Belle-de-Mai Éditions est de retour ! à l’occasion du centième anniversaire de la parution chez Grasset du recueil de poèmes de Charles Maurras intitulé La Musique intérieure, qui eut lieu, donc, en 1925, au sein de la collection « Les Cahiers Verts » dirigée par Daniel Halévy. C’est par une substantielle préface adressée à ce …
Lire la suiteÉvénement JSF ♦ Pour le centenaire de la Musique intérieure
Les lecteurs qui doutent que la pensée politique – et, si l’on veut, métapolitique – de Mathieu Bock-Côté soit autre chose qu’un républicanisme droitier, libéral-démocrate et conservateur, devraient découvrir dans cette chronique du JDD (12.03.2025) écrite sous le signe des Deux patries de Jean de Viguerie, un assez net démenti à leurs réserves. Les commentaires …
Lire la suiteMathieu Bock-Côté : Emmanuel Macron, patriote de circonstance ?
Gardons les chants et le souvenir des guerres de Vendée. Écoutons « Les Bleus sont là », chanté à l’Ecole Militaire Interarmes. Cette tradition est un patrimoine royaliste et français. Il ne doit pas être perdu. Et doit être transmis.
Environ 53 min. d’un débat remarquable. JSF vous a déjà proposé dimanche dernier un article « précurseur » sur Léon Daudet signé de Samuel Martin dans Boulevard Voltaire. Voici aujourd’hui un vrai débat de fond animé par Rémi Soulié qui fait redécouvrir celui qu’en son temps on appelait affectueusement « le gros Léon ». C’est un fait qu’on a …
Souvenir d’une femme royaliste de Marseille : la marquise de Clapiers, parmi les royalistes de la ville, morts de la Grande Guerre (1914-1918)
Bérénice Levet répond aux questions de Mathieu Bock-Côté (À partir de la 23e minute – Durée env. 20 min). A son propos, un lecteur a écrit : « Grâce soit rendue à Bérénice Levet pour sa vaillance et son talent. » Ces 20 minutes d’entretien où elle illustre ces deux qualités sont en effet passionnantes. Les commentaires sont …
Lire la suiteBérénice Levet était hier soir l’invitée de Mathieu Bock-Côté…
Dans son dernier disque, le célèbre chanteur ose parler de Notre-Dame, de la France, du drapeau tricolore. Et il termine en disant «Oui, je sais qu’il n’y aura jamais plus beau que la France».
