre « période sans » s’achève, et nous retrouverons l’Editorial de Louis-Joseph Delanglade qui, sur un sujet d’actualité nationale ou internationale donnera la ligne du journal et fixera notre position…
Nous disons « demain » mais, en fait, pour ceux qui rongent leur frein depuis trois semaines, et se contentent de relire Les Lundis de Louis-Joseph Delanglade, c’est dès ce soir, à partir de minuit que l’attente prendra fin : lafautearousseau paraît en effet tous les soirs à partir de minuit, de 5 en 5 minutes, en commençant par l’Ephéméride du jour, puis notre Rubrique « Activités partout en France » et ainsi de suite; c’est donc à 0h30 que les plus pressés, les noctambules et couche-tard, les insomniaques où les lève tôt (très tôt…!) ont accès à la dernière note du jour, qui apparaît donc en premier sur la page d’accueil… Plus qu’un peu de patience, donc…
Pierre Builly sur 10 mai 1938 : Fin d’un…
“La droite complexée (pléonasme) n’a jamais osé placer au premier plan ,i même défendre la victoire…”