« Je suis forcé de reconnaître que la France ne doit son héritage admirable, sa structure religieuse, artistique, morale et civile tout ce qu’elle possède de bon et d’heureux, ni à la République, ni à Napoléon mais bien à ses Rois »
Cet aveu est extraordinaire et même inconséquent venant d’Edouard Herriot (1872 – 1957), homme politique central des IIIe et IVe Républiques, maintes fois ministre, Chef du gouvernement, président de la Chambre des députés (IIIe République) puis de l’Assemblée nationale (IVe République), éternel maire de Lyon, membre éminent du Parti radical et académicien français… (Source : …
gebe39 sur L’Église, la République et le théorème…
“J’ai peine à croire que nos responsables politiques ou/et religieux d’oppositions au politiquement correct ou au…”