C’est du Pagnol, mais à l’envers : c’est inquiétant et tragique, et en tout cas révélateur. Pas pour nous, qui le savons et le disons depuis belle lurette, mais pour ceux qui seraient encore abusés par le matraquage officiel « pro-immigré..
De quoi s’agit-il ? Il suffit de lire La Provence du samedi 4 mai pour le savoir : en gros, Gaudin rénove (!) à coup de milliards, depuis des années une « cité » des quartiers Nords, le « Plan d’Aou »; et les marseillais financent, à coup d’impôts locaux qui foncent vers le confiscatoire et la spoliation pure et simple…
Bon. Mais là où lers choses se corsent, et deviennent « pagnolesques » c’est que, dans ces « cités », habitées très majoritairement par « qui-vous-savez », il est dangereux de se promener si on est un « étranger » : eh, oui, c’est ainsi; nous, si on parle d’ « étrangers », on a sur le dos la Licra, SOS Racisme et tout le bataclan, sans oublier Harlem Désir-le-condamné, volontiers « condamnateur moral », comme tant de socialos/bobos/gauchos/trotskos etc…; mais entre eux, les « récents arrivés » n’ont pas nos pudeurs : ils se flinguent et se butent allègrement, d’une cité à l’autre, voisine de cent mètres à peine, parce que celui qui est venu sur leur territoire, eux l’appellent un étranger », et le « kalachnikovent »…

La littérature est décidément prémonitoire. Dans Le Père Goriot, Balzac décrit une pension parisienne, rue Neuve-Sainte-Geneviève, avec son allée bordée de lauriers roses. On y pénètre par une porte surmontée d’un écriteau sur lequel on lit : MAISON-VAUQUER, et dessous : Pension bourgeoise des deux sexes et autres.













Cincinnatus sur Le petit frère d’Olivier Marleix parle…
“Olivier Marleix avait rendez vous deux à trois jours avant de se suicider avec F Bayrou…”