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La bombe de 2017 ? Le sondage qui tue : chronique d’un désastre annoncé… L’analyse de Dominique Jamet

lundi 4 août 2014 sur JSF

Si nous devions voter demain, Marine Le Pen arriverait en tête des intentions de vote avec 26% des suffrages exprimés. Excellente et perspicace analyse de Dominique Jamet, dans Boulevard Voltaire du 1er août. Elle rejoint celle de François d’Orcival qui annonce dans Valeurs actuelles que les législatives de 2017 auront lieu à la proportionnelle intégrale … Nous doutons …

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Categories France, République ou Royauté ?1 commentaire

4 août 1914 : « Je fixe brièvement les grandes étapes des journées qui ont précédé la guerre »

lundi 4 août 2014 sur JSF

Le 20 juin, accompagné de Jules Delahaye, je prononçai à l’Athénée de Bordeaux un discours que je puis résumer en ces termes : « Il y a deux partis en Allemagne : celui des politiques qui pensent que le temps travaille pour l’Empire, que la France se décompose et perd chaque année une bataille; et celui des …

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Categories Bainville : Journal année 14

Semaine … de Bouvines à 14 … dans Lafautearousseau

lundi 4 août 2014 sur JSF

C’est une semaine à dominante historique qui va suivre dans Lafautearousseau. Nous continuerons à vivre, avec Jacques Bainville, le déroulement des premiers jours de la Grande Guerre. Mardi, mercredi et jeudi, nous publierons Bouvines, 27 juillet 1214, étude remarquée de Pierre de Meuse, parue dans la dernière livraison de la Revue universelle. Ce n’est que vendredi …

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Categories Activités, Presse, Mouvement

3 et 4 août 1914, la vie est suspendue au télégraphe…

vendredi 19 mai 2023dimanche 3 août 2014 sur JSF

  La vie est suspendue au télégraphe… L’ultimatum allemand à la Belgique est un coup de tonnerre : l’Allemagne veut donc exécuter cette invasion par le Nord, tant de fois prédite, annoncée par ses propres stratèges et à laquelle peut-être, en France, malgré tant d’avertissements, on n’aura pas assez cru… Le noble refus opposé par …

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Categories Bainville : Journal année 14

Du nouveau chez Glénat, des lectures pour cet été, ce dimanche …

samedi 22 juin 2019dimanche 3 août 2014 sur JSF

L’éditeur Glénat poursuit, avec un réel talent, sa série historique consacrée aux hommes et aux femmes qui ont marqué l’histoire de France et celle du monde. Après les deux premiers opus retraçant la vie de Vercingétorix et Philippe Le Bel, il s’attaque cette fois-ci à Charlemagne et Jean Jaurès. Fils de Pépin le Bref, petit-fils …

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Categories Idées, Histoire, Culture & Civilisation

Nous commençons aujourd’hui la mise en ligne du Journal inédit de l’année 14 de Jacques Bainville

samedi 2 août 2014 sur JSF

Quelques mots seulement pour signaler que nous commençons aujourd’hui la mise en ligne du Journal inédit de l’année 14 de Jacques Bainville. Ainsi pourrons-nous suivre, presque chaque jour, le déroulement de cette première année de la Grande Guerre, telle que Bainville l’a vécue, observée, analysée, au jour le jour, au fur et à mesure des évènements. A partir du 2 …

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Categories Activités, Presse, Mouvement, Bainville : Journal année 14

2 août 1914 : Notes liminaires de Jacques Bainville, en introduction au « Journal inédit 1914 »

samedi 2 août 2014 sur JSF

de_schoen.jpgLe vendredi 24 juillet, la France était occupée par le drame le plus saisissant de toutes nos guerres civiles depuis l’affaire Dreyfus : la Cour d’assises jugeait Mme Caillaux (1). Innombrables furent les Français qui lurent distraitement ce jour-là une dépêche, reproduite en caractères ordinaires dans les journaux et qui annonçait que le gouvernement austro-hongrois avait décidé d’envoyer un ultimatum au gouvernement serbe (2). 

Le gouvernement n’était ni moins distrait ni moins ignorant que le public, puisque M. Poincaré et M. Viviani se trouvaient en Russie (3)…

Pendant les journées qui suivirent, la France, avec une stupéfaction mélangée d’incrédulité, vit le conflit austro-serbe prendre les proportions d’une immense affaire  européenne qui, en faisant jouer toutes les alliances, conduirait directement à la guerre.

On douta jusqu’au dernier moment. Le 1er août encore, en ordonnant la mobilisation générale, le gouvernement affichait sur les murs : « La mobilisation n’est pas la guerre. » Un petit avoué de province, ancien Garde des Sceaux, du nom de Bienvenu-Martin, qui faisait l’intérim des Affaires étrangères en l’absence de Viviani, avait si peu compris la démarche comminatoire de M. de Schoen, ambassadeur d’Allemagne, qu’il remerciait « M. le baron de son aimable visite ». Il avait fallu que le spirituel Philippe Berthelot (4), qui assistait le vieillard effaré, lui poussât le coude pour l’avertir de l’erreur, lui faire comprendre que M. de Schoen était aimable comme une patrouille de uhlans. Au Quai d’Orsay, les fonctionnaires, renseignés, s’étonnaient de l’indifférence de la presse, multipliaient les avis que la situation n’avait jamais été aussi grave, qu’elle était désespérée.

Le jeudi soir, une manifestation socialiste contre la guerre n’éveilla, ni pour ni contre, presqu’aucun écho. Ce fut le vendredi seulement, à la nuit, que l’on commença de comprendre que les choses se gâtaient. 

Ce jour-là, à 9h45, comme je venais d’être informé que les Allemands avaient fait sauter les ponts et coupé les voies entre Metz et la frontière, je m’étais rendu au Télégraphe de la Bourse. Je sortais du bureau déjà encombré et bruissant, lorsqu’un homme dit rapidement en passant près de moi :
– Il se passe quelque chose de très grave : Jaurès vient d’être assassiné.
– Où, et quand , demandai-je à l’inconnu.
– Au Café du Croissant , il n’y a pas dix minutes.

Le Café du Croissant, dans la rue du même nom, la rue des journaux, est à cinquante mètres de la Bourse.
Je m’y rendis en courant.
C’était vrai : Jaurès dînait avec quelques rédacteurs de l’Humanité, lorsqu’un inconnu, par la fenêtre ouverte, lui avait tiré deux coups de révolver dans la nuque.
Déjà la rue Montmartre était pleine d’une foule agitée et murmurante que les charges des agents ne parvenaient pas à disperser.
On eut à cet instant l’illusion qu’un mouvement révolutionnaire commençait.
La journée avait été chaude, la soirée était étouffante.
Ce sang répandu, cette guerre civile surgissant après les secousses données aux nerfs de Paris depuis quatre jours, tout faisait redouter le pire…
Allons-nous voir une Commune avant la guerre ?
L’ennemi aurait-il cette satisfaction ?…

L’auteur de cet assassinat – un jeune homme inconnu (5) – était-il un exalté, un fou ou un agent provocateur ? 
L’enquête a prouvé que c’était un solitaire qui ne se réclamait d’aucun parti ni même d’aucune idée politique précise.
Tuer Jaurès au moment où la politique de Jaurès s’effondrait, au moment où sa conception internationaliste et pacifiste du socialisme s’abimait dans le néant, au moment où de toute sa pensée, de toute sa carrière d’orateur, la brutalité des faits ne laissait rien, au moment où la responsabilité de l’homme public de ce temps rempli d’erreurs commençait à n’être plus un vain mot, au moment aussi où il importait à l’esprit public que la France conservât tout son calme oubliât ses divisions – tuer Jaurès c’était plus qu’un crime, c’était une faute.
La suite nous a appris les calculs et les espérances que Berlin avait fondés sur cet assassinat : dès le lendemain, les journaux allemands répandaient à travers l’Empire, en Autriche et jusqu’en Orient, la nouvelle que le drapeau rouge flottait sur Paris et que le président de la République avait été assassiné.
Mais il était dit que, dans cette guerre, toutes les machinations allemandes devaient avorter misérablement.
Deux heures après l’assassinat de Jaurès, Paris était redevenu calme, avait remis ce tragique épisode à sa place.
Chacun, en cherchant le sommeil, évoquait non pas le drame du Café du Croissant, mais les dépêches des chancelleries et des états-majors courant à travers toute l’Europe les fils télégraphiques décidant de la paix ou de la guerre: déjà personne ne doutait plus que ce fut la guerre. Devant la grande tragédie européenne, l’assassinat de Jaurès s’effaçait, ne gardait plus que la valeur d’un fait divers.

Cependant le gouvernement tenait conseil. Transfuge du socialisme unifié par scepticisme, Viviani s’était mis tout à coup à croire à la révolution, à en avoir peur. Il passa la nuit à rédiger une proclamation au peuple français pour le supplier de rester calme, promettant que l’assassin de Jaurès n’échapperait pas au châtiment. Le président Poincaré, dans le même temps, écrivait une lettre publique à Mme Jaurès, et Maurice Barrès, sollicité au nom de la patrie de collaborer à la cause de l’apaisement, en adressait une autre à la fille de la victime (6).

Le lendemain matin, la proclamation était affichée sur les murs de Paris, les journaux publiaient les deux lettres destinées à conjurer la révolution. Mais qui donc eût pensé à la Commune ? Jaurès fût mort d’une congestion ou d’un accident de voiture qu’on n’en eût pas parlé davantage. Tous les hommes valides étaient sur le point de répondre à l’ordre de mobilisation, et la seule question était de savoir si, oui ou non, c’était la guerre.

Une chose paraît étrange quand on se reporte à ces journées suprêmes, c’est la difficulté avec laquelle l’esprit acceptait que c’était la guerre… La guerre ? Tout le monde en parlait. Combien se la représentaient, acceptaient d’y croire ?

Depuis six jours, j’étais averti qu’au Quai d’Orsay on savait l’Allemagne résolue à la guerre, qu’on s’y étonnait de l’optimisme des journaux. Cependant cet optimisme était entretenu par les hommes du gouvernement. Y avait-il à ce point séparation, divorce entre les services ? L’Intérieur – et la Guerre aussi, peut-être – ignoraient donc ce que faisaient, ce que pensaient les Affaires étrangères ? Du Quai d’Orsay à la place Beauvau et à la rue Saint-Dominique, la distance était-elle si grande ?   

Cependant, le mercredi 29 juillet, à sept heures du soir, on était venu nous dire que tout s’arrangeait; que l’Allemagne mettait cartes sur table et demandait le moyen de s’entendre; que le secrétaire de M. Briand ne se cachait pas d’en répandre la bonne nouvelle. D’autre part – côté autrichien – on nous avisait que l’Autriche hâtait son entrée en campagne de façon à pouvoir exercer rapidement une action « punitive » à Belgrade et se déclarer contente d’une satisfaction d’amour-propre remportée sur la Serbie. Dans cette contradiction réside la grande énigme de ces journées.  

Ainsi le public voyait monter l’orage avec un arrière-fonds d’incrédulité. Mais quoi ? Le samedi 1er août dans la matinée, M. de Schoen ne négociait-il pas encore ? Il tentait sans doute de faire pression pour tenter d’obtenir la neutralité de la France. En tout cas, derrière le paravent des pourparlers, il donnait à l’Allemagne le temps de hâter ses préparatifs. A je ne sais quoi de lourd, d’angoissant et de mystérieux qui pesait dans l’air, on sentait l’arrivée de la grande catastrophe.

A midi, on apprenait à la fois, par les journaux, la proclamation du Kriegsgefahrzustand (état de danger de guerre) en Allemagne et la remise d’un ultimatum allemand à la Russie. En France, des mesures militaires étaient certainement ordonnées déjà, car Paris se vidait étrangement, et, comme s’il eût perdu son sang goutte à goutte, de ses hommes, de ses voitures, de son mouvement. Dans le silence croissant de la ville, on entendait les portes du temple de Janus s’ouvrir lourdement sur l’Europe.   

Je reverrai toujours le papier blanc officiel qui, vers 4 heures, parut au bureau de poste le plus voisin de ma maison et qui, au même instant, porté par le télégraphe, parcourait toute la France. Le laconisme en était tragique : « Extrême urgence. La mobilisation générale est ordonnée; le premier jour de la mobilisation est le dimanche 2 août. » Ce télégramme officiel est resté longtemps sur les murs des mairies et des gares. Ceux qui ont vécu ces journées n’ont jamais pu en évoquer les termes dans leur souvenir sans penser : « Voilà les quelques mots si simples et si terribles qui ont décidé de la vie de milliers et de milliers d’hommes, la carte sur laquelle la nation jouait son sort. »

Comme si Paris n’eût attendu que ce signal, on s’aperçut soudain que la solitude s’était faite dans la grand’ville. Les voitures publiques avaient disparu, les boutiques s’étaient fermées. L’accomplissement rapide de la tâche fixée à chacun sur son livret militaire venait de nous donner immédiatement confiance dans l’organisme souple et rapide de la mobilisation. Des femmes, les yeux rouges, mais la tête droite, rentraient seules au logis désert. Une heure plus tard, nous traversions la gare Saint-Lazare pleine d’une foule de réserviste en route pour leurs dépôts. Je ne sais quelle détermination calme se lisait sur tous les visages. Henry Céard nous a cité ce mot d’un ouvrier parisien à qui l’un de ses camarades venait d’apprendre, comme il était en plein travail, que la mobilisation était ordonnée :

– C’est bon, dit l’autre. On va prendre ses outils.

Ce fut, ce jour-là, le mot du Paris travailleur, de tout le peuple de nos champs et de nos villes…

Une des grandes fautes que l’Allemagne avait commises entre tant d’autres, ç’avait été de pousser à bout le peuple français. Depuis neuf ans – depuis le coup de Tanger (7), en 1905 – les provocations avaient été si nombreuses, si insolentes, qu’elles avaient fini par donner aux plus timides, aux plus doux, à cette population française qui ne demandait qu’à vivre tranquille, une ferme résolution de ne plus supporter le retour d’affronts pareils. Cette résolution était presque devenue de l’envie d’en finir. Avec ce mot sur les lèvres : « Il faut en finir« , deux millions d’hommes, dans ces journées du mois d’août, allèrent rejoindre leur dépôts.

Le soir de ce samedi 1er août, dans le grand silence de la ville, fut solennel. Paris, cette nuit-là, eut sa veillée des armes…  

 

1914-le-destin-du-monde-de-max-gallo-927903138_ML copie.jpg    

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Categories Bainville : Journal année 14

Retour à Baudelaire, toujours grâce à France Inter : il n’aimait pas la modernité; il n’aimait pas non plus la démocratie. Lisez ou écoutez

samedi 22 juin 2019samedi 2 août 2014 sur JSF

   par Antoine Compagnon, du lundi au vendredi à 7h55  L’émission du jeudi 24 juillet 2014                 disponible jusqu’au 18/04/2017 07h54 émission à venir du 25/07/2014 Paris  Baudelaire n’était pas un démocrate. En 1848, il s’enthousiasma pour la Révolution, parcourant les rues de Paris en s’écriant : « Il faut …

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Categories Idées, Histoire, Culture & Civilisation

Dans la Famille de France : Naissance de la princesse Louise-Marguerite

vendredi 21 juin 2019vendredi 1 août 2014 sur JSF

Pendant la messe de Pentecôte en famille « Louise-Marguerite est née hier soir. La princesse Philomena va bien et nous sommes très heureux. » Jean de France, Duc de Vendôme Le 31 juillet 2014  La princesse Louise-Marguerite, Eléonore, Marie est née ce 30 juillet 2014 à Poissy, rue Blanche de Castille, quelques 800 ans après son ancêtre, …

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Categories Monseigneur le Comte de Paris, Famille de France1 commentaire

Dostoïevski : « la ténuité des racines qui unissent la République au sol français » …

vendredi 1 août 2014 sur JSF

  Décidément il existe chez tout républicain une conviction fort malheureuse, à savoir que le mot de « république » suffit à tout et qu’il n’y a qu’à dire que le pays est une République pour que son bonheur soit assuré de l’éternité. Tout ce qui arrive de fâcheux à la République, on l’attribue à des circonstances …

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Categories Idées, Histoire, Culture & Civilisation, République ou Royauté ?, Révolution - Terrorisme - Totalitarisme3 commentaires
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Enquête sur la monarchie. (Édition de 1925), 39 €, 836 p.

Le manifeste royaliste en ouverture du XXe siècle ! (Parution courant 1900). Maurras y pose la célèbre question : « Oui ou non, l’instauration d’une monarchie héréditaire, antiparlementaire traditionnelle et décentralisée est-elle de salut public ? » !   

L’Avenir de l’intelligence, 25 €, 244 p.

Une étude de l’histoire politique et intellectuelle du XVIe au XXe siècle, où Maurras à montre comment les intellectuels et artistes attachés à produire des œuvres de l’esprit sont passés « de l’autorité des princes de notre Sang sous celle des marchands d’Or », les immenses fortunes industrielles et bancaires qui limitent la liberté de l’esprit. Maurras en appelle à une alliance entre les intellectuels et le patriotisme des Français pour renverser cette mécanique.

Kiel et Tanger, 29 €, 428 p.

Maurras y constate la tragique infériorité du régime républicain en matière de politique internationale, spécialement face à la menace allemande de l’époque. Prévoyant la guerre à venir il conclut à la nécessité de remettre un roi à la tête du pays. Prolongeant le réalisme de la pratique capétienne des relations internationales, ancêtre de la pensée géostratégique française.

La Démocratie religieuse, 31 €, 620 p.

Parution en 1921, compilant trois textes préalablement écrits par Charles Maurras : Le Dilemme de Marc Sangnier (1906) – – La politique religieuse (1912) – – L’Action française et la religion catholique (1914). Cet ouvrage voit dans la démocratie une religion nouvelle qui vide le politique de sa puissance.

Et aussi…


Henri Massis, Georges Bernanos, Maurras et l’Action française, présentation de Gérard Pol, 18 €, 104 p.

Léon Bloy, Le salut par les juifs, avant-propos de Laurent James, 20 €, 156 p.

Commandes et renseignements : B2M, Belle-de-Mai éditions – commande.b2m_edition@laposte.net

* Frais de port inclus

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