Le Japon contre la Chine. Le massacre de Nankin. Décembre 1937.
En septembre 1931, l’armée impériale japonaise envahit la Mandchourie.
En 1937, Hirohito donne son accord à l’invasion du reste du territoire chinois, ce qui conduit à la seconde guerre sino-japonaise. En août 1937, l’armée japonaise investit Shanghai où elle rencontre une forte résistance et subit de lourdes pertes. La bataille est sanglante pour les deux camps qui se livrent à un corps à corps en milieu urbain. À la mi-novembre, les Japonais prennent possession de Shanghai. L’État-Major à Tokyo décide dans un premier temps de ne pas étendre la guerre à cause des pertes sévères et du faible moral des troupes. Toutefois, le 1er décembre, il ordonne à l’Armée du centre de la Chine de capturer Nankin, alors capitale de la République de Chine. Le 13 décembre Nankin tombe aux mains des Japonais.

Tout d’abord le contexte général de la présentation d’un des drames du XXème siècle. Il se trouve encore des intellectuels soit pour nier l’intensité des massacres, soit pour défendre que la révolution ne puisse pas prospérer sans quelques exactions. La France est hélas bien placée dans ce déni mondain avec un Alain Badiou ou une Annie Lacroix – Riz (photos, ndlr). Si la bibliographie sur la v














paul.pontenuovo sur L’alerte d’un « écolo-traitre » Bertrand Alliot :…
“ » Vert à l’extérieur, rouge à l’intérieur. » Expression sommaire mais suffisante. Toujours la même loghorée…”