Que dire de ce qui vient de se passer à Toulouse qui ne soit déjà dit et redit par ailleurs de façon, pour une fois, mais pour une fois seulement, unanime ? L’indignation, la condamnation, la consternation, les gestes solidaires médiatisés, même s’ils sont sincères, ne coûtent pas grand-chose. A vrai dire, ils n’engagent à rien.
Que dire, alors ? Peut-être ceci :















Marc Vergier sur Robert Ménard, porte-voix de la vox…
“Un homme indépendant et déconcertant c’est plutôt sympathique. Mais pourquoi devenir macroniste quand il est trop…”