Nous ne reviendrons pas ici sur le fond du problème : nous avons publié un ensemble de douze contributions* qui constituent ce que nous croyons être une réflexion de fond. Nous les réunirons en un dossier qui sera mis en ligne lorsque toutes auront été publiées.
« Le Parti socialiste ne bougera pas » déclare, imperturbable, David Assouline grand autiste devant l’éternel : à 14h20, il parle en effet, par téléphone, au journaliste de BFM/TV; mais sur fond d’image montrant l’avenue de la Grande Armée, archipleine, jusqu’à la lointaine Défense alors que les manifestants convergent aussi, suivant deux autres itinéraires, de la Porte Champerret et de la Porte Dauphine, vers le podium dressé non loin de l’Arc de Triomphe.
David Assouline est tellement ridicule en affirmant, alors qu’on voit ces images, qu’il y a moins de monde que la dernière fois et que la manifestation mobilise peu que le journaliste est obligé de lui dire que les spectateurs voient, malgré tout, une avenue archipleine; Assouline se lance alors dans une péroraison d’une minute, pour ne rien dire : que c’est long, une minute de mots creux, de platitude, de vide, de néant !
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“Dans l’ordre de l’action, en effet, nous n’avons pas triomphé. Et alors ? Cela doit-il nous…”