Voici ce que vous trouverez cette semaine dans les Ephémérides (et, en permanence : Du passé faisons table rase.pdf ) :
1. Dans Valeurs actuelles : « 24.800 chômeurs de plus au mois de mai » : http://www.valeursactuelles.com/soci%C3%A9t%C3%A9/24-800-ch%C3%B4meurs-plus-mai 1 bis. Dans le JDN (Journal du Net) : Taux de chômage et chômeurs en France : hausse des demandeurs d’emploi en mai : http://www.journaldunet.com/economie/magazine/en-chiffres/chomeurs-en-france.shtml 2. De Jean-Dominique Merchet, « 14 juillet et foot : la querelle du drapeau algérien s’enflamme » : http://www.lopinion.fr/blog/secret-defense/14-juillet-foot-querelle-drapeau-algerien-s-enflamme-13841 …
Voici ce que vous trouverez cette semaine dans les Ephémérides (et, en permanence : Du passé faisons table rase.pdf ) :
Le plan de redressement présenté par Manuel Valls a tout pour frapper les esprits et pour permettre aux médias d’y faire largement écho. Cinquante milliards d’euros d’un côté, 650 000 contribuables exonérés de l’autre ; tous les ingrédients d’une bonne communication sont réunis.
Tous veulent y croire…
Le plan de Manuel Valls peut-il remettre l’économie française sur les rails ? Notons, pour commencer, qu’il repose sur une analyse économique approximative, qu’il suppose une maîtrise de l’environnement perdue depuis longtemps et qu’il consacre une faute politique majeure.
Lire la suiteLe plan de Manuel Valls peut-il réussir ? par François Reloujac*
« Je promène mes regards sur cette foule innombrable composée d’êtres pareils, où rien ne s’élève ni ne s’abaisse. Le spectacle de cette uniformité universelle m’attriste et me glace, et je suis tenté de regretter la société qui n’est plus. » A. de Tocqueville, De la démocratie en Amérique
Dans notre catégorie Grands Textes, voir les deux qui lui sont consacrés : Grands Textes III : Reprendre le Pouvoir (Postface). Grands Textes XXXIII : Qui sera le Prince ? Consulter également notre Page « Reprendre le Pouvoir » de Pierre Boutang, ou la Légitimité retrouvée. Enfin, écouter ce rarissime document : une conférence de …
Il s’agit de Thomas Legrand à France Inter qui rédige, chaque matin de la semaine, à 7h45, un édito politique dont on dit qu’il est le plus écouté de France. C’est, de fait, un fin connaisseur de la politique intérieure française, un esprit rationnel, capable d’analyses impartiales ou qui ont l’apparence de l’être. Il lui arrive même d’asséner aux …
Ce sera le sujet traité par François Reloujac. A ne pas manquer !
Voici comment Le Monde de lundi dernier, 23 juin, a rendu compte du dit scandale. Nous ne ferons pas de commentaires. Comme le disent les anglo-saxons, les propos du ministre des affaires étrangères polonais sont self-explanatory. Quant à leur trivialité, nous n’en sommes pas responsables. C’est un coup de massue pour le gouvernement Tusk. …
Pour la seconde fois en quelques jours, Le Figaro interroge Frédéric Rouvillois : ce fut d’abord pour recueillir son analyse du projet de régionalisation de François Hollande; cette fois-ci, à l’occasion de la proclamation du nouveau roi d’Espagne, la question qui lui est posée ne résulte pas vraiment de l’actualité espagnole mais bien plutôt d’une actualité bien française : « Et si la France avait besoin d’un roi ?« . C’est bien, en effet, la crise de nos Institutionsa, aujourd’hui si prégnante, qui conduit à cette étrange interrogation – étrange en apparence seulement, car malgré l’invraisemblance de l’hypothèse monarchique dans la France d’aujourd’hui, le vide sidéral de l’Etat, de la politique intérieure française, de fait de toute politique, amène presque naturellement à cette remise en cause du Système qui est – malheureusement – le nôtre.
Nous publions donc cet entretien qui, en effet, ne traite pas du tout de la monarchie en Espagne mais bien de la persistance du sentiment monarchique dans notre propre pays. Persistance – pour qui suit régulièrement l’actualité politique – qui est constamment évoquée, allusivement ou clairement analysée, commentée, par tous les médias, tous les analystes, tous les politiques de tous bords.
Telle est, si nous savons être à la hauteur de ces circonstances, notre actualité : non pas seulement celle de ce blog, mais celle de toute la famille de pensée royaliste, celle de cette aventure inaugurée par l’Action française à l’aube même du XXème siècle, en l’année 1900, consistant à vouloir un Roi pour la France de ce temps alors troublé par la perspective de la grande guerre qui s’annonçait, comme nous persistons à vouloir le roi pour le nôtre, pour notre temps, pas moins dangereux que le précédent.
Et la monarchie espagnole, donc ? Nous avons dit ad nauseam, que les modèles étrangers ne sont pas transposables en France, que chaque pays a d’ailleurs le sien, spécifique, que nous avons le nôtre – historique – et qu’il serait, d’ailleurs, à reconstruire en fonction des circonstances et des nécessités. Nous savons bien, par ailleurs, que les monarchies régnantes, au moins en Europe, n’ont pas protégé leurs sociétés des vices de la modernité; nous n’ignorons pas leurs défauts. Mais pour qui a assisté, en direct, à l’avènement de Philippe VI, de l’autre côté de nos communes Pyrénées, il est clair que la dignité, la simplicité, l’approbation largement majoritaire, qui ont présidé à la transmission de la fonction de Chef de l’Etat du roi Juan-Carlos à son fils Philippe, auront au moins épargné à l’Espagne ce poison mortel des ambitions, des luttes, des « blocs de haine » – qui font, chez nous, l’essentiel de la vie politique et nationale française- pour la conquête, devenue d’ailleurs dérisoire, de la Présidence de la République. Et si la France avait besoin d’un roi ? La réponse est oui.
FIGAROVOX/ANALYSE – Vérité en deçà des Pyrénées, erreur au delà ? Chez les Espagnols la monarchie semble rester populaire : existe-t-il en France une nostalgie monarchiste ? Eléments de réponse avec Frédéric Rouvillois.
Lire la suiteQuestion du Figaro à Frédéric Rouvillois : Et si la France avait besoin d’un roi ?
Grégoire Legrand sur Patrimoine cinématographique • Le nom de…
“N’oublions pas que ce progrès que vous vantez tant (et à juste titre, car nul de…”