Le dimanche 3 février 2013 – dans nos « pages magazines » des samedis/dimanches – nous avons présenté ce qui était alors le récent ouvrage de Stéphane Giocanti, « C’était les Daudet » : Le hasard fait coincider sa parution avec la sortie de notre Album : « C’était les Daudet », de Stéphane Giocanti
Deux mois après, le 9 avril, et toujours dans ces mêmes « pages magazines » des samedis/dimanche, nous avons jugé utile d’apporter une précision sur le très bon article de Sébastien Lapaque dans Le Figaro, qui présentait l’ouvrage de Giocanti : Sur un point précis de l’article de Sébastien Lapaque, présentant le dernier ouvrage de Stéphane Giocanti, « C’était les Daudet »…
La rectification qu’il nous semblait utile – et surtout honnête… – d’apporter concernait, on le voit, le reproche d’antisémitisme, alors que Daudet, effectivement antisémite à ses débuts, et pendant plusieurs années, s’était totalement détaché de l’antisémitisme dès le début des années 30, lorsque Bainville dénonçait Hitler – dans son Journal et dans L’Action française quotidienne – comme « l’énergumène », « le monstre », « le Minotaure »…
Pourquoi les manifestations de janvier et février 1934, dont celle, tragique, du 6 février, n’ont pas débouché sur ce changement de régime, pour lequel l’Action française s’était toujours battue ? Maurice Pujo, après avoir conduit toute la campagne de l’Action française sur l’affaire Stavisky et dirigé l’action des camelots du Roi, en a donné l’explication en termes simples * : sans une Action française suffisamment forte et reconnue tant sur le plan de la pensée politique que de la conduite de l’action proprement dite, l’union des patriotes est stérile. Et la leçon vaut pour aujourd’hui.












paul.pontenuovo sur L’alerte d’un « écolo-traitre » Bertrand Alliot :…
“ » Vert à l’extérieur, rouge à l’intérieur. » Expression sommaire mais suffisante. Toujours la même loghorée…”