Ou: Staline et Hitler, les deux enfants de Robespierre et de la Convention…..
Voici ce qu’on pouvait lire sur la page d’accueil du site Radio Vatican, le 22 août dernier:
http://www.radiovaticana.org/FR1/Articolo.asp?c=311285
Nous ne recevons qu’aujourd’hui, à 8h53, la lettre-info de la Nar annonçant le thème et l’orateur de son sujet de ce soir. Bien tard pour l’annoncer hier (voire avant-hier), comme nous le faisons assez souvent ! Le sujet est pourtant fort intéressant -une fois de plus…- et mérite qu’on l’annonce -même bien tard- et que …
Ou: Staline et Hitler, les deux enfants de Robespierre et de la Convention…..
Voici ce qu’on pouvait lire sur la page d’accueil du site Radio Vatican, le 22 août dernier:
http://www.radiovaticana.org/FR1/Articolo.asp?c=311285
C’est un peu comme les cadavres exquis : il est parfois surprenant, mais instructif, de rapprocher quelques petites phrases écrites ou prononcées dans des contextes très différents, par des gens qui ne se connaissent pas, mais qui parlent –en gros- du même sujet et que seul le hasard réunit, le temps d’un court instant, le temps de la lecture de son journal ou de l’écoute d’un flash info……
C’est ce qui nous est arrivé en rédigeant la note sur le blog de Benoît de Sagazan (ci-contre) dans laquelle on trouve ce membre de phrase « …l’enjeu politique, au sens noble du terme, que peut porter une Nation réconciliée avec ses racines et son histoire, au sein d’une Europe qui reste à construire … ».
Voici ce qu’on pouvait lire, fin août, sur le fil AOL:
En tenue de sport, visiblement détendu, discutant de manière animée avec un groupe de jeunes gens : pour sa première apparition télévisée en 14 mois, Fidel Castro s’est montré en bonne forme. Les images diffusées dimanche à Cuba (23 août, ndlr) ont été tournées, semble-t-il, samedi matin (22, ndlr) lors d’une discussion de plus de trois heures du leader cubain avec des étudiants de l’université vénézuélienne de Carabobo venus le rencontrer chez lui. Avant cela, les dernières images vidéo de Fidel Castro diffusées par la télévision cubaine remontaient au 18 juin 2008. Il y apparaissait au côté du président vénézuélien, son allié et ami Hugo Chavez.
Lire la suiteCuba : De bonnes nouvelles en provenance de la monarchie marxiste…
Ou: les horreurs révolutionnaires racontées – et condamnées – par une victime directe.
Mars 2009. Six amis sont dans un taxi, de nuit, dans Paris. Passées les premières minutes, le chauffeur – un vietnamien – se laisse aller à ces confidences….
Le Kybele, battant pavillon turc, est, finalement, bien arrivé à Marseille. Il s’agit là d’une Odyssée qui, on va le voir, mène loin, mais à tous les sens du terme…..
Le Kybele, c’est ce bateau, cette birème pour être plus précis, de 19m de long et 4m de large, qui se veut une réplique aussi fidèle que possible d’un navire antique (du moins, on nous l’assure…). Sa voile, montée sur un mat de 12m, mesure 7 m de haut et 12m de large. 20 rameurs ont relié l’actuelle Foça -l’antique Phocée- à Marseille, en longeant les 2.800 kilomètres de côtes et en s’arrêtant presque tous les jours, en ne s’éloignant jamais trop du rivage, comme le faisaient les Grecs de Phocée, il y a 2 600 ans; et sans autres repères que les courants, le vent, la course du soleil et celles des étoiles.
Lire la suiteDénoncer un génocide, c’est bien; les dénoncer tous, c’est mieux…
Condamné en 1987, et « Au nom du Peuple français… », à la réclusion criminelle à perpétuité pour le meurtre de deux policiers en 1983 à Paris, Régis Schleicher -l’ancien terroriste d’Action directe- vient de bénéficier d’un régime de semi-liberté, suite à la décision de la Cour d’Appel de Paris.
Il est à noter que ce militant révolutionnaire d’extrême-gauche avait été condamné une deuxième fois -et toujours « Au nom du Peuple français »-à la perpétuité, en 1988, cette fois pour hold up avec tentatives de meurtre.
Question: le Pays légal a-t-il inventé une autorité supérieure au Peuple souverain ?
Lire la suiteRégis Schleicher en semi liberté: La « perpète » ? Paroles, paroles…
Francis Jeanson est mort. Si nous jugeons utile de parler de lui quelques instants -histoire, comme on dit, de marquer le coup, tout de même...– on ne va pas remuer un passé de toutes façons aboli, exhumer des horreurs anciennes ni rappeler à la surface des laideurs qu’il vaut mieux, maintenant, laisser recouvrir par « le sombre oubli » du temps.
Et on ne va donc pas reprendre à notre compte, ici, des insultes ou des injures (les accusations de « traître »…) que d’autres ont ressorties sur lui, ici et là, à l’occasion de sa mort.
Les lecteurs de ce blog savent que, de toutes façons, ce n’est pas le style de la maison. Nous disons ce que nous avons à dire, parfois fermement, parfois avec un peu d’ironie (du moins, on essaie…), mais sans jamais nous rabaisser à un niveau qui n’est pas celui du combat politique que nous essayons de mener au quotidien.
Certes, on trouve ce document dans notre Catégorie « Grands Textes ». C’est même le premier d’entre eux, celui avec lequel nous avons inauguré cette série. Il s’insère cependant à ce point dans notre réflexion engagée à partir de l’encart du Figaro que nous avons pensé utile de le présenter de nouveau, plutôt que de nous contenter d’indiquer au(x) lecteurs(s) qu’on pouvait le lire dans cette Catégorie.
En lui redonnant, en quelque sorte, les honneurs de la Une, il nous semble que nous rendons plus cohérent cet ensemble de trois notes, centrées sur un essentiel qui ne passe pas, parce qu’il ne peut pas passer, et qu’il convient de correctement nommer, de correctement dater, car de là vient notre déclin.
Sur la réalité des révolutions, sur les horreurs qu’elles engendrent, la pensée de Soljénitsyne se « dédouble » dans une vision grandiose et universelle des maux que le monde a connus de leur fait, aux XIX° et XX° siècles. Il appelle de ses voeux le temps où seront érigés, en Russie, des monuments pour témoigner de cette barbarie et souhaite que les Français en fassent autant, non seulement comme objet de mémoire, mais aussi, mais surtout, comme condition d’une renaissance.
Soljénitsyne ouvre à notre réflexion de multiples « pistes » avec, à l’instar du pape Jean-Paul II, la force et l’autorité d’un témoin, d’une victime, en définitive victorieuse….
Lire la suiteVendée Résistance… (3/3) : Le discours d’Alexandre Soljénitsyne aux Lucs sur Boulogne
En parler comme il convient ? En deux pages sur Charette, et deux pages sur l’Historial de la Vendée et le Mémorial de Vendée, tout est dit. Ni trop, ni trop peu. Sans emphase, mais sans rien cacher de ce qui doit au contraire être proclamé.
« La grandeur des Vendéens réside dans le pardon accordé à leurs bourreaux, mais le pardon n’est pas l’oubli ».
D’abord les deux pages sur celui dont Napoléon disait qu’il avait l’étincelle du génie. Son « très beau logis » de la Chabotterie, dont « la visite est un enchantement, qui fait sentir la douceur de vivre qui régnait à l’époque ». Et, surtout, l’homme : « Du panache, un courage rare, une détermination à toute épreuve, une personnalité hors du commun… »
cugel sur Immigration : la pétition de Philippe de…
“addendum à la liste de Philippe de Villiers sur la culture ou l’art de vivre: le…”